La Yole

sous le pont, les pieds ballants au-dessus du fleuve, à côté du jeune homme aux cheveux jaunes qui s'endormit auprès de lui. Un des canotiers se dévoua : il prit la mère. " Au petit bois de l'île aux Anglais ! " cria-t-il en s'éloignant. L'autre yole s'en alla plus doucement. Le rameur regardait tellement sa compagne qu'il ne pensait plus à autre chose, et une émotion l'avait saisi qui paralysait sa vigueur. La jeune fille, assise dans le fauteuil du barreur, se laissait aller à la douceur

Briant, Doniphan et Gordon furent lancés contre le capot, auquel ils parvinrent à se cramponner. Mais le mousse avait disparu avec cette masse qui balaya le Sloughi de l’arrière à l’avant, entraînant une partie de la drôme, les deux canots et la yole, bien qu’ils eussent été rentrés en dedans, plus quelques espars, ainsi que l’habitacle de la boussole. 18 Toutefois, les pavois ayant été défoncés du coup, l’eau put s’écouler rapidement – ce qui sauva le yacht du danger de sombrer sous cette

sous le pont, les pieds ballants au-dessus du fleuve, à côté du jeune homme aux cheveux jaunes qui s'endormit auprès de lui. Un des canotiers se dévoua : il prit la mère. “ Au petit bois de l'île aux Anglais ! ” cria-t-il en s'éloignant. L'autre yole s'en alla plus doucement. Le rameur regardait tellement sa compagne qu'il ne pensait plus à autre chose, et une émotion l'avait saisi qui paralysait sa vigueur. La jeune fille, assise dans le fauteuil du barreur, se laissait aller à la douceur d'être

Situation initiale Une famille de boutiquier va passer un dimanche à la campagne Bezons Nord Ouest de Paris au XIX e s Le jour de la fête de Me Dufour Elément perturbateur Rencontre de deux canotiers Les péripéties Le déjeuner La promenade en yole L’initiation à l’amour Ellipses Situation finale Retour à Paris Henriette est mariée malgré elle Déception du jeune canotier Destins des personnages brisés Deux mois après L’année suivante Quel message Maupassant a – t – il voulu

mari. Mais qu'ais-je donc fais au bon Dieu pour vivre avec un tel incapable ? La délivrance je souhaite, je veux être aussi libre qu'un oiseau et me faire piéger par vous. Mes souvenirs sont intacts, j'ai la parfaite image de vous et moi, sur cette yole. La parfaite image de notre amour encore enfoui sous terre à ce moment là. La parfaite image de vous, prospectant mon visage pour y trouver mes lèvres fuyantes. Je ne savais ce qu'était l'amour, cette poésie des sens. Je vous en remercie, mon cœur

miroir de la vie universelle, et les choses rapides et colorées, subtiles et charmantes qui s'y reflètent, on bien droit qu'on s'en occupe et qu'on les célèbre." de Philippe BURTY faite en 1857 peut faire écho au tableau La Seine à Asnières dit La yole (1879) de Pierre-Auguste RENOIR. On y voit deux jeunes femmes faisant du cannotier sur la Seine, et en arrière plan un chemin bordé d'une habitation et de verdure. Sur ce tableau, le détail n'est pas mis en avant, pour les jeunes femmes, on ne détecte

beaucoup de descriptions et de scènes qui font avancer l’histoire, mais j’en trouve deux qui me semblent les plus importants. La première est la scène juste au moment où les deux jeunes hommes cèdent leur place aux dames, et l’autre est le moment dans le yole où Henriette entend la rossignol chanter. A la première scène, quand les deux jeunes hommes aux les bras nus voient la dame et la fille, ils offrent leur place à l’ombre pour faire leur connaissance. C’est vraiment un beau geste, parce que il est

journée à la campagne. Ils se rendent dans une auberge à Bezons, puis après le déjeuner, Henriette, la fille, et Pétronille, la mère, se rendent sur la rivière accompagnées de deux canotiers. Henriette et Henri, le jeune canotier qui l'escorte dans sa yole, s’arrêtent dans un asile de verdure ; leurs ébats amoureux sont paraphrasés par le chant d'un rossignol. Un an après, Henri retrouve Henriette, cette dernière s’est mariée avec le garçon aux cheveux jaunes qui accompagnait la famille lors de cette

fugitives sont exprimées Des peintres impressionnistes : Monet, Manet, Renoir ou Caillebotte. Dans le film, plusieurs tableaux impressionnistes semblent évoqués : De Renoir : La Balançoire, Le déjeuner des canotiers, La jeune fille au crochet, la yole, le bal du moulin de la Galette De Caillebotte : Les Périssoires

sous le pont, les pieds ballants au-dessus du fleuve, à côté du jeune homme aux cheveux jaunes qui s’endormit auprès de lui. Un des canotiers se dévoua : il prit la mère. — « Au petit bois de l’île aux Anglais ! » cria-t- il en s’éloignant. L’autre yole s’en alla plus doucement. Le rameur regardait tellement sa compagne qu’il ne pensait plus à autre chose, et une émotion l’avait saisi qui paralysait sa vigueur. La jeune fille, assise dans le fauteuil du barreur, se laissait aller à la douceur d’être