Le Baiser Doisneau

résistants………………………………………................................... La Tour Eiffel ……………………………………………………………………. Paris sous l’occupation Allemande ……………………………………………... L’artiste engagé………………………………………………………………….. Quatre Images de résistance, Robert Doisneau…………………………………. La Folle de Chaillot, Jean Giraudoux…………………………………………… Mémorial de la Shoah………………………………………………………….... Musée de l’armée………………………………………………………………... Recueille de poèmes…………………………………………………………….. Journal intime……………………………………………………………………

elle l’aide à se cultiver, à s’interroger et le rend d’avantage intelligent. Robert DOISNEAU par exemple, un photographe humaniste du 20ème siècle, ses photos avaient pour but de faire naitre une émotion, une certaine spontanéité ce dégager de ses clichés, il avait l’art de provoquer de l’émotion, peu d’homme pouvait rester sans réactions devant ses photos, en voici une exemple : « Le baîser de l'hotel de ville », prise à Paris en 1950. D’autre part dans la vie courante nous sommes

de génie. En effet, il imagine les quelques minutes qui auraient précédé le célèbre cliché du Baiser de l’Hôtel de ville photographié par Robert 11 ART et PUB Doisneau en 1950. Le réalisateur emprunte non seulement la prise de vue mais lui réinvente aussi une histoire, et construit un scénario du Paris des années 50. Sur toile de fond, une Peugeot 406 fait son apparition. La phrase de Doisneau « La beauté échappe aux modes passagères » s’applique ici au produit et sert de signature à la

ville (Berlin/Munich/Cologne/…) avait son chroniquer photographique particulier pour photographié les décombres. Toute une génération a trouvé en ses photos, une mémoire iconique de son expérience de guerre ! ROBERT DOISNEAU (Le baiser de l’Hôtel de Ville – 1950) Robert Doisneau (1912-1994), graveur et lithographe, il fait de la photographie publicitaire dans les années 30. Il fait également de la photographie de mode pour Vogue dans les années 60. Il érige la discrétion en principe et en fait

sacré, une vallée traitée d’égal à égal par rapport au sujet. Mais, est-il possible de parler de l’eau sans la figurer, en l’évoquant simplement? L’eau comme prétexte L’oeuvre support de ce point est «Musicien sous la pluie», prise par Robert Doisneau entre 1942 et 1948. Deux hommes sont sous la pluie, éloignés l’un de l’autre, regardant des des directions opposées, peut-être pour s’ignorer. L’homme à droite a la tête baissée, probablement à cause de la pluie. L’autre tient un parapluie au dessus

rapprochement avec méduse celle-ci pétrifie tous ceux qui la regardent ( on fait appel a une maladies de la guerre qui paralyse celui qui la contracte: Le syndrome de Guillain-Barré), mais aussi les serpentes semblent cherchées a mordre le visage et de le baisser cela symbolise les attaques des personnes souffrantes de la guerre. Aussi dans les orbites des yeux et dans la bouche une mise en abyme souligne la mort. Les joueurs de skat: Auteur: Otto Dix Date 1920 Support: Huile et collages sur toile Dimensions:

et mort plus qu’à moitié. Et qui disait: ” A boire! à boire par pitié ! ” Mon père, ému, tendit à son housard fidèle Une gourde de rhum qui pendait à sa selle, Et dit: “Tiens, donne à boire à ce pauvre blessé. ” Tout à coup, au moment où le housard baissé Se penchait vers lui, l’homme, une espèce de maure, Saisit un pistolet qu’il étreignait encore, Et vise au front mon père en criant: “Caramba! ” Le coup passa si près que le chapeau tomba Et que le cheval fit un écart en arrière. “Donne-lui tout de

las d'amour, levant les yeux languissamment, Nous avons eu tous deux un long tressaillement Sous la sérénité du rayon planétaire. Sans doute, à cet instant deux amants, dans Vénus, Arrêtés en des bois aux parfums, inconnus, Ont, entre deux baisers, regardé notre terre. Charles Cros (1842-1888) tiré de l'amour et l'amitié en poésie Je suis perdu, vois-tu,je suis noyé,inondé d'amour;je ne sais plus si je vis,si je mange,si je respire,si je parle;je sais que je t'aime. Recueil "Premières

angoissée, lasse ; depuis l’attente de son bus le matin à l’attente d’une mort prochaine, nous la vivons constamment. Nous avons donc essayé d’en représenter un certain nombre à travers les photographies que nous allons vous présenter. Robert DOISNEAU : FFI au repos (sans date) Attente de la Liberté DESCRIPTION -Format portrait -Plongée -Jeune homme à même le sol, adossé contre un mur de pierre. -Soldat des Forces Françaises de l’Intérieur. -Jambes tendues -Main repliée -Uniforme de soldat

telle une envie thérapeutique, d’immortaliser la vie, la rue, la famille, les sentiments. Pourtant déjà présent, ce courant humaniste est plus fort que jamais. On parle de réalisme poétique, expression usitée au cinéma. Un exemple connu de tous : Le baiser de l’hôtel de ville de 1950. En marge de cette ligne de conduite, la photo dite « subjective » (Fr) puis « creative » (US) souligne une volonté de rompre avec le style humaniste du moment ; photographie qui est sans rappeler la continuité expérimentale