Latrines

mensonge et les tromperie de certains moines. Rabelais désacralises les moines avec des jeux de mot du champ lexical de la scatologie l.11"ils mangent la merde du monde" qui désigne les pêchés et l.12 "comme mange-merde, on les rejette dans leurs latrines" qui désigne leurs couvents et abbayes. Rabelais les comparent aussi à des êtres inutiles avec la comparaison entre un singe et un moine l.15à23 "Le singe ne garde pas la maison comme un chien [...] C'est pourquoi ils sont raillés et détestés par

est impitoyablement décrit. Il y mange mal, et subit d'autres punitions. Il parle des odeurs du collège : il « pue l’encre » et Vingtras se désespère : « Quelle odeur de vieux !... » Il évoque l’« infection », « cet aire empesté » constitué par les latrines situées juste à côté de la classe de Jacques, au lycée. Il est plus sévèrement punis que les autres élèves car son père est professeur, il doit donner l’exemple. En effet, Vallès dédie ce roman : « À tous ceux qui crevèrent d'ennui au collège ou

plus qu'à moitié détruites par l'ouragan de mitraille que notre artillerie y a lancé, aussi sont-elles incommodes et horriblement sâles malgré les réparations urgentes que nous y avons faites ; tout y manque : l'eau (propre ou sale), les boyaux, les latrines ; elles sont à moins de 200 mètres de la 1ère ligne ennemie, avec laquelle elles communiquent par des boyaux obturés ; elles sont parsemées de cadavres français et allemands ; sans presque me déranger j'en compte bien 20 figés dans les attitudes

comiquerecours aux registres satirique et comique qui devient polémique - Le style de l’auteur vise à désacraliser (profaner) de manière radicale et provocante la présentation du clergé. ex : Rabelais associe les termes « mange-merde » et « latrines » aux abbayes et couvents - « et si vous comprenez »  parallélisme de constructions. - Assimile le moine à un singe qui est présenté comme inutile et nuisible (l-12 a 14) - Analogie accentué par la locution » de la même façon (l-17) - « railler

L’individu et plus particulièrement la femme, à la manière de la Princesse de Clèves est au cœur de l’histoire. Smita, est complètement dépendante de son mari Nagarajan et elle vit dans la pauvreté la plus extrême en Inde, obligé de récurer les latrines des plus riches. C’est impensable à notre époque de voir qu’elle est emprisonnée dans une classe, les dalits. Comme la PDC l’est de la Cours, Smita tente de sortir sa fille de cette classe. Sarah quant à elle, est une femme qui est brillante et prête

] nous servant seulement de nos bouches » ou aussi « Il fallait que je fasse le beau, que je tourne sur moi-même, que j'aboie, que je tire la langue... ». Son humanité est dénié aussi lorsqu’il devient « L'homme Merde ». Son rôle est de vider les latrines et de les curer avec soin. Brodeck n'est pas le seul personnage a être animalisé: Göbber est comparé à ses coqs (voir page 33). La Mère Pitz se voit comme un vers (voir page 55). Les hommes du camps sont traités comme des bêtes (voir page 26). Orschwir

à quoi bon la peinture? Qui aurait la folie de préférer Mozart à M. Carrel, et Michel-Ange à l'inventeur de la moutarde blanche? Il n'y a de vraiment beau que ce qui ne peut servir à rien; [...] L'endroit le plus utile d'une maison, ce sont les latrines.» Toute beauté est superflue a priori, celle de la littérature comme celle de la peinture, de la musique. La beauté de la nature est superflue. Il nous est très utile de transformer l'ensemble de la planète en un mélange d'usines, d'autoroutes

l’école (et de mobiliser les ressources pour l’école), et notamment la cantine scolaire d’entretenir les infrastructures et les équipements de l’école, notamment l’adduction d’eau, d’assurer l’hygiène et l’assainissement dans l’école (cour, classes, latrines, cuisine), d’élaborer et d’exécuter des projets d’école (jardins scolaire par exemple), d’amener les parents d’élèves à participer activement à la vie de l’école. 2. COMPOSITION DU BUREAU EXECUTIF DU CGE (BECGE) Idéalement, le BCCGE sera composé

du camp, qui est incroyablement compliqué ; les interdictions sont innombrables interdiction de s'approcher à plus de deux mètres des barbelés ; de dormir avec sa veste, ou sans caleçons, ou le calot sur la tête ; d'entrer dans les lavabos ou les latrines "nur fur Kapos" ou "nur fur Reichsdeutsche" ; de ne pas aller à la douche les jours prescrits, et d'y aller les jours qui ne le sont pas ; de sortir de la baraque la veste déboutonnée ou le col relevé ; de mettre du papier ou de la paille sous ses

essentiel pour prévenir les maladies et diminuer la mortalité. C’est pourquoi les hydrauliciens d’Action contre la Faim ont aménagé plus de 1292 points d’eau (ils ont ainsi creusé ou réhabilité 788 puits, 306 forages…). En parallèle, plus de 1488 latrines ont été construites afin d’aménager les conditions d’hygiène. Pour garantir la pérennité de ses actions, Action contre la Faim a constitué plus de 284 comités de gestion de l’eau, responsables de la gestion des points d’eau. En outre, 16 834 séances