Le Baiser Doisneau

soup cans » Jasper JOHNS, « Flag » Roy LICHTENSTEIN, « Girl with ball » Claude MONET, « L''ensemble des Nymphéas à l'Orangerie » (XIX° siècle) Affiche nazie sur l'annexion de l'Autriche Robert DOISNEAU, « Le baiser de l'Hôtel de Ville » Robert DOISNEAU, « Les Sables d'Olonne » Léni RIEFENSTAHL, « Le Triomphe de la volonté » Léni RIEFENSTAHL, « Les Dieux du stade » Victor FLEMING, « Autant en emporte le vent » DIDEROT et d’ALEMBERT, dessins et gravures

naturelle toute une série de portraits "ethnographiques" de Russes, de Hottentots et d’Esquimaux. Au vingtième siècle, Dorothea Lange élargit le champ d’action du photographe en représentant des gens simples dans leur quotidien, et non en studio. Robert Doisneau, Henri Cartier-Bresson ou Richard Avedon ont également beaucoup travaillé sur le portrait du quotidien. On peut penser que l'instantané est forcément fidèle à la réalité car le photographe prend des personnes réelles dont des anonymes sur le moment

Le Baiser de l’hôtel de ville Introduction Le Baiser de l'hôtel de ville est une photographie en noir et blanc de Robert Doisneau qui date de 1950 quand le monde commence à se remettre de la Seconde Guerre Mondiale. Elle lui fut commandé par le magazine Life sur le thème des amoureux de Paris. Un jour, en se baladant dans Paris, il tombe sur un jeune couple qui s'embrasse. Les trouvant superbes, il va voir les amoureux et leur demande s'ils acceptent de s'embrasser à nouveau pendant

1. Le thème de l'image (ou contenu du champ) Cette photographie, en noir et blanc, montre un couple de jeunes gens s'embrassant, au milieu d'une foule affairée, place de l'hôtel de ville, à Paris. Elle a été réalisée en 1950 par Robert Doisneau. 2. Le point de vue Le point de vue adopté est matérialisé par la présence en amorce, sur le côté gauche du cadre, d'un personnage assis à la terrasse d'un café. Le regard du photographe prend ainsi place à l'intérieur de la scène en adoptant le point de

d’instant prégnant : fragment de temps très court qui représente l’essence d’un évènement = rep un instant pour le tout. Photographie = représentation d’un instant quelconque. Doisneau et Cartier-Bression = mélanger photo et instant prégnant : photographie cet instant unique. Triche : mise en scène = le baiser de l’hôtel de ville. Robert Frank Kertez Notion techniques : vitesse d’obturation : comment transmettre idée du temps à un spectateur avec image fixe ? Quand ? Pendant combien

anthologie. Quelques peintures en avant gout tel qu’une illustration des poèmes , « Nuit étoilée sur le Rhône » de Vincent Von Gogh ou bien encore des photographie tels qu’une très belle photo connu de tous et de toute « Le Baiser devant l’hôtel de ville » de Robert Doisneau ou bien encore des peintures de Léonard de Vinci , de Monet et de dessin d’amateur … Nous espérons qu’à la suite de cette anthologie votre passion pour l’art tel que la peintures, le dessin, la photographie et bien évidemment

poursuivre j'ai cherché un poème sur l'amour physique et plus particulièrement le baiser. Embrasse-moi de Jacques PREVERT qui est une poésie du XIXème siècle m'a interpelé. J'ai trouvé que PREVERT a d'une belle manière d'écrire qu'il faut profiter de l'instant présent et donc ici du baiser et que c'est permis à n'importe quel âge. Pour l'illustrer j'ai choisi Le baiser de l'hôtel de ville du photographe Robert DOISNEAU de 1950. En se qui concerne les projets communs et ici plus précisément j'ai

signification (premier plan occupé par des activités terriennes), et du contexte (vision individuelle d'un peintre du XVI e siècle). Dans la relation pédagogique, cet examen ne doit pas forcément être explicite. La séquence pédagogique sur Le baiser de Doisneau montre comment un jeu de questions-réponses en classe permet de dégager un corpus d'observations qui ouvre à un réel travail sur l'image, à un réel travail sur la différenciation des regards sur cette image. Le développement et même l'explicitation

arrière-plan à gauche. Cette photographie est un parfait exemple de ce qu’est l’instant décisif : un moment rare, fugitif et éphémère. Conclusion : On peut rapprocher d’autres œuvres de cette photographie telles que : * Le baiser de l’hôtel de ville, Robert Doisneau, 1950 * Le garçon à la baguette de pain, Willy Ronis, 1950 Ces deux photographies appartiennent au courant de la photographie humaniste et représentent « l’instant décisif ». Avis : Ce que je trouve remarquable dans cette

photographie du document n 4, illustrant l’émission de téléréalité de M6, le pensionnat de Chavagne, l’école des années 50 est effectivement différente de celle du début du XX eme siècle, pour limiter au cas français. Cette école, que le photographe Robert Doisneau a immortalisé avec ses clichés en noir et blanc, n’est pas mixte, comme le rappelle des inscriptions sur les façades d’école primaire ( école de filles/ écoles de garçons ). Si le ministère est adoptée dans la loi en 1952, elle mettra deux décennies