La Violence Au Cinéma

Critique « La Dernière maison sur la gauche » (USA, Wes Craven, 1972) Suite à la suggestion, que dis-je l’incitation, d’un de mes camarades de la Haute Ecole de rédiger une critique sur ce film signé par un maître du cinéma d’horreur tel que Wes Craven, j’ai d’abord longuement hésité. Deux raisons simples expliquent cette latence. Primo, tout film que l’on souhaite analyser exige plus d’un visionnage. Secundo, je me dispenserai bien de cette exigence, tant celui-ci m’a été insupportable... Mais

2010 et que le cout des billets est de 13,00$. Il aura un bénéfice de 1 950 000$. Alors, le second film sera considéré meilleur, car il aura fait plus d'argent même s'il a vendu moins de billet de cinéma. Alors, selon cette norme le premier film ne sera plus bon lorsque le deuxième film sortira a cinéma. Ainsi on peut dire qu'un film est bon et mauvais, mais de façon provisoire. Ceci montre qu’une opinion est relative et ne doit pas composer un dogme, car elle n’est pas objectivement absolue. Notamment

son incroyable mise en scène. Sa forme esthétique se démarque complètement de celle qui prédomine dans le cinéma français des années nonante. En effet, l’esprit de la Nouvelle Vague reste encore très présent et la grande majorité des films sont encore sous son influence. Pourtant, certains jeunes cinéastes, fatigués par ce cinéma d’auteur qui est conforté dans l’idée d’être le « vrai cinéma », lui tournent le dos. La force de La haine, et qui explique en grande partie son succès immédiat et sa postérité

Cinéma Audio Visuel En guise d’introduction : Pourquoi raconter au cinéma la vie de personnes célèbre qui ont réellement existé ? Cela permet tout d’abord d’inculquer une histoire de la société a des individus qui peut être n’ont pas de culture. Cela permet également de se cultiver tout en passant un bon moment, cela nous enseigne le parcour d’une personne souvent très célébré, le film nous retrace en détail sa vie et nous l’explique parallèlement : c’est une sorte de cour audio-visuel

seringues etc … violence entre différents de style pas beaucoup de respect choque des génération mais respect avec leurs grand-mères film en noir et blanc reflète le noirceur de la banlieue musque : Cut killer , Rap reggae Absence total des pères Signification : Destination de l'oeuvre : Tout public : ( interdit au -12) les banlieusards et ceux qui ne connaissent pas la banlieue, les jeunes, les vieux, la police Faire découvrir le mode de vie dans les banlieues, la violence urbaine et la

le héros est une personne qui fait preuve d’un grand courage face au danger, c’est un homme ou une femme qui incarne dans un certain système de valeurs un idéal de force d'âme, d'élévation morale ou d’une grande abnégation . Dans la littérature, le cinéma, le théâtre, etc…, le héros est le personnage principal de l’histoire. Le nom héros a une forme féminine : héroïne. L’INFLUENCE DES HEROS EN ALLEMAGNE Du côté allemand, l’idéal guerrier se trouve dans les époques révolues où l’esprit de la chevalerie

RAUTUREAU Raphaël ADS Groupe 3 Partie Cinéma THE SHINING De Stanley Kubrick (1980) 1. Le film que je vais présenter est The Shining de Stanley Kubrick sorti en 1980 avec comme acteurs principaux Jack Nicholson, Shelley Duvall et Danny Lloyd. Stanley Kubrick est l’un des cinéastes majeurs du XXème siècle, il a su s’imposer tout d’abord comme directeur de la photographie puis comme réalisateur avec des films variant les genres comme la science fiction avec 2001, l’Odyssée de l’Espace

roman, l'auteur aborde les thèmes de la violence et du retour à l'état sauvage. Il permet d'aborder des thèmes en rapport avec la société : pourquoi les lois existent ? A quoi servent-elles ? Sa Majesté des Mouches a permis, grâce à son succès, à William Golding d'abandonner son métier d'enseignant pour vivre de sa passion Il publiera des nouvelles, des poèmes et se verra décerner le prix nobel de littérature en 1983.Ce livre a été adapté en 1963 au cinéma par le réalisateur Peter Brook. Le crash

(Hollywood). 1960, Italie une nouvelle phase du cinéma, le réalisme, qui cherche à sublimer la réalité, « la mort a Venise » par VISCONITZ qui reprend la société de consommation, la surconsommation. 1950, guerre soviétique/western US, James bond. 70’s, Ferreri « la grande bouffe », la surconsommation. 60/70, POLANSKI, MILOS FORMAN partent aux USA 1962, HICHOCK Walt Disney en fin des années 60/70, le cinéma américain va développer une violence qui est catharsis (libération). Rambo (personne

dans l'appartement des parents d'Alex par exemple. Kubrick montre ainsi une société perverse, obsédée, hypocrite voir schizophrène dans son comportement face à la violence d'Alex. Elle fait mine d'être outrée par ses actions, mais admire, puisque c'est de l'art, des œuvres dont le contenu est explicite. Le problème de la violence et ses relations complexes avec le reste de la société, les "bonnes gens " dans nos sociétés modernes occidentales. Une peine est-elle réparatrice ou, au, contraire