La Vie Est Un éclair

fastueuse Soulevant, balançant le feston et l'ourlet ; Agile et noble, avec sa jambe de statue. Moi, je buvais, crispé comme un extravagant, Dans son oeil, ciel livide où germe l'ouragan, La douceur qui fascine et le plaisir qui tue. Un éclair... puis la nuit ! - Fugitive beauté Dont le regard m'a fait soudainement renaître, Ne te verrai-je plus que dans l'éternité ? Ailleurs, bien loin d'ici ! trop tard ! jamais peut-être ! Car j'ignore où tu fuis, tu ne sais où je vais, Ô toi que

onomatopée : mot qui imite un son ; les onomatopées constituent le bruitage de la bande dessinée I L’œuvre Pour le livre c’était la guerre des tranchées il s’est inspiré de faits historiques, il a était aidé par un historien. Dans ce livre il raconte la vie d’un poilu dans les tranchées (chronologiquement).l’œuvre est tout publics (ados, adultes). Le livre est salué par la critique. L’œuvre est très proche de la réalité historique. II Description : Au premier plan : A droite : un soldat Français vivant

village, un homme appelé Tortuséon criait à tout le monde qu’il était la personne la plus rapide de toute la Grèce. Les gens se moquaient de lui et le croyaient fou. Mais tortus, n’arrêtait pas de répéter, qu’il était le seul à courir aussi vite qu’un éclair. le village organisa donc une course avec les habitants de la cité. Et le vainqueur fut Tortuséon. Pendant la remise des médailles, les habitants dirent que c’était juste la chance et de plus, les coureurs n’étaient pas nombreux. Dans la foule un

02-10-2005 Français : Mr de Causteur Français : Dissertation Nr.1 Sujet : « N’interprétez pas, expérimentez. » Michel Foucault La sagesse nous indique en cas de doute la patience et la prudence. Dans la même situation, notre train de vie, lui, nous indique le chemin qu’il faut suivre tête baissée en réfléchissant un minimum. Le poids de l’instruction, qui est grand lors de l’enfance, nous oblige à obéir et à faire ; il n’y a dès lors plus de place pour le doute. Des exemples comme ceux-ci

mystère est renforcé par la question rhétorique (ne te verrai-je plus que dans l’éternité ?) = incertitude de la rencontre - la juxtaposition des 2 états opposés (un éclair … puis la nuit ! – Fugitive beauté) -> coup de foudre (éclair) = vie -> mort (nuit) -> confirmé par ce verbe, la femme qui z le pouvoir de vie et de mort chez l’homme (renaître) idée 3 : l’état d’esprit du poète on repère l’état d’esprit du poète par les marque de la 1ère personne. Le spleen : - sa différence

« spleen » permanent, éclair sa vie pendant un court instant Eléments de sens les plus importants Caractères stylistiques (procédés grammaticaux et stylistiques) les plus signifiants Thèmes évoqués: passion, destruction, mort, beauté, spleen - Femme représente, incarne la beauté - Passion destructrice, ivresse provoquée par la beauté de cette passante - Homme est envouté, comme en extase devant cette belle femme - Femme le tire de son ennui et son dégoût de la vie (spleen), elle est la forme

Commentaire composé chapitre 65 les trois mousquetaires. « Le jugement » p 782 P 782 nuit orageuse, éclair: atmosphère pesante D’Artagnan est toujours devant, à la tête du cortège, il n’arrive pas a rester en retrait. Planchet est à la tête. Mystère sur l’homme en rouge. Plus les cavaliers avancent, plus l’orage s’intensifie, les cavaliers accélèrent. Nombreux noms de lieux, on peut suivre précisément leur parcours. Importance des données météos. P 783 D’Artagnan aime ce temps, il est

bleu mystique, Nous échangerons un éclair unique, Comme un long sanglot, tout chargé d'adieux; Et plus tard un Ange, entr'ouvrant les portes, Viendra ranimer, fidèle et joyeux, Les miroirs ternis et les flammes mortes. Annonce des axes Etude I - Une vision paradoxalement positive de la mort - la mort n'est pas vraiment présente tout au long du poème : seuls le titre et le dernier vers en parlent. La mort est positive, même plus belle que la vie ("divans profonds comme des tombeaux")

analyser : A une passante, poème 93 -> appartient aux tableaux parisiens -> 2 quatrains, 2 tercets -> après échec de Spleen et Idéal (le malheur l’emporte sur la grandeur)-> réalité décevante -> Tableaux parisiens : observation du monde qu’il entoure -> vie urbaine -> cherche source d’inspiration dans Paris + Cherche Beauté -> obsession du poète et source d’inspiration + but : atteindre la beauté dans les textes -> atteindre ordre supérieur -> concerne notre poème - Sujet : - Parle d’une femme (passante

fastueuse Soulevant, balançant le feston et l'ourlet ; Agile et noble, avec sa jambe de statue. Moi, je buvais, crispé comme un extravagant, Dans son œil, ciel livide où germe l'ouragan, La douceur qui fascine et le plaisir qui tue. Un éclair... Puis la nuit ! - Fugitive beauté Dont le regard m'a fait soudainement renaître, Ne te verrai-je plus que dans l'éternité ? Ailleurs, bien loin d'ici ! Trop tard ! Jamais peut-être ! Car j'ignore où tu fuis, tu ne sais où je vais, Ô