Lamartine Le Souvenir

Sujet : Les poètes cherchent-ils toujours à fuir le monde réel ? Introduction : Inspiration poetique, mythe d’Orphée, definition des termes dii sujet I- Le poète fuit le monde reel et le quotidien...A- Le poête fuit le monde réel pour s’isoler de la souffrance qui le consume Le poete se présente volontiers comme un être venu d’ailleurs, éternel voyageur qui fait la réalite, « n’importe oir, loin du monde » (« Anywhere ont of the world », titre d’un poeme des Fleurs

que dans la tragédie et la comédie (XVIIe siècle). ex. Mon cœur, lassé de tout, // même de l’espérance, N’ira plus de ses vœux // importuner le sort ; Prêtez-moi seulement, // vallons de mon enfance, Un asile d’un jour // pour attendre la mort. (Lamartine, Méditations poétiques, « Le Vallon ») Ces quatre vers sont des alexandrins. La césure y a une place fixe après la sixième syllabe. On la note au moyen d’une double barre oblique. 3.2. Définition : - une césure (« coupure »), ou une coupe : le repos

« Le lac » d’Alphonse de Lamartine, Méditations poétiques. 1820 « La courbe de tes yeux… » Paul Eluard, Capitale de la douleur 1926 « Où que tu sois, je t’aime » André Velter, l’amour extrême. « Souvenir » Alfred de Musset, Poésies nouvelles, 1850 «  elle était déchaussée » Victor Hugo, Les contemplations, 1856 « Comme un chevreuil » Pierre de Ronsard, Amours de Cassandre, 1552 «  Et la mer et l’amour… » Pierre de Marbeuf, recueil de vers, 1628 Alphonse de Lamartine, Méditation poétiques (1820)

engloutissez ? Parlez : nous rendrez-vous ces extases sublimes Que vous nous ravissez ? Ô lac ! rochers muets ! grottes ! forêt obscure ! Vous, que le temps épargne ou qu'il peut rajeunir, Gardez de cette nuit, gardez, belle nature, Au moins le souvenir ! Qu'il soit dans ton repos, qu'il soit dans tes orages, Beau lac, et dans l'aspect de tes riants coteaux, Et dans ces noirs sapins, et dans ces rocs sauvages Qui pendent sur tes eaux. Qu'il soit dans le zéphyr qui frémit et qui passe,

Français sont toujours à la recherche d’un régime stable, capable de garantir les libertés et l’égalité devant la loi. De nombreuses expériences politiques sont tentées, dont une République entre 1792 et 1799. Les Catholiques et les paysans gardent un souvenir terrible de cette période qui a fait plus de 300 000 morts en France, marquée par la Terreur de Robespierre, la guerre civile religieuse en Vendée, et les répressions sanglantes contre les velléités d’indépendance des grandes villes de Province.

née à partir du premier succès de Lamartine avec Les Méditation Poétiques. Le Romantisme devient alors, dans la poésie, une volonté d’explorer les possibilités des vers afin d’enrichir l’expressivité de celle-ci. Il réclame ainsi la libre expression de la sensibilité, et prône ainsi le culte du moi, comme il est dit dans la préface aux Méditation Poétiques de Lamartine (1790-1869) « je n’imitais plus personne, je m’exprimais moi-même pour moi-même ». Lamartine Selon Baudelaire (1821-1867), « L’examen

beaux Et j'en sais d'immortels qui sont de purs sanglots ». Je vais dans cette anthologie présenter différents poèmes dont la date d'écriture va du moyen-age au XXIe siècle exprimant un sentiment de nostalgie du a des causes aussi variées que le souvenir d'une époque révolue, d'une relation amoureuse ou amicale rompue, ou encore un simple mal-être inexplicable... Ballade sur le trépas de Bertrand Du Guesclin d'Eustache Deschamps Estoc d'honneur et arbre de vaillance, Cœur de lion épris de

liaison, il avait écrit, encore dans sa première manière, Rolla (1833), où la fausse rhétorique alterne avec des amertumes à la Byron et qui ne laisse pas de produire, par instants, de grands effets. De 1835 à 1837, il donne Les Nuits, la Lettre à Lamartine, les plus belles pages lyriques qui existent dans notre langue. Lui-même a bien marqué la transition : J’ai vu le temps où ma jeunesse Sur mes lèvres était sans cesse Prête à chanter comme un oiseau ; Mais j’ai souffert un dur martyre, Et le

comme la vie est lente » (hiatus ). Les souvenirs du poètes sont dominés par la nostalgie, mais il sait tirer parti des ses échecs amoureux. Il transforme ceux-ci en une mélodie et admet que la joie survient après la peine. II-A)La permanence du pont de l'être et du souvenir Le poème ouvre sur l'image du pont, symbole de permanence ; elle est reprise avec le vers « sous le pont de nos bras » où s'ajoute le symbole de solidarité et d'amour mais aussi de souvenir. Les distiques ( les refrains ) sont

des six poèmes suivants : « Westwego » de Philippe SOULAUT « Ma bohème » de Arthur RIMBAUD « 26mai 1954 » de Bernhard BERENSON « Signes pour voyageurs » de Jean FOLLAIN « Voyage solitaire » de Christian RULLIER « Les voiles » d'Alphonse de LAMARTINE Si j'ai choisi ces textes c'est parce que ils étaient en rapport avec mon sujet et que leur contenu me plaisait. Chacun de ces poèmes à une vision différente du voyage qui permet l 'exhaustivité de cette anthologie. Alors, cher ami lecteur