Lapsus

d’important à dire. Les débordements les plus classiques les suivants : - Les lapsus : langue qui « fourche ». Lors d’un vrai lapsus, le sujet se rends compte qu’il y à un problème, et il est mal à l’aise, alors qu’une simple erreur serais passé inaperçue. Les lapsus les plus flagrants sont ceux qui ont lieu dans des situations ou le surmoi prend beaucoup d’importance. Les deux pulsions qui sont généralement à la base des lapsus sont les pulsions agressives et sexuelles. - Les oublis et les actes manqués

Freud interprète les lapsus. Ceux-ci consistent dans l’expression du contraire de ce que le sujet consciemment prétend vouloir dire ou faire. Prenons comme exemple ce président d’une assemblée qui ouvre la séance en énonçant qu’elle est close. Cela veut dire qu’il désire inconsciemment qu’elle s’arrête. Le lapsus révèle donc une vérité sur le sujet. Il permet donc de découvrir que le sujet se mentait à lui-même. En effet, le mensonge à soi est l’expression inverse du lapsus. Le sujet énonce le faux

pas conscience. Des éléments de notre vie que nous devrions savoir nous sont cachés. L'inconscient s'oppose donc bien à la connaissance de soi. Les lapsus et les rêves sont des évènements de la vie courante mettant concrètement en évidence les limites de notre maitrise personnelle : tous deux nous empêchent d'user de notre volonté. Dans le cas du lapsus il s'agit d'un phénomène rapide que l'on ne peut pas anticiper. Une action qui n'a pas le temps d'être soumis à notre morale et à notre raison. Le

l’individu. Tel un chercheur, il partira de ces éléments bruts pour en extraire sa matière première. Il y a deux autres façons aussi de procéder pour comprendre et aider le patient. Analyser et savoir interpréter ses rêves et savoir déchiffrer ses lapsus. L’interprétation des rêves est la voie royale à la compréhension de l’inconscient humain. Confus et incompréhensibles, les rêves des adultes doivent être compris comme étant l’association d’un contenu manifeste du rêve et des idées oniriques latentes

involontairement : en faisant un lapsus, un rêve ou encore un acte manqué, c'est-à-dire l'oubli d'un nom propre, par exemple. Nous percevons certains éléments, tous les jours. Cependant, d'autres nous échappent totalement. Nous gardons des souvenirs cachés dans notre inconscient. Il arrive que ceux-ci resurgissent à travers des lapsus, des rêves, ou encore des actes manqués. Nous n'avons donc pas entièrement notre liberté lorsque nous parlons (nous pouvons faire des lapsus), nous dormons (nous pouvons

ce qui est totalement réfléchi. Sartre, quant à lui, a une vision plus complexe de la conscience, et il y inclut le corps-sujet, ainsi que tout ce qui est spontané et dynamique, et que Freud attribue à l'inconscient. Tandis que Freud attribue les lapsus, les actes non intentionnels, spontanés et non délibérés a l'inconscient, Sartre croit que ce n'est pas suffisant pour y croire. Bien qu'on n'ordonne pas à notre corps tout ces gestes, on peut tout de même en prendre conscience avec un peu d'effort

connaissent ni le temps ni la réalité mais sont constamment actives et ne peuvent se satisfaire qu'en trompant la vigilance de la conscience, sous forme déguisé, dans les rêves, les actes manqués, c'est à dire les erreurs, les oublis ou encore les lapsus, comme par exemple lorsque qu'on s'adresse à quelqu'un en l'appelant par le prénom d'une autre personnes, cela signifiai que l'on pensait à cette autre personne à qui l'on désirerait parler plus qu'a cette personne présente à ce moment. Notre inconscient

tout homme bien portant. Ce sont les phénomènes que nous désignerons par le nom générique d'actes manqués et qui se produisent lorsqu'une personne prononce ou écrit, en s'en apercevant ou non, un mot autre que celui qu'elle veut dire ou tracer (lapsus) ; lorsqu'on lit, dans un texte imprimé ou manuscrit, un mot autre que celui qui est réellement imprimé ou écrit (fausse lecture), ou lorsqu'on entend autre chose que ce qu'on vous dit, sans que cette fausse audition tienne à un trouble organique

certaines conditions sont réunies, sont une voie de soulagement de l’appareil psychique. En d’autres termes, l’élément perturbateur inconscient est remplacé par le biais d’un compromis par un contenu manifeste déformé quand il s’agit d’erreurs, de lapsus ou de souvenirs

partie du psychisme latent, faite de désirs, de pulsions, de tendances, dont on ne peut disposer car elle échappe à la connaissance. L'inconscient arrive cependant à se manifester dans les "actes manqués" de la vie quotidienne comme des oublis ou des lapsus, dans les rêves ou les troubles du comportement. Certains grand philosophe en sont arriver a distinguer l'insconscient et ainsi proposer leur propre thèse sur ce phénomène très intéréssant. Ces auteurs se contredisent parfois entre eux, mais tous