Latrines

cadre de planification adéquat. Le taux d’accès des ménages à un système autonome d’évacuation des excréta et des eaux usées y a connu une faible progression sur la période. Environ 1 600 latrines familiales ont été réalisées durant l’année 2007, soit 5% de l’objectif annuel d’environ 30 000 latrines. L’impact de ces réalisations sur le taux d’accès n’est pas très significatif au niveau national, mais les leçons tirées des expériences en cours sont d’une très grande utilité pour dégager

d'argent proportionnel à la faute commise voir même un retrait de travail. Les conditions de vie des ouvriers sont durs : trop petites maisons pour des familles aussi nombreuses. Ceci entraîne pas mal de désagrément comme une hygiène déplorables (2 latrines par une rue entière comptant plus de 120 personnes), les maisons sont délabrées, vielles, malpropre et humide, l'odeur y est infecte. Par manque de place, les familles qui lavent leur linge, le font à l'extérieur devant chez eux. Pour conclure

d’elles a été retrouvé un lit en bois carbonisé. On trouve aussi à Herculanum des thermes urbains qui sont séparés en deux sections . Pour la section masculineL'entrée se fait depuis la rue Cardo III et donne sur un couloir flanqué de latrines publiques. Le couloir conduit à la cour intérieure de la palestre, bordée d'un portique sur trois de ses cotés. Au fond, se trouve le vestiaire (apodyterium) avec des étagères, puis les salles thermales : le frigidarium à gauche du vestiaire, rond

toutes les recettes sont intégralement envoyées au Burkina pour la construction de l’école. En fin d’année 2011, Dominique NIEDERLAENDER, retourna à Bobo Dioulasso pour acheter des matériaux et payer les maçons. L’objet étant la construction des latrines pour les futurs enfants de l’école. Là encore, il ramena d’Afrique bon nombre d’objets d’artisanat qui seront revendus ici au profit de l’école. Mi novembre 2012, deux membres de l’association retournent à BOBO DIOULASSO afin d’y faire effectuer

- le tepidarium salle tempérée et pour finir par - le caldarium salle de bain chaud. - A coté de la petite piscine se trouvait une salle ou on faisait brûler du bois, la chaleur circulait alors dans toutes les pièces - les latrines (toilettes) étaient un endroit ou l’on s’entretenait avec des amis, les sièges étaient situés directement au dessus des égouts LES JARDINS Les jardins étaient très bien entretenus, ils offraient aux promeneurs des arbres rares , des fontaines

deux fronts ? 100 m - Décris les difficultés de vie dans les tranchées (cinq réponses au moins) : Froid, absence de confort, poux, morts à proximité, entassement, manque de nourriture, problème des latrine - Tu as certainement reconnu Michel Serrault qui joue un civil mécontent dans sa cuisine. Quelle catégorie de Français incarne-t-il ici ? Français d’une zone occupée obligé de laisser sa maison à l’ennemi 3) Les fraternisations

humaine nous devons être à mesure de prendre soin de notre environnement en le protégeant contre tout ce qui le dégrade. En effet il faut éviter la pratique de certaine chose comme l’usage des produits toxiques pour la pêche, éviter de construire des latrines situés près des cours d’eau ou des nappe phréatiques , éviter les fumés dégagés par les usines et des véhicules à moteur, interdit l’agriculture itinérant sur brûlure et empêcher le défrichement de l’écosystème. Par ailleurs il demeure évident de

étage se situe la salle d’accueil, voutée d’ogives. Cette pièce servait de salle de réception. La salle de Vigie basse était un poste de surveillance de l’entrée du port. Au niveau 2 c’était un lieu privé : La salle du Troubadour donnait accès aux latrines ainsi qu’à la salle du Capitaine qui se trouvait au même niveau et qui était le lieu de résidence du Capitaine et de sa famille. C’était un ensemble fonctionnel avec une chapelle et une étude. Au niveau 3 se trouve le chemin de ronde relié au 2e

l’armarium[31], la salle du chapitre[32], le parloir ou auditorium[33], l’escalier vers le dortoir, un passage permettant aux moines de ne pas traverser l’église pour sortir et la salle des moines. L’étage regroupait généralement le dortoir des moines. Les latrines sont contigües au dortoir. On trouve également une infirmerie réservée aux religieux (n° 11) cependant, elle est située eà l’extérieur du bloc des bâtiments des moines. Un bâtiment consacré au noviciat (n° 9) est accolé aux locaux réservés aux moines

ne savait pas les prénoms des femmes avec qui elle était sur les couchettes dans la baraque ou elle vivait, le fait qu’elle n’avait aucune intimité et qu’elle devait se mettre dos à dos avec des femmes ou filles qu’elles ne connaissaient pas aux latrines… Dans tout son récit, Ginette m’a ému par le fait qu’elle évoquait ses souvenirs sans pleurer, avec force, pour dénoncer les traitements qu’on lui avait fait subir. J’ai trouvé ça beau, courageux et brave. Cela était une preuve que la vérité pouvait