Laisse Moi Nerval

Rabelais). A travers ses œuvres, François Rabelais défendait fortement les idées humanistes. Rabelais décéda en 1553. Gérard de Nerval (19ème siècle) : De son vrai nom Gérard Labrunie, Gérard de Nerval est né à Paris le 22 mai 1808. Il fut le fils d'un médecin militaire. Cet auteur appartient au romantisme (mouvement apparu au milieu du 18ème siècle). Gérard de Nerval se suicida le 26 janvier 1856. Il s'est pendu dans une ruelle parisienne. Saint-Amant (17ème siècle) : Marc Antoine Girard de

géographiques.Bien que brève, la densité de son œuvre poétique fait d'Arthur Rimbaud une des figures considérables de la littérature française. Commentaire : Par un procédé habile, Rimbaud essaie de nous mettre sur une fausse piste, mais il nous laisse une foule d'indices qui recouvre le thème de la mort. Le "trou" peut être assimilé à une tombe creusée, les "glaïeuls" qui ne sont pas des fleurs aquatiques mais celles que l'on dépose dans les cimetières, puis les "haillons" qui sont des vêtements

de « Sylvie » dans les Filles du feu de Gérard de Nerval 10.11.2014 Samantha Haug (5.Semestre) HF: Vergleichende Romanische Sprach- Bachmattenstr.24 Bachmattenstrasse 24 wissenschaften 5630 Muri NF: Französische Literaturwissenschaften Email: sam_li@gmx.ch Introduction L’œuvre Les filles du feu paru en 1854 fait partie d’un recueil de nouvelles et de courts récits, écrit par Gérard de Nerval. Gérard Labrunie, dit Gérard de Nerval, est né à Paris en 1808 et passe son enfance dans

| |Bonaparte |1856 : Madame Bovary, Flaubert | | |1852-1870 |Second Empire |1852-1870 |Napoléon III |1854 : Les Filles du feu, Nerval | | | | | | |1862 : Les Misérables, Hugo | | | |

début du XIXème Gérard de Nerval écrit un article dans le Messager où il décrit le fait de voyager au hasard. Dés le début du XXème siècle et encore de nos jours on observe l’importance de revenir sur soi-même grâce à la partie Voyage extraite du livre d’Alain Propos sur le bonheur de 1925 et au labyrinthe de la cathédrale de Chartres. L’homme doit il savoir prendre son temps et voyager au hasard pour effectuer un bon détour sur soi-même? Tout d’abord l’homme ne se laisse plus tenter par les biens-faits

permanent donc le "moi" à cette incapacité à se reconnaître vis à vis de l'instabilité des manifestations qui le constitue. Ce qui amène à la question suivante posée par Pascal : " Où est donc ce moi, s'il n'est ni dans le corps ni dans l'âme". Cela laisse à penser que la réponse "qui-suis-je" se trouve en dehors de l'instabilité de nos qualités et de nos entendements. Nous devons certainement trouver cette réponse dans un domaine qui est au delà du "je" et des apparences qu'on lui a créer ( Stéréotype)

o 6.4 La poésie-chanson La poésie médiévale [modifier] Les chansons de geste [modifier] La geste ou chanson de geste désigne un récit versifié (un long poème) en décasyllabes ou, plus tardivement, en alexandrins, assonancés regroupés en laisses (longues strophes de taille variable) relatant des épopées légendaires héroïques mettant en scène les exploits guerriers de rois ou de chevaliers, remontant aux siècles antérieurs. La geste, du latin gesta, est ici à comprendre comme « action d’éclat

Anti-utopies et principe espérance dans Les Châtiments de Victor Hugo  Cette communication prolongera la réflexion sur le romantisme et l’utopie amorcée à l’occasion de mes recherches sur Nerval. Elle sera l’occasion de faire le point de mes recherches sur la poétique de l’utopie au XIXe siècle. Je replacerai Les Châtiments dans l’histoire de la relation complexe qu’entretient le romantisme avec l’utopie. Mon propos ne sera pas centré sur le prophétisme, sujet déjà abordé par Sheila Gaudon[1]

de soi, et le relâchement. Cela concerne toutes les civilisations. Le troisième texte est extrait de Les Misérables écrit par Victor Hugo, 1862. Il raconte une forme de fête qui est le carnaval. Le dernier texte est Un voyage à Cythère de Gérard de Nerval, 1854. Il raconte la fête qui se passait dans les châteaux, une fête de convenance. Ensuite il y a un poème de Victor Hugo, La fête chez Thérèse du recueil Les Contemplations, 1856. Il illustre la fête qui s'y passe. C'est la raison pour laquelle

l'annonce du duel par le Comte Horace de Beuzeval à Pauline. Comte Horace de Beuzeval, Paris, 23 novembre 1832. Chère Pauline, J’ai appris de la part d’Alfred de Nerval, un ami à vous il me semble, que vous étiez en vie. Je ne sais pas comment un tel miracle à put se produire, mais je devine la participation de M. de Nerval. Je dois avouer que je suis surpris, Pauline. De toute évidence, vous avez pris un point d’honneur à ce que j’ignore votre existence. Je le comprends et vous méritez des