La Zone Euro Est Elle Une Zone Monétaire Optimale

une entreprise locale. (Zone franche) ( Solde des mouvements de capitaux à long terme + Solde de la balance des paiements courants = Balance de Base *Baisse des IDE de 1200 milliards de dollar en 2008, baisse de plus d’1/3 des IDE en Chine. La France est un grand receveur d’IDE avec l’Asie du Sud Est. Mouvements de capitaux à court terme : < 1 an - Crédits commerciaux ; mouvement de capitaux non monétaires, - Mouvement de capitaux monétaires capitaux flottants, mouvements

développe le premier argument « moderne » contre le libre-échange : lorsqu'un pays peut agir sur les termes de l'échange (par exemple, parce qu'il est « gros », ou parce qu'il détient un monopole), il peut alors choisir un niveau de droits de douane optimal, qui maximise les termes de l'échange en sa faveur. Torrens en déduit que la politique la plus souhaitable est alors d'exiger la réciprocité commerciale : en adoptant unilatéralement le libre-échange, un pays s'expose à la « capture » d'une partie

  plupart   et   de   victoire   assumée   sur   le   monde   communiste,   le   monde   occidental   et   particulièrement   l’Europe   engagée   sur   la   voie   de   l’union   économique   et   monétaire   sont   de   nouveau   en   proie   au   doute.   Les   gouvernements   semblent   ne   plus   avoir   la   boussole   qui   leur   permettrait   de   retrouver   le   chemin   de   la   croissance

globales. Pourtant, sa monnaie, le yuan, n’est pas convertible, les autorités contrôlant de près sa valeur. Cela n’a pas empêché la Chine de multiplier des accords pour faciliter l’usage du yuan en monnaie commerciale avec par exemple la création de la zone de libre-échange Chine-Asean ou des fonds de réserves régionaux Chine-Japon-Corée du Sud-Asean. Le fait est que le yuan est aujourd’hui jugé sous-évalué de moitié face au dollar, ce qui est souvent dénoncé comme l’une des causes de déséquilibres mondiaux

GASTON BERGER DE SAINT-LOUIS UFR DES SCIENCES ECONOMIQUES ET GESTIONS SECTION: ECONOMIE APPLIQUEE MEMOIRE DE MAITRISE IIILt\lL : LA POLITIQUE MONETAIRE DANS LA ZONE UEt\1()A 1 Présenté par: Ibrahim DIALLO Sous la direction de : Docteur Felwine SARR .1 Année académique : 2007-2008 THE 1394 - -- - - - - - - - Je remercie ALLAH le Tout Puissant de m'avoir donné la force et le courage d'accomplir ce dur travail et qui m'a associé à toutes les personnes qui m'ont

Chapitre 2 Rôle de la monnaie et politique monétaire A l’origine, il existait plusieurs formes de moyens de paiements pouvant aller selon les cultures et les époques des coquillages, aux galets, aux épices, têtes de bétail, métal,….On en trouve les premières traces modernes en Europe chez les Grecs anciens, au VIe siècle av. J.-C. Ainsi, le troc a servi de premier vecteur d’échange entre les Hommes. Le problème va naître sur la valeur des marchandises comme base de

déséquilibres monétaires et l'inflation. L'analyse du circuit économique débouche sur l'analyse du circuit financier en ce sens que les agents à capacité de financement procurent aux agents à besoin de financement, les moyens de financiers nécessaires à leurs investissements. Les institutions financières jouent un rôle essentiel dans le bouclage du circuit grâce à leur fonction d'intermédiation. De façon plus spécifique, les banques exercent un pouvoir de création monétaire, ce qui, en l'absence

A. L’impôt et l’allocation B. L’impôt et la redistribution C. L’impôt et la stabilisation Chapitre 6. L’approche économique de l’impôt I. L’impôt et l’efficacité A. L’incidence de l’impôt B. Les distorsions engendrées par l’impôt C. La fiscalité optimale D. La fiscalité correctrice II. L’impôt et l’équité A. La contribution des prélèvements obligatoires à l’équité B. Le degré de progressivité du système fiscal C. Le degré de redistribution Quatrième partie © Dunod. La reproduction non autorisée

monnaie) ; - interventions obligatoires de la BC lorsque le seuil est atteint : plusieurs modalités (action sur les taux, action sur le marché des changes) ; collaboration croissante entre BC pour partager le poids de l'intervention (≠ serpent monétaire, où l'essentiel des interventions reposait sur la BC du pays faible), cf. principe de multilatéralisation de la défense de la monnaie faible (accords de Nyborg, 1987 : soutien quasi-illimité sur 45 jours) ; - prêts inter-BC gérés par le FECOM

économique. «  La transition d'un état « normal » à une situation de « récession » se fait par une crise économique. » Elle peut toucher soit un pays, une nation ou une zone géographique plus importante. 3-Les causes d’une crise économique Une crise économique peut être provoquée par : -Une politique monétaire erronée : provoquée par une stratégie incorrecte de la banque centrale, qui agit sur l'offre de monnaie dans le but de remplir son objectif de stabilité des prix et également