Laïcité Problématique

assujettie à sa politique d'utilisation que vous pouvez consulter à l'URI http://www.erudit.org/apropos/utilisation.html Document téléchargé le 27 April 2011 11:58 « La laïcité de l'État dans l'espace camerounais »La laïcité de l'État dans l'espace camerounais Bernard MOMO* D'origine lointaine, le principe de la laïcité de l'État est consacré en France par la Loi du 9 décembre 1901 et étendu au Cameroun en applica- tion de l'article 7 de la Convention du mandat, puis du Décret du 28 mars

exemple, il écrit dans les 10 commandements « tu ne tueras point », or dans la loi, ce précepte est encore valable. Le droit français permet la liberté de culte quel qu’il soit car cette liberté rentre dans la liberté de conscience, pilier de la laïcité en France. Ainsi, est autorisé le mariage religieux, le droit à la sépulture dans un cimetière catholique, juif, musulman, peu importe. Les lieux de cultes sont aussi importants. Beaucoup d’églises, car les racines de la France sont catholiques. Mais

d’orientation de 1989 modifiée par la loi de programme et d’orientation pour l’avenir Politiques des identités ou laïcité ? 5Partant du constat que l’on ne comprend pas le mot « laïcité » dans les autres pays, surtout anglo-saxon, qui y ferait même parfois rire, il exprimera son désir que la France se mette mieux à la portée des autres cultures en changeant ses références. Laïcité, sans doute un mot incompréhensible pour les Anglo-saxons et pour cause, il y est intraduisible. C’est bien précisément

laïque s'oppose à religieux. Historiquement dans les églises on appelait laïques les chrétiens qui n'avaient pas de fonction religieuses. Ceux qui en avaient une étaient appelés les Clercs, ce qui a donné le corps du clergé. Le mot lui même de laïcité est crée en 1871 et il apparaît dans le dictionnaire du Littré (C'est une notion antérieure à la reconnaissance de ce mot dans le dictionnaire). Au XIX ème siècle, le mot s'applique à des réalités différentes. On va appelé laïque ce qui est séparé

Jean GAUDEMET : Né à Dijon le 10 septembre 1908 -Mort à Paris le 17 mais 2001 . Juriste et historien du droit français . Docteur et agrégé , il est professeur de droit à l'université de Grenoble(1935) , Institut de droit canonique de Strasbourg(1937 à1964) , Université Paris II (1950 à 1978 ). Directeur d'études en 1965 à L'École pratique des hautes études . Président de la Société Jean Bodin , de L'association des hsitoriens des facultés de droit et de l'Association international du droit

Le philosophes des lumières prônaient plusieurs valeurs au XVIIIème siècle telles que l'autonomie, la liberté, l'émancipation, la diffusions des connaissances, ... . Parmis celle-ci trois sont particulièrement intéressantes : la laïcité, la tolérance et les droits de l'Homme. Elles sont importante car elle permettent un bon fonctionnement de la vie en société. Elles possèdent toutes deux caractéristiques fondamentales : l'interdépendance et l'importance. L'interdépendance signifie qu'elle dépendent

LA LAICITE Définition La laïcité est en principe la séparation de la religion et de l’Etat. C’est un des grands principes reconnus par la République française. C’est une liberté fondamentale qui garantit les droits de l’Homme et le protège à travers le système sociétaire. L’Etat est alors neutre à l’égard de toutes religions, et respecte la conviction de chaque citoyen d’une manière égale. La laïcité laïque . Les valeurs d’une laïcité laïque sont la liberté de pensée, l’indépendance de l’esprit

destination de tous les instituteurs français dans le but de les guider dans l'application nouvelle de leurs fonctions depuis la promulgation de la loi du 28 mars 1882. Cette loi rend l'enseignement obligatoire de 6 à 13 ans et établie également la laïcité de cette instruction. Elle fait suite à la loi du 16 juin 1881 qui rend l'enseignement primaire public gratuit. Jules Ferry rédige cette lettre le jour même où il quitte son poste de Ministre de l'Instruction publique et adresse alors aux instituteurs

étroitement à la République. Ils impriment leur marque sur la notion d’« esprit républicain ». Cette conception est étroitement associée aux notions universelles de défense des droits de l’homme et de l’opprimé (devant la raison d’État), de justice, de laïcité, de respect des droits de la nation souveraine exprimés par le parlement. Cette philosophie de la République marque en profondeur toute la génération des hommes politiques qui ont vécu l’Affaire et ont conduit les destinées de la IIIe République jusque

d’inquiétude vis-à-vis de la religion musulmane. En France, la Loi n° 2004-228 du 15 mars est créée afin de restreindre le port de signe religieux dans les écoles, les collèges et les lycées, pour rappeler que la France est avant tout un état laïc. La laïcité en France est définie comme « un principe qui distingue le pouvoir politique des organisations religieuses — l’État devant rester neutre — et garantit la liberté de culte». De plus, il ne doit favoriser ou défavoriser la propagation des croyances