Lampe néon

Sofia à Madrid : les flammes causées par les bombes ne sont pas encore présentes sur les toits des maisons et les premiers dessins semblent évoquer une simple querelle entre des chevaux et des taureaux qu'une femme, tendant au bout de son bras une lampe à pétrole, chasse de la place du village par ses cris. Une étude récente montrerait cependant que la toile achevée serait reliée dès ses premières esquisses aux travaux précédents de Picasso sur la Minautoromachie (1930-1937) : le taureau présent sur

(épée qui représente la symbolique de la paix), un cheval qui représente le peuple et la douleur qui est exprimée par la langue pointue comme un couteau, une lampe ayant la forme d’un œil et représentant une lueur d’espoir malgré l’horreur de ce bombardement. On peut également voir une femme apparaissant à une fenêtre et brandissant une lampe à pétrole, une femme s’enfuyant et un personnage en proie aux flammes d’une habitation. Au second plan, des architectures intérieures alternent avec des vues

celle-ci serait sous la dictature franquiste (Franco meurt en 1975). On remarque au premier plan une femme avec un enfant dans ses bras, un taureau, un homme allongé avec une épée dans la main droite, un cheval, une lampe au plafond, une femme apparaissant à une fenêtre et brandissant une lampe à pétrole, une femme s’enfuyant, un personnage en proie aux flammes d’une habitation. Les expressions sont fortes (femme criant de douleur, cheval terrorisé, soldat mort…), et accentuées par la déformation de l’ensemble

balance : l’enfant est très léger. La scène a lieu dans une maison en bois délabrée, dont le sol est recouvert de sable, les murs en terre… nous sommes certainement dans les bidonvilles ou les camps de villages africains. Les seuls objets sont une lampe à pétrole et un vase vide, la pièce est sobrement décorée. Analyse : Toutefois, c’est l’enfant qui nous attire le plus l’intention : il est éclairé par une lumière, et au centre de l’image ; telle était la volonté de Sébastiao Salgado. Mais ce

conservées au Musée de la Reine Sofia à Madrid : les flammes causées par les bombes ne sont pas encore présentes sur les toits des maisons et les premiers dessins semblent évoquer des chevaux et des taureaux qu'une femme, tendant au bout de son bras une lampe à pétrole, chasse de la place du village par ses cris. Une étude récente montrerait cependant que la toile achevée serait reliée dès ses premières esquisses aux travaux précédents de Picasso sur la Minotauromachie (1930-1937) La toile exprime toute

il est «dépucelé» de l’Horreur l.3, comme si la guerre rendait l’humanité folle. Il exprime une grande incompréhension, c’était MEME reconnu, encouragés» (l.39), il est choqué par cette dure réalité «rien à dire.» l.41 Il compare la guerre a une lampe à arc, qui consumera tout sur son passage «Allemagne, France et Continents» l.8 . Il vit la guerre comme la pire des condamnations à mort, vision fataliste «de la prison on y sort vivant, pas de la guerre». Il cherche donc un moyen d’aller en prison

Sofia à Madrid : les flammes causées par les bombes ne sont pas encore présentes sur les toits des maisons et les premiers dessins semblent évoquer une simple querelle entre des chevaux et des taureaux qu'une femme, tendant au bout de son bras une lampe à pétrole, chasse de la place du village par ses cris. Une étude récente montrerait cependant que la toile achevée serait reliée dès ses premières esquisses aux travaux précédents de Picasso sur la Minotauromachie (1930-1937)2 : le taureau présent

est composée de deux plans. Au premier plan se trouvent , de gauche à droite, une femme avec un enfant dans les bras, un taureau, un homme allongé avec une épée et une fleur dans la main droite, un cheval, une lampe au plafond, une femme apparaissant à une fenêtre et brandissant une lampe à pétrole, une femme s’enfuyant, un personnage en proie aux flammes d’une habitation. A l'arrière plan se trouvent des architectures intérieures alternant avec des vues extérieures, des portes, des fenêtres, des

-La composition se tient à l'intérieur d'une maison et celle-ci est éclairé par une lampe. De plus, on peut voir le sol dallé, le mur du fond et le plafond.

plusieurs éléments indiquent le caractère éphémère de la vie : - Le crâne tout d’abord, qui montre la mort qui nous attend, et qui rappelle que tous les biens terrestres sont éphémères et futiles, comparé à la mort et à la parole divine. - La lampe à huile qui brûle devant des livres entassés, constitue le point focal du tableau, mais elle représente encore une fois le caractère éphémère de la vie terrestre . => En ce sens, le tableau est une méditation sur la fuite du temps. Cette œuvre