Lady Macbeth

méditais donc sur le triste sort des mortels flottant sur cette mer des opinions humaines, sans gouvernail, sans boussole, et livrés à leurs passions orageuses, sans autre guide qu’un pilote inexpérimenté qui méconnaît sa route »p53 Shakespeare : Macbeth tue le roi sans aucune considération des lois morales et sociales, ne le précise-t-il pas lui-même en les présentant comme des raisons qui doivent le retenir face à la tentation du mal quand il se dit : « … Il est ici sous double garantie : / En

mien. Je laisse à Gavarni, poète des chloroses, Son troupeau gazouillant de beautés d'hôpital, Car je ne puis trouver parmi ces pâles roses Une fleur qui ressemble à mon rouge idéal. Ce qu'il faut à ce coeur profond comme un abîme, C'est vous, Lady Macbeth, âme puissante au crime, Rêve d'Eschyle éclos au climat des autans, Ou bien toi, grande Nuit, fille de Michel-Ange, Qui tors paisiblement dans une pose étrange Tes appas façonnés aux bouches des Titans. Commentaire Ce poème

L’Homme doit agir contre le mal, car il ne peut être passif et donc laisser le mal l’affecter sans rien faire. Il se doit, si possible, de rétablir le bien. A l’image dans Macbeth, Malcom annonce V,9 : « Nous le ferons selon mesure, temps et place : Merci à tous ensemble », il désire défaire le mal établit par Macbeth, l’ancien tyran, et reconstruire le royaume avec l’aide de chacun. Ainsi, politiquement, il décide de rétablir le bien. Cependant, il ne peut pas par ses actions éliminer tout

fureur bestiale de notre sang ». Mais ces forces gouvernent-elles entièrement le héros tragique et détruisent-elles complètement l’ordre du monde ? Nous analyserons dans quelle mesure l’idée de Steiner peut s’appliquer aux Bacchantes d’Euripide, à Macbeth de Shakespeare et à Britannicus de Racine. Après avoir étudié en quoi la tragédie révèle effectivement que l’ordre humain est sans cesse menacé par des forces destructrices, nous verrons qu’elle demeure néanmoins dotée d’un sens moral. Enfin, nous

Afin d’étudier au mieux ces deux problèmes posés, ainsi que ce qui pousse le philosophe à défendre cette thèse qu’au travers d’un mal le bien peut être crée, nous nous appuierons sur les œuvres au programme, c’est à dire la pièce de théâtre tragique Macbeth écrite par Shakespeare, le roman Les âmes fortes de Giono ainsi que La profession de foi du vicaire savoyard, ouvrage imaginé par Rousseau. Nous avons tous vécu une ou plusieurs situations dans lesquelles il s’est avéré qu’un mal,

reste inachevée et c'est au lecteur d'éclaircir cette énigme. Ainsi le sombre mystère de l'homme est au centre de la pièce, à la fois du côté de l'auteur, des personnages, et du lecteur. Les personnages principaux de Lorenzaccio, d'Hamlet et de Macbeth se posent tous trois la question de leur identité, et de comment un acte peut changer toute une vie. Cette interrogation chez les personnages va plus loin que la simple question « Qui suis-je ?» puisqu'elle met en doute la notion d'humanité, et qu'elle

et de de qql chose d'extrêmement populaire. Le titre du départ: Ubu roi ou les polonais: → Ubu n'a jamais fait parti des rois de Pologne, donc pas la Pologne que nous connaissons, un lieu imaginaire. Dès la liste des personnages : parodie de Macbeth (imite un genre ou un texte de façon à le détourner de son objectif premier et de le rendre comique). La parodie va se retourner contre les conventions du drame. On sait par le titre qu'Ubu sera roi. Mère Ubu, Père Ubu : expression enfantine, personnages

théâtre Ubu Roi publiée en 1896, œuvre de jeunesse de l’auteur français Alfred Jarry. Celui-ci s’inscrit, au XIXème siècle, à la frontière entre le symbolisme et le surréalisme. Ubu Roi est inspiré de la pièce tragique Macbeth de Shakespeare. Dans cette pièce Lady Macbeth, épouse de Macbeth le convainc d’assassiner le roi Duncan pour prendre sa place. Jarry s’inspire largement de cette intrigue où Ubu roi devient un tyran usurpateur. Cet archétype grotesque du tyran règne dans une Pologne de fantaisie

époque. Le titre de l’œuvre « Ubu roi » est d’abord inspiré d’une tragédie grecque de Sophocle « Œdipe roi »  . Ubu roi en lui même est en grande partie une parodie de Macbeth de Shakespeare, l’intrigue est en effet similaire puisque dans les 2 cas la première scène de Ubu roi reprendre le premier acte de Macbeth ou Lady Macbeth convainc son mari de tuer le roi au meme titre que mère ubu demande a père ubu de tuer le roi de venceslas. Alfred Jarry transforme totalement le théâtre traditionnel et

L’Homme doit agir contre le mal, car il ne peut être passif et donc laisser le mal l’affecter sans rien faire. Il se doit, si possible, de rétablir le bien. A l’image dans Macbeth, Malcom annonce V,9 : « Nous le ferons selon mesure, temps et place : Merci à tous ensemble », il désire défaire le mal établit par Macbeth, l’ancien tyran, et reconstruire le royaume avec l’aide de chacun. Ainsi, politiquement, il décide de rétablir le bien. Cependant, il ne peut pas par ses actions éliminer tout