Lanterne des morts

d’exécution ( les soldat français) La lumière de la lanterne divise le tableau en deux . La lanterne posée au sol illumine en contreplongée l’homme qui à les bras en croix et qui porte une chemise blanche il fait figure de martyr (référence au christ crucifié) la lumière sert à dramatiser la mise en scène. On peut observer les trois étapes de l’exécution : ceux qui vont mourir, ceux qui sont est en train de mourir et ceux qui sont morts. La lumière est en direction des victimes et à droite du

tombe….près de Juliette ». Roméo accepte « je le ferai ». Puis il commence à rappeler leur noblesse : celle de Paris p251, « noble comte Paris » : un homme de la même valeur et âge que lui. Il rappelle que Paris était cousin de Mercutio : tous deux morts, et parents du prince : le prince a deux fois à se plaindre à avoir perdu un parent « j’ai perdu deux parent » alors qu’il était extérieur à la querelle familiale. Or, ce sang versé l’a été par un Capulet puis par un Montaigu : il ne peut en vouloir

mouvements (se cachent le visage, prient …) ou beaucoup de sang, comme une volonté de susciter des émotions. 1er plan au milieu : le groupe des condamnés et dominé par une victime au visage bouleversé. Il est illuminé par la lumière d'une grosse lanterne, que l'on pourrait interpréter comme divine vis à vis des soldats qui eux sont dans l'ombre. Il se trouve dans la même position de Jésus Christ lors que sa crucifixion. Ce personnage a donc une dimension sacrée. Arrière-plan : l'Espagne est dans

de prouver sa bonne santé mentale, le narrateur s'appuie sur de nombreux détails tel que l'heure, le nombre de planche qu'il a soulevé pour dissimuler le cadavre, la méticulosité avec laquelle il ouvrait la porte chaque nuit « j'introduisais une lanterne sourde bien fermée, bien fermée », le nombre de jours pendant lesquels il a observé le vieillard « et cela je l'ai fait pendant sept longues nuits,_chaque nuit juste à minuit ». Mais cela à l'effet inverse de celui souhaité, le narrateur paraît encore

délimitée, à droite, par une femme qui s’enfuit, et à gauche par un soldat mort, par la ligne imaginaire qui part de sa main. Elle part de la lanterne. Ces deux personnages font la liaison entre les différentes parties du tableau. A la base de la pyramide, la mort est représentée par le soldat, et au sommet c'est la revanche qui y est symbolisée, par la lanterne brandie. Il y a une opposition entre l’élan de la femme de droite qui se dirige vers la lumière et le taureau qui s’en détourne. Quatre

croix avec des stigmates sur les deux mains, avec derrière la colline qui peut faire penser au mont Golgotha ou a été crucifié le Christ.Il porte une chemise blanche symbole de la pureté et c'est celui qui est le plus exposé à la lumières grâce à la lanterne. Les espagnols : Parmi les espagnols qui vont être fusillé certains se cachent les yeux pour ne pas voir la scène horrible qui se passe, d'autres prient avant que ce ne soit leurs tours et un homme qui brandit

le tableau Guernica en 1937 suite à un événement historique : Le bombardement de la Guernica le 26 avril 1937 par l’aviation nazie, durant la guerre d’Espagne (1936-1939). Hitler soutient le camp franquiste du général Franco. Il y a eu plus de 1600 morts. C’est le premier bombardement civil du monde. Il devait terroriser la population. En ce temps-là , Picasso habitait à Paris, mais étant espagnol. Dès le conflit de la guerre civile d’Espagne il se range du côté des républicains, la partie opposante

Día de los Muertos : ( La Toussaint ) les 1 et 2 Novembre sont honorés les morts; elle est célébrée comme une fête : La vie engendre la mort afin de perpétrer le cycle de la vie. 1. Historique La légende de l'humanité serait née des os de nos ancêtres mêlés au sang de Quetzalcóatl (la plus haute divinité aztèque). Ce mythe renferme l'élément clé de la philosophie mexicaine précolombienne qui ne peut dissocier la vie de la mort. Il a évolué, de même que tant de choses au Mexique d'une combinaison

personage qui forme une croix symbolisant le christ ,Au pied des soldats est posée une lanterne. Toute la lumière de la scène provient de cette lanterne. En arrière plan, dans le sombre, les contours d'un village apparaissent. Seul monument nettement reconnaissable : L'église. Les soldats sont alignés et soudés . On ne peut apercevoir leurs visage. Ils ne sont que les bourreaux, obéissant aux ordres de Napoléon. Les morts jonchant le sol et le sang qui coule viennent rappeler que rien ne sauvera ces

Présentation du tableau: Tres de Mayo est une huile sur une toile de 266 x 345 cm qui fut peinte en 1814. Sur cette toile, on observe sur la droite les Français qui sont en train de viser les Espanols avec des fusils . A gauche , des madrilènes morts sont au premier plan .En blanc , un Madrilène lève les mains . Ce tableau dénonce la férocité de la répression française du soulèvement des Madrilènes du 2 mai 1808 contre l'occupation de Madrid par l'armée napoléonienne dirigé par le général Murat