Le Bonheur Est Il Individuel Collectif Ou Universel

conduire d'une manière spécifique, orientée vers un objectif. Les pulsions, enjeux ou mobiles auxquels obéissent les salariés dans leur travail affectent leur productivité. A bien des égards, la fonction de manager vise à stimuler les motivations individuelles en faveur des objectifs de l'organisation. Toute motivation est orientée vers un but, c'est à dire un résultat auquel l'individu veut parvenir. Néanmoins, les motifs sont difficilement observables (on ne peut que les supposer2). Ils sont nombreux

substance. Il s'inspire surtout de l'atomisme de Démocrite pour fonder son matérialisme. Selon Démocrite la réalité est composée d'atomes, fragments de matière insécables, et de vide. La théorie de la connaissance : fidélité aux sensations Si le bonheur doit être un état de sécurité sereine, cette sécurité s'obtiendra d'abord par la connaissance qui est le préalable et le fondement de toutes les autres activités humaines en ce qu'elle rétablit un contact confiant avec la réalité. La connaissance

lui-même ne représente pas d’autres intérêts que ceux de la classe dirigeante. L’Etat de son côté fait croire, grâce à l’idéologie qu’il diffuse, notamment par l’enseignement, le droit, la morale, etc., que les intérêts de l’Etat sont les intérêts universels. Marx estime en effet que l’Etat ne peut représenter qu’une fraction d’une classe déterminée, par exemple, les financiers sous Louis-Philippe, ou qu’une classe peut contrôler l’Etat au détriment d’une autre. Dans cette optique, l’Etat n’est qu’une

nécessité : la capacité technique est universelle dans l’espèce humaine. La technique est un ensemble de moyens artificiels dont la finalité est d’être utile aux hommes. La technique n’est pas (ou n’est plus) une habileté, un tour de main, ni un tâtonnement heureux qui aboutit à des inventions indépendamment des progrès scientifiques : pour être transmissible il lui faut être fondé sur des savoirs, des règles, des principes et non sur un talent (qualité individuelle difficilement transmissible). La technique

parallèle entre juridique et moral s’est donc mis progressivement en place. Pour Aristote la justice permettait d’organiser la vie politique d’une cité, la démocratie en était l’application possible, le moyen d’arriver au bien, valeur en soi et gage de bonheur. En France, la vision la plus répandue de la justice est celle qui consiste à défendre l’égalité dans la différence. Nos sociétés modernes dites pluralistes, ont une notion différente du bien, une vision plus rigide pourrait-on dire. La sociologie

ou d’organismes privés, mais bien par la « volonté » du droit. Cependant le droit n’est jamais que la cristallisation normative et formelle d’une réalité irréductible à de strictes règles, et qui relève autant de visées communes que de projets individuels, autant de pratiques politiques que de contraintes institutionnelles. Disant ce que devrait être ce qui est, le droit dit ce qui n’est pas, mais ne suffit somme toute pas à dire ce qu’est un citoyen. C’est que l’idée de citoyenneté s’ouvre sur un

mondial, c’est le nouvel analyseur des stratifications sociales. Mais également un problème politique. En effet, le développement scientifique et technologique constant, la fin de l’ère industrielle et le triomphe du néolibéralisme comme système universel génèrent une société caractérisée par la mondialisation de l’économie et de la culture caractérisée par la mondialisation de l’économie ainsi que la généralisation de la « consommation émotionnelle »2 et « expérientielle »3. Quelles sont les

évidence deux types de société. Les sociétés traditionnelles sont relativement homogènes, elles connaissent des différenciations individuelles limitées et les divisions sociales que l’on y rencontre apparaissent essentiellement fondées sur la parenté, l’âge et le sexe. La conscience collective – sentiments et représentations – imprègne les consciences individuelles, et la cohésion de l’ensemble repose sur une solidarité mécanique, ou solidarité par similitude, fondée sur la ressemblance entre

fonde sur la richesse mais n’est pas plutocratie c’est-à-dire qu‘il ne se fonde pas sur le pouvoir des riches. Une crise est alors survenue. Elle conduit à seconde vague de colonisation et réforme militaire ou l’on passe du combat individuel (a cheval) à un combat collectif en rang serré ou les hommes d’armes les hoplites se rangent en phalanges ce qui nécessite plus d’homme, mais aussi une égalité des hommes dans les rangs mais pour acheter cet armement, il faut être fortuné pour cela, les hoplites

l’être humain passe par des rituels essentiellement religieux, dont certains dans des sectes ont des vocations inverses : la religion devrait permettre de se sauver de la prédestination.. A noter que L’énoncé des Nations Unies de la Déclaration Universelle des Doits de l’Homme a la même fonction de dépasser, dans sa vision, ce qui est trop lié aux appartenances. • La dignité en tant qu’être d’appartenance est le droit conféré à un individu de faire partie d’un groupe , d’être accepté comme membre