Lamartine Droit Au Travail

Les Regrets, Joachim du Bellay « A George Sand (IV) », Poésies Posthumes, Alfred de Musset « A la Santé », Alcools, Guillaume Apollinaire « Le Guignon », Les Fleurs du Mal, Charles Baudelaire « L’isolement », Méditation poétique, Alphonse de Lamartine La solitude est un sentiment que chaque personne a ressenti au moins une fois dans sa vie. La solitude est un état de la vie où ceux qu’on aime nous manquent. A travers les siècles et les différents mouvements, de nombreux poètes vont ressentir

qui suivent (21 décembre 1851), un plébiscite accorde au Président le droit de rester au pouvoir pendant 10 ans. On parle

journal "National"), et l'autre républicaine mais constituée de civils (qui diffusent leurs idées grace au journal "la Réforme"). On retrouve des représentants de ces deux organisations dans le gouvernement provisoire. Ainsi, d'anciens députés, comme Lamartine, Ledru Rollin, Crémieux ou encore Arago font partis du gouvernement provisoire. Du coté de "La Réforme", on trouve le socialiste Louis Blanc, et "l'ouvrier" Albert. On remarque que les socialistes sont en minorité, contrairement a ce que pouvaient

Bourbon, pour une investiture parlementaire. Heureusement, les députés n'étaient pas seuls, les insurgés avaient envahi la salle des séances, et la pression populaire allait faire pencher dans le camp de la République des élus de l'opposition, comme Lamartine. Le 24 au soir à l'hôtel de ville un gouvernement provisoire était formé, résultat d'un compromis entre républicains, libéraux non socialistes, et les démocrates plus ou moins ouverts aux idées socialistes. 11 noms formaient ce gouvernement provisoire

socialistes, nationalistes, scientisme...). On se retrouve dans une situation étrange : un pays où les cadres et les structures de la société ont totalement changé, avec à sa tête une monarchie parlementaire immobiliste (on peut penser à la phrase de Lamartine “La France est une nation qui s’ennuie”). Il y a donc un décalage de fond entre la société et l’Etat qui ne peut se résorber que par l’action et le renversement du régime conservateur. Il suffit pour cela qu’un incident éclate : c’est ce qui arrive

temps qui fuit … Une malédiction pour tous . Sommaire Page 1 & 2 : Préface Page 3 & 4 : “Le pont Mirabeau” de Guillaume Appolinaire Page 5 & 6 : "L’Horloge" de Charles Baudelaire Page 7 & 8 : "Le Lac" de Alphonse de Lamartine Page 9 & 10 : "Le Ballet des heures" de Gérard de Nerval Page 11 & 12 : "Assied toi sur le bord" de Jean Baptiste Chassignet Page 13 & 14 : "Soleils Couchants" de Victor Hugo Page 15 & 16 : "Chansons d'automne" de Paul Verlaine

donc qui les défendent et donc qui ont le droit de vote. En 1845 une crise économique intervient. Cela entraine un ralentissement de la croissance et une augmentation du chômage et surtout ouvrier. Il existe donc des revendications sociales et politiques. Les Hommes revendiquent un suffrage du corps électoral pour que ceux qui n’ont pas forcement les moyens mais qui ont suffisamment d’éducation puissent voter. L’obtention du diplôme permet de disposer du droit de vote. Et deuxième revendication, pour

rechercher, cultiver quelque chose de bon. La modernité : Au milieu du XIXème siècle, quand Baudelaire surgit sur la "scène littéraire" deux grands mouvements se partagent l'espace d'expression poétique : le Romantisme et le Parnasse. Lamartine, Vigny et surtout Hugo pour le premier, Gautier, Banville, Leconte de Lisle et Hérédia pour le second occupent la place. Comme tout artiste, Baudelaire a à faire le deuil de ses attirances pour trouver sa propre voix. Baudelaire

reconnaîtra quelques droits démocratiques. En 1830 une révolution permet à la bourgeoisie libérale de porter le roi Louis-Philippe au pouvoir. C’est le début de la monarchie de juillet. En 1848 viendra la seconde République suite à une autre révolution jusqu’au coup d’état de 1851. Le romantisme va se développer durant les mouvements de libérations nationales dont il exalte les valeurs. Il sera aussi influencé par la révolution industrielle qui modifiera en profondeur les conditions de travail et le cadre

possède des terres qui rapportent moins. 2. Le cas de Paris Dans la première moitié du siècle, l’exode rural fait doubler la population de Paris. Les gens des régions les plus pauvres (montagnardes) de France viennent à Paris car celle-ci offre du travail industriel et tertiaire. Alors que, jusqu’à la fin du 18e siècle, les quartiers parisiens sont tous de même tailles et homogènes, avec des habitations présentant une mixité sociale, l’exode rural coupe Paris en deux quartiers : le quartier populaire