Langues amérindiennes

Il parle de la situation des indiens d’Amérique après la colonisation de leurs terres par les espagnols. Il évoque le mauvais traitement qui leur est infligé par les colons. D’après ce qu’il a vu, beaucoup d’atrocités sont commises sur le peuple amérindien. Vient le tour de Sepùlveda qui défend sa position contre les indiens d’Amérique. Dans son discours, il affirme que ces indiens sont des créatures que Dieu ne reconnaît pas. Pour lui, s’il y’a la guerre, c’est uniquement par la volonté de Dieu

Étape 1 : Plan comparatif du développement Point de vue : Oui, les deux auteurs représentent le Sauvage d’une manière très méprisante et négative. Par ailleurs, ils placent les Français comme étant des êtres supérieurs aux Amérindiens. Argument principal 1 Tout d’abord, dans les deux textes le Sauvage est représenté comme un être inférieur aux Français en raison de ces biens matériels moins évolués que ceux des Français. Sous-argument 1.1 Sous-argument 1.2 D’abord, dans Récits de voyage le Sauvage

s'effectuent en canots. Ceci fait de mâchecoui font six mètres. Munis d'une quille, ils vont en mer. L'usage de voiles vient des Européens. Aujourd'hui les Béothuks sont éteints. La dernières représentante, Shanawdithit, décède en 1829. Désormais, la langue béothuks n'est plus utilisée. Diamond Jenness, The vanished Red Indians of Newfoundland, Montréal, Canadian Geographical Society,‎ janvier 1934 (traduction) Rousseau Jacques, Le dernier des peaux-rouges, Montréal, Éditions des dix,‎ 1963,

principale reste la pandémie (notamment la variole) "A travers les Amériques, les maladies qui contaminaient les Européens se propagèrent de tribus en tribus, voyageant bien plus vite que les Européens eux-mêmes. On estime que 95 % de la population amérindienne pré-colombienne [ndla : avant Christophe Colomb], les tribus les plus peuplées et les mieux organisées d’Amérique du Nord, les sociétés vivant au nord du Mississipi, disparurent entre 1492 et 1600, avant même que les Européens ne s’installent sur

Dans la situation d’énonciation le dialogue se passe entre trois personnages dont un philosophe Sepulveda un prêtre dominicain Las Casas et un cardinal envoyé par l’église dont nous ne connaissons pas le nom. Se passe à Valladolid en Espagne en 1550, on y parle des indiens et la problématique et l’humanité des indiens dans ce texte le philosophe prend partie pour dire que les indiens sont des esclaves le dominicain défend les indiens le prélat lui joue le rôle d’arbitre, il est attentif il distribue

sont tellement stupéfaits par cette obsession de l’or qu’ils pensent que les espagnols se nourrisse de ce métal. Lorsque Cortès arrive dans la ville aztèque Tenochtitlan il admire sa civilisation. Il encourage le métissage avec la noblesse amérindienne et il désigne des chefs de tribu pour gouverner. Cependant, il justifie la conquête par son dégoût des sacrifices humains et cette religion diabolique. Cortès et les conquistadores détruisent ainsi la culture indigène. La conquête espagnol

début du 19ième siècle, nombreux sont les européens qui vont quitter leur pays pour partir en quête du continent américain. Un port sera bâti en Amérique du nord afin d’accueillir plusieurs millions d’immigrants. La démographie de la population amérindienne sera rapidement rattrapée et dépassée par ces nouveaux arrivages. Comment s’est déroulée l’expansion des échanges commerciaux entre l’Amérique et l’Europe ? De nombreuses relations économiques liaient ces deux continents, à commencer par

Un Amérindien, ou Indien d'Amérique, est un des premiers occupants du continent américain ou un de leurs descendants. En 1492, l’explorateur Christophe Colomb pense avoir atteint le sous-continent indien, alors qu’il vient de débarquer en Amérique. C'est dans ce contexte que les Européens nommeront brièvement ce territoire les Indes occidentales, pour les différencier de celles dites orientales. À cause de cette confusion, on continue d’utiliser le mot « Indiens » pour parler des populations du Nouveau

La controverse de Valladolid été écrit en 1992 par Jean-Claude Carrière, l’histoire est inspirée d’un fait réel de 1550 dans lequel la mise en esclavage des indiens est discutée par deux personnages : un philosophe, Sepulveda, historiographe de l’empereur Charles Quint et qui représente « l’accusation » dans la controverse et de l’autre coté un prêtre dominicain Bartholomé de Las Casas qui fit plusieurs voyages entre l’Europe et le Nouveau Monde, il vit l’esclavage des indiens d’Amérique et la mort

nazi. Sur la page de gauche, un texte explicatif relevant en rouge les mots essentiels, agrémenté de petites vignettes explicatives. Sur la page de droite des dessins ou photographies en noir et blanc où s’insèrent des propos d’enfants, dans leur langue originelle puis en traduction, pour montrer le quotidien des enfants venus d’ailleurs. Ce livre est une ouverture sur le monde qui permet la découverte des autres. Le message qu’il fait passer est que tous les peuples possèdent leur propres richesses