Lady Macbeth

de son pays et fréquente la communauté d’expatriés de la Rive Gauche. Devenu impuissant des suites d’une blessure reçue sur le front italien, au cours de la Première Guerre mondiale, assumant son malheur et s'en accommodant, il est toujours épris de Lady Brett Ashley, belle et riche Anglaise de trente-quatre ans en instance de divorce, le type même de la «femme moderne» émancipée, cosmopolite, qui l’a soigné lors de son hospitalisation alors qu’elle était infirmière bénévole. Elle, qui est séduisante

heurtées), lumière. Position scabreuse qui va faire aussi la gloire du romantisme. ( Univers fantastique William Blake, La Pitié, vers 1795 Disciple de Füssli. Reconnaissance tardive de l’Académie, marginal. Représentation d’un passage du roman Macbeth de Shakespeare surprenante. Vision personnelle et originale. Blake joue avec une iconographie médiéval (icono du gisant, p.ex) ( Détournement originale d’une iconographie de le religion chrétienne mais qui ici n’a plus du tout le même sens Son

have done too many evil things yet they have not repented and asked for pardon until their death. Regan is poisoned to death by her sister Goneril (V,3) “Sick, O, sick” “My sickness grows upon me”, who in turn commits suicide “O’ she’s dead!” “your lady: and her sister/By her poisoned; she hath confess’d it” (V,3). These extreme gestures will cause their being tortured in the hell forever and they will never have any chance to resurrect from their death. Besides, Edmund, whose soul is dead before

Rembrandt, ou un trait de grandesse à la Velasquez qui trahit la race sous la difformité sordide. En remuant dans son chaudron toute sorte d’ingrédients fantas quement bizarres et cabalis quement vénéneux, Baudelaire peut dire comme les sorcières de Macbeth : « Le beau est horrible, l’horrible est beau. » Ce e sorte de laideur voulue n’est donc pas en contradic on avec le but suprême de l’art, et des morceaux tels que les Page 35 Copyright Arvensa Editions Extrait Charles Baudelaire : Oeuvres

des hommes. – Séduction violente peu habituelle dans ces années-là. Le désir est rapidement formulé dans les allusions. C'est un autre thème du film: la férocité du désir (cf scène entre Mme Grosnay et Verdoux). Rapport en esprit avec Gloucester et Lady Ann dans Richard III de Shakespeare. Pouvoir de séduction. – Comédie de mœurs qui repose sur l'analyse des sentiments et d'une époque. – Chaplin use encore du slapstick (cf la chute par la fenêtre) – A la fin, pas seulement mort d'un personnage

territoire national. Si le culte de Dostoïevski fit place, dans les années 30, à des jugements plus modérés, l'audience d'écrivains américains, anglais et allemands ne cessa, quant à elle, de croître. Que l'on songe au succès obtenu par L’Amant de Lady Chatterley de D. H. Laurence en 1932 (succès de scandale, il est vrai, auquel la préface d'un Malraux, désormais éminent, n’est sans doute pas étrangère) ou à l'enthousiasme que souleva au sein du public de l'époque Contrepoint d'Adous Huxley en 1928

territoire national. Si le culte de Dostoïevski fit place, dans les années 30, à des jugements plus modérés, l'audience d'écrivains américains, anglais et allemands ne cessa, quant à elle, de croître. Que l'on songe au succès obtenu par L’Amant de Lady Chatterley de D. H. Laurence en 1932 (succès de scandale, il est vrai, auquel la préface d'un Malraux, désormais éminent, n’est sans doute pas étrangère) ou à l'enthousiasme que souleva au sein du public de l'époque Contrepoint d'Adous Huxley en 1928

mien. Je laisse à Gavarni, poète des chloroses, Son troupeau gazouillant de beautés d'hôpital, Car je ne puis trouver parmi ces pâles roses Une fleur qui ressemble à mon rouge idéal. Ce qu'il faut à ce cœur profond comme un abîme, C'est vous, Lady Macbeth, âme puissante au crime, Rêve d'Eschyle éclos au climat des autans ; Ou bien toi, grande Nuit, fille de Michel-Ange, Qui tors paisiblement dans une pose étrange Tes appas façonnés aux bouches des Titans ! Hymne à la beauté Viens-tu du ciel profond

certainement pas une des servantes du château : vous êtes… » Il s'arrêta et jeta les yeux sur ma toilette, qui, comme toujours, était très simple : un manteau de mérinos noir et un chapeau de castor que n'aurait pas voulu porter la femme de chambre d'une lady ; il semblait embarrassé de savoir qui j'étais ; je vins à son secours. « Je suis la gouvernante. – Ah ! la gouvernante, répéta-t-il. Le diable m'emporte si je ne l'avais pas oubliée, la gouvernante ! » – 182 – Et je fus de nouveau obligée

qu'un forfait, souvent un meurtre, a été commis, a pu être décelé dans la ‘’Gesta romanorum’’ qui date de l'an 1300 environ et où une matricide garde sur ses mains des traces de sang indélébile ; dans ‘’Macbeth’’ (1606) de Shakespeare où personne ne peut voir le sang qui couvre les mains de lady Macbeth, elle sachant pourtant qu’il existe. - Le thème de la chambre interdite se trouve plusieurs fois dans ‘’Les mille et une nuits’’ et d’autres contes orientaux où, néanmoins, l’interdit est plus souvent