Lactation

Normande est vendu en moyenne 10 à 30 centimes au dessus du prix de base). 1.4 - La Jersiaise Race laitière spécialisé, elle dispose d’un squelette et d’un métabolisme qui lui confèrent une longévité hors du commun : 23% des animaux sont en 5ème lactation et plus. Du fait de son format atypique, ses besoins d’entretien sont limités permettant ainsi de réduire la ration de base de 1.5 UF/jour, et montre une très bonne valorisation des fourrages. La Jersiaise présente des taux protéiques élevés qui

alimentaire équilibré et adapté à ses besoins . L'embonpoint ou la maigreur étant nuisible à la fertilité et à la fécondité, il est important d'alimenter la vache en quantités suffisantes quand ses besoins augmentent, pendant la fin de gestation et de lactation, et ce de manière équilibrée : des protéines de bonnes qualités, des acides gras essentiels, une complémentation minérale. (voir annexe n°3) II. Comment assurer une bonne reproduction tout en évitant la rétention placentaire des vaches 

en 200923. De même le nombre d’inséminations artificielles en normande décroit : de 670 000 en 1989 à 473 000 en 2000 et 370 000 en 201123. Le cheptel français de race normande, avec environ 2 millions de têtes en 2009 dont 600 000 vaches en lactation, est à la troisième place en termes d'effectif dans l'élevage bovin français derrière la Prim’Holstein et la Montbéliarde. Son cheptel est principalement concentré en Basse-Normandie, mais aussi dans les Pays de la Loire, en Bretagne et en Haute-Normandie

un traitement thermique intensif dépend, dans une large mesure, de son acidité qui doit être faible et de l’équilibre des sels présents dans le lait. Cet équilibre est sensible aux changements de saison, à la nature du fourrage et au stade de la lactation. Il est possible d’améliorer la capacité du lait à résister au niveau de traitement thermique requis. Prétraitement Le prétraitement est à peu près identique pour le lait concentré sucré et non sucré. Il comprend la standardisation de la matière

(intégré au service maternité) et personnels de santé informent, encouragent et accompagnent les parturientes sur les questions de : - l’allaitement maternel, certains membres du personnel disposent du certificat international de “consultante en lactation” : le taux d’allaitement maternel atteint 50 % à Champeau pour une moyenne nationale autour de 30%. -le sevrage tabagique - le dépistage précoce systématique de la surdité et des problèmes de vision chez les nouveaunés (13% des nourrissons sont concernés

gestation, les oviductes ou trompes de Fallope (pairs et terminés chacun par un pavillon) : organes de la fécondation • les glandes génitales : les ovaires : organes de la gamétogénèse (production des gamètes), les mamelles (seins) : organes de la lactation Chez l’homme le système reproducteur comprend : • des voies génitales, communes (urètre) avec les voies urinaires, au sein d'un organe copulateur, le pénis. Les voies génitales internes se séparent d'avec les voies urinaires au niveau de la

doit être prévenu, afin d’être disponible en cas de complications. Lors de la mise bas, la chienne s’occupe des chiots au fur et à mesure de leur arrivée, coupant le cordon ombilical et mangeant le placenta : ceci est normal et nécessaire à la lactation. Les portées peuvent être nombreuses (suivant la race), allant de 2 à 12 chiots. Le propriétaire est responsable de chacun des chiots nés : il a le devoir de s’en occuper ou de leur trouver un foyer. Il est souvent difficile de placer chacun des

hormonal ou mécanique pour qu’un mâle puisse produire du lait. Dans des situations particulières, elle est même spontanée. On conclue que pour la plupart des espèces, il n’existe pas de sélection permettant d’accroître l’investissement paternel par la lactation. Il existe un type de ver très petit dont on connaît très bien la constitution biologique. Chez lui, il existe des mâles et des hermaphrodites pouvant être fécondés par eux-mêmes ou par des mâles. Mâles et hermaphrodites n’ont pas le même nombre

cerveau. Elle fonctionnent de façon complémentaire, les sécrétions de l’hypothalamus stimulent ou freinent celle de l’hypophyse. Ensemble, elles commandent l’activité des autres glandes endocrines, régissent la croissance de l’os et du cartilage, la lactation et la coloration de la peau. L’hypophyse sécrète : l’hormone de croissance, l’hormone qui stimule la sécrétion des corticoïdes, l’hormone qui stimule la thyroïde, les hormones qui agissent sur les sécrétions des glandes sexuelles, l’hormone qui règle

gonadotrophines (FSH et LH) et la somatotrophine, ou STH (responsable de la croissance chez l'enfant). Ces sécrétions sont elles-mêmes commandées par des hormones de l'hypothalamus. L'antéhypophyse sécrète aussi la prolactine (responsable de la lactation chez la femme). La posthypophyse sert de lieu de stockage provisoire à deux hormones de l'hypothalamus, l'hormone antidiurétique, ou ADH (qui empêche l'eau d'être éliminée par le rein quand il n'y en a pas assez dans l'organisme), et l'ocytocine