Le Bolchevisme Et La Culture

de la Wehrmacht : sur 783 divisions allemandes disséminées sur tous les fronts, 607 sont anéanties sous les feux soviétiques[réf. nécessaire]. Goebbels avait énoncé l'un des objectifs idéologiques de la guerre à l'Est : « La lutte contre le bolchevisme mondial est le but principal de la politique allemande ». Il faut ajouter à cela la volonté des Allemands de reconquérir ce qu'ils considèrent comme leur « espace vital » — le Lebensraum — et celle de réduire en esclavage les peuples slaves considérés

l’Allemagne. Le régime de Vichy est le résultat d’un choix idéologique personnel lié à la conviction d’une victoire allemande. Le maréchal Pétain souhaite une entente étroite avec l’Allemagne afin de protéger l’Europe d’une Bolchévisation qui détruirait la culture européenne. Le régime de Vichy se caractérise enfin par la mise en place d’une collaboration d’Etat (collaboration sans doute tactique pour la plupart des Vichystes qui pensent obtenir des compensations de la part du régime nazi.) Le début officiel

mémoires collectives la leçon retenue est que cette exposition ait donné aux français « une conscience impériale ». C’est un lieu de mémoire, un endroit ou se fixe la conscience collective (Pierre Nora)[1]. Paul Reynaud dans ce texte, inscrit dans la culture française un empire colonial comme « une merveille, une curiosité ». Dans un second temps l’empire est envisagé sous ses aspects utiles. Enfin Paul Reynaud envisage un idéal impérial qui serait au service d’un occident solidaire. Dans quelle mesure

La Deuxième Guerre mondiale  B/ à partir de la Première Guerre mondiale, la guerre est désormais « totale » 1/ Le rôle-clé de l’Etat dans l’effort de guerre 2/ Une intense propagande participe à la diffusion d’une « culture de guerre » 3/ Une mobilisation économique exceptionnelle, au service d’une guerre industrielle II/ L’expérience combattante de la Première Guerre mondiale : une violence nouvelle qui traumatise les sociétés (2h) A/ La guerre moderne

furent toujours disposés à traiter avec elle quand cela servait leurs besoins, une partie de leurs membres continuaient à considérer le Bolchévisme comme l’ennemi numéro un. Les conservateurs pensaient que la meilleure chose serait de loin une guerre germano-soviétique, qui affaiblirait, ou peut-être détruirait, les deux ennemis, et qu’une défaite du Bolchevisme par une Allemagne affaiblie ne serait pas une mauvaise chose. Staline, quant à lui, espérait maintenir l’URSS à l’écart de la guerre tandis

la société. Question de la « culture de guerre » : thèse de Audoin-Rouzeau/Becker, pour qui elle explique la violence du conflit. Mais problématique, caractère improbable du surgissement de toute une culture en quelques mois, risque de gommer les spécificités. Possibilité d'autres explications : logique économique (culture de masse s'adapte aux besoins patriotiques de l'heure), logique sociale et médiatique (ce serait plus un « discours dominant » qu'une culture de guerre). → mobilisations intellectuelles

soumettre d'autres, notamment en Afrique. Mais puisque les fascistes étaient au départ uni moins par des doctrines que par une opposition commune à tout, ils cherchent aussi à unir le peuple contre des « ennemis » : les premiers d'entre eux étaient le bolchevisme et autres mouvements classés à l'extrême-gauche, et par conséquent le parlementarisme puisqu'il les encouragerait en fin de compte : « ils appellent […] une tyrannie comme le monde n'en a pas encore connue (l. 13-14)». L'auteur se réfère sans doute

insurrections et grèves sont durement écrasés et se soldent par des échecs. Dans la plupart des pays occidentaux, le bolchévisme suscite la peur. On assiste un peu partout à la séparation des partis entre les communistes qui soutiennent le Parti Bolchévik russe et les socialistes qui rejettent les méthodes révolutionnaires des Bolchéviks. 8 L'URSS de Staline I Du bolchévisme au stalinisme a) La Russie de Lénine ( 1917–1924 ) L'application des décrets de Lénine provoque une guerre civile entre

C’est l’échec de la stratégie bismarckienne et la marque de l’intégration politique. 1.2 La formation d’une contre –culture ou société ( ou subculture ) appuyée par un syndicalisme puissant ,le premier d’Europe * Etude de documents page 90-91 : classe ouvrière et syndicalisme 1875-1914 Durant les années de répression se développe une contre- culture socialiste ou sub-culture ( contre –société ? débat historiographique à ce sujet) qui perdura bien après la 1èreGM .les socialistes se considèrent

parti « armé » qui accélère militairement le processus légal. Cette idéologie se base également sur l’anticommunisme et une tendance à l’amour de l’ordre qui lui assurera le soutien des élites italiennes malgré le fait que Mussolini rejette toute culture bourgeoise et humaniste pourtant en vogue à cette époque. Le reste de ces commandements dicte la légitimité supérieure du Duce et de la nation comme en témoigne le dixième commandement du milicien fasciste : « une chose doit t’être chère pardessus