La Vie Tranchée

Comme 24 autres poilus injustement accusés d’avoir reculé devant l’ennemi, Jean Blanchard a été jugé et fusillé avec 5 de ses camarades, à Vingré le 4 décembre 1914. Il avait 34 ans et cette lettre fut écrite la vieille de son exécution dans les tranchées à l’intention de son épouse Michelle. Réhabilité le 29 janvier 1921, Jean est un des 6 martyres de Vingré (Les Martyrs de Vingré sont six poilus, le caporal Paul Henry Floch, les soldats Jean Blanchard, Francisque Durantet, Pierre Gay, Claude Pettelet

d'une chanson de 1917 dont l'auteur est anonyme sur l'air d'une valse à succès " Bonsoir m'amour" (1911- Charles Sablon). Ce texte traduit le quotidien des offert un million de francs et la démobilisation(La démobilisation est le fait de renvoyer à la vie civile des soldats mobilisés.) à toute personne qui dénoncerait les auteurs de la chanson. Cette hécatombe(sacrifice) a engendré des refus de monter au front et de nombreuses mutineries chez les Poilus, "qui ne refusaient pas de mourir pour la patrie"

Les Conditions de vie des poilus  La guerre va commencer dans les années 1914, les personnes n’auront pas le choix et vont devoir aller combattre. Les combattants partis en guerre sont loin d’imaginer la continuité de cette guerre et les souffrances physiques comme morales qu’ils vont endurer. L’un des seuls moyens de communication qu’ils ont avec leur famille vont être les lettres manuscrites, dans ces lettres leurs conditions de vie, les assauts continus, pour éviter de se faire bombarder,

village de Craonne par le Général Nivelle. C'est donc pendant cette bataille que ce chant antimilitariste et contestataire est composée dans les tranchées par les soldats. Elle raconte les périodes de troubles de l'armée française, les souffrances, injustices de la guerre et les mutinerie à venir. Au front, cette chanson s'est rapidement diffusée dans les tranchées, car elle était chantée par les poilus ou envoyée par lettre. En 1919, après la guerre il est publié par Paul Vaillant-Couturier un écrivain

l'Allemagne en 1933 pour partir en Suisse ou j'y ait écrit plusieur livre . Aprés cette date je voyage dans différent pays puis en 1939 je pars aux Etats-Unis. Pendant ce temps ma sœur est condamné a mort par les nazis. Voilà un résumé de ma vie . -Quel vie passionnante mais aussi triste . Donc vous avez aussi écrit beaucoup d'autre livres comme À l'Ouest, rien de nouveau en 1929 , Après en 1931 , Trois camarades en 1937 aussi Un temps pour vivre, un temps pour mourir en 1954 et votre dernier

Premièrement, je vais décrire les conditions de vie des soldats dans les tranchées à travers plusieurs témoignages tel que celui de Blaise Cendrars. Dans ma deuxième partie, à partir de ce document et de mes connaissances, je vais faire un point sur la forte mortalité durant cette guerre. Pour commencer, les conditions de vie semblaient affreuses, du moins elles l’étaient. Dans « La main coupée », Blaise Cendrars, démontre à quel point la vie dans les tranchée était horrible « pour un sale coin, c'était

recherché dans la dictature, une réponse à leur problème. La réalisation de cette œuvre concorde aussi avec la population qui commence doucement à oublier les terribles images, ainsi que tous ces massacres et souffrances de cette période noire de leur vie. Mais dans son tableau, Otto Dix veut rappeler toute cette violence, cette sauvagerie, que toute la population a pu subir ou placer en spectateur, pendant cet affreux conflit. C’était une façon à lui de se débarrasser de ce qu’il a vécu, du traumatisme

patriotique par leur professeur, Kantorek, plusieurs de ses camarades de classe et lui-même s'engagent volontairement dans l'armée allemande.Après dix semaines d’entraînement, la rencontre du cruel caporal Himmelstoss et l’inimaginable brutalité de la vie au front, Paul et ses amis réalisent que leur idéal de patriotisme et de nationalisme sont de simples clichés vides de sens. La guerre agit comme une révélation et le jeune soldat se sent trahi par ses maîtres :« Ils auraient dû être pour nos dix-huit

année. Ce livre que Barbusse, engagé volontaire en 1914 (il avait alors 41 ans et souffrait de problèmes pulmonaires)1 , tira de son expérience personnelle du front, a été longuement mûri et pensé en première ligne pendant 22 mois dans les tranchées de décembre 1914 à 1916. Barbusse tout au long de l'année 1915 tient un carnet de guerre où il note des expériences vécues, les expressions des poilus, et dresse des listes diverses et variées. Ce carnet servira de base à la composition de son

L’expérience combattante est définit comme étant l’ensemble de situations et de pratiques de guerre auxquelles les combattants sont confrontés. Le sujet s’étend sur la période de la Première Guerre Mondiale donc de 1914 à 1918. A quelles conditions de vie et de combat les soldats sont-ils exposés pendant la Première Guerre mondiale ? Comment ont-ils tenu ? Ces questions sont essentielles pour comprendre. Dans un premier temps nous verrons la violence subie par les combattants durant cette guerre, dans