Le Bonheur Est N Est Il Qu Une Illusion

L’avenir d’une illusion de S. Freud Les citations sont données dans la trad. Balseinte, Delarbre et Hartmann, PUF, « Quadrige », 1995. Les paginations font aussi référence à cette édition (Jean-Luc Derrien). Chapitre I : La culture Les deux tâches de la culture : 1) domination de la nature : le travail 2) régulation des relations humaines ce qui suppose d’imposer aux individus une contrainte (contrainte au renoncement pulsionnel). « Toute culture doit nécessairement s’édifier

L'expérience semble donc avoir une valeur de connaissance. Si on devait définir la plus grande peur de l'homme, se serait sans aucun doute l'inconnue. Or si l'expérience amène à la connaissance, alors elle emmène aussi à un certain bonheur, à une situation plus confortable. Mais cette peur n'est pas le seul moteur qui pousse l'homme à vouloir tout connaître. En effet l'homme possède des facultés telle que la raison qu'il se doit d'utiliser. L'homme évolue donc grâce aux diverses expériences

Le Bonheur I. Socrate contre les sophistes Les sophistes défendent l’idée que le bonheur est un privilège naturel de certains hommes : est heureux celui chez qui existe un équilibre entre les désirs et les facultés. Le bonheur se mesure donc à force des désirs et à celle de les satisfaire ; autrement il se mesure à l’intensité du plaisir (hédonisme). Socrate rétorque que les désirs sont insatiables, incontrôlables et qu’ils tiennent en leur pouvoir celui qui les éprouve bien plus qu’il ne contribue

comparatifs (« les plus douces », l.3 ; « le plus simple », l.4-5 ; « un des plus puissants », l.12 ; « très grande considération », l.20 ; « encore plus respectable », l.21-22), l’insistance sur les qualités des individus et sur les images d’un bonheur que rien ne vient troubler (« droit », « simple », « bon et honnête gentilhomme », l.4-8 ; « ils riaient », l.18). L’image générale donnée par la présentation pourrait être résumée par la démonstration de Pangloss : « le château de Monseigneur le

« triste » et « silencieuse », alors qu’elle est simplement morte de fatigue après des nuits épuisantes auprès du Vicomte, Mme. de Volanges se trompe encore en demandant conseil à Mme. de Merteuil sur ce qui la tracasse, à savoir, comment procurer le bonheur de sa chère fille : doit-elle tenir la parole donnée à Gercourt et la marier à ce grand seigneur ? (dans ce cas le plan de la Marquise parviendrait à ses fins) ou bien, respectant le choix de sa fille, la donner en mariage au jeune Danceny ? (rendant

Descartes, philosophe du XVIIème siècle, pose le problème du bonheur: vaut il mieux vivre un bonheur idéaliste ou avoir une vision plus réaliste des choses au risque quelle soit plus triste ? La première vision du bonheur semble en proposer une réalité infantile, la seconde ressemble à une interdiction d'accéder au bonheur. Descartes se demande si pour être heureux il faut se mentir  exposant alors deux sortes de bonheur : un bonheur aveugle et une vision de la réalité qui risque de repousser celui-ci

qu’avant d’être heureux ». Le premier «heureux » est une conséquence de l’attente, de l’espoir, de cet illusion qui nous envahit, c’est un vrai bonheur même s’il ne dépend que de l’imagination. Alors que le second « heureux » est une conséquence de l’obtention du désir. Ce bonheur, qu’il serait normal de ressentir lorsqu’on obtient enfin l’objet de nos désirs, semble dans les faits, pour Rousseau, un bonheur imparfait. En effet notre imagination avait transformé cet objet nous son image encore plus plaisante

note les nombreux superlatifs et comparatifs (« les plus douces » ; « le plus simple » ; « un des plus puissants » ; «  très grande considération » ; « encore plus respectable »). L’insistance sur les qualités des individus et sur les images d’un bonheur que rien ne vient troubler (« droit », « simple », « bon et honnête gentilhomme », « ils riaient »).L’image générale donnée par la présentation pourrait être résumée par la démonstration de Pangloss : « le château de Monseigneur le baron était le

Satisfaire tous ces désirs, est-ce être heureux ? INTRO : Le point commun entre désir et bonheur: le plaisir -désir attiré par une chose que l’on veut posséder * But premier : la possession * Résultat de la possession satisfaction du désir qui va produire un plaisir * But final le plaisir -bonheur état stable et durable de satisfaction, donc le plaisir moyen d’être heureux. =====> désir a pour fin le plaisir et la plaisir est un moyen d’être heureux Satisfaire tous ces

 Le bonheur n'a pas de prix.      Il faut a. ________ de ce que l'on a ! Assurer son b. ________, mais ne pas exagérer. De plus, tout le monde le dit : l' c. ________ ne fait pas le bonheur. Des psychologues l'affirment : les personnes qui privilégient les d. ________, (par exemple, la maison ou la voiture), la e. ________ (comme passer à la télé ou donner des interviews) ou la f. ________ (des opérations esthétiques ou un achat exagéré de crèmes miracles) sont portées à l' g. ________ et à la