Le Bonheur Freud

«l’inconscient». Le mot a un poids sémantique plus fort en devenant un nom. Les analyses de Freud présentent l’inconscient comme une dimension présente en permanence dans toute vie humaine. Il s’agit d’un ensemble de phénomènes regroupés sous le nom de pulsions qui prennent leur origine dans notre nature physique mais se manifestent dans la vie de l’esprit et dans la société. Plus exactement, Freud refuse de séparer l’esprit du corps et considère que nous sommes indissociablement des êtres

Freud l’a montré : nous sommes élevés dans un chaudron pulsionnel. Si nul n’échappe à la crise œdipienne, reste la possibilité de la traverser afin d’apprendre à dire « je ». La famille, longtemps considérée comme une institution respectable, apparaît après Freud comme un foyer d’infections, berceau de toute névrose. Le complexe d’Oedipe montre que la famille n’est pas le lieu d’un bonheur tranquille mais le terrain d’une lutte fondatrice. 1. Le mythe d‘Oedipe chez Sophocle

pensons pas tout le temps, donc nous n’en avons pas tout le temps conscience. En théorie, je peux douter de tout, même de l’existence du monde extérieur. Exemple : Élisabeth est tombée amoureuse de son grand frère. C’est un désir inavouable pour Freud. Le refoulement est une sorte d’oubli volontaire. Il consiste à oublier un désir du champ de sa conscience, et nous libère dans un premier temps du conflit intérieur. L’inconscient est le résultat du refoulement. Une analogie est une image qui permet

utilisés et recevables, Platon par exemple pour faire une distinction entre le rêve et la réalité montre que dans les rêves s’expriment des désirs sans limites, maîtrisés dans la réalité. Il rappelle dans un extrait du livre X de la République, ce que Freud reprendra bien des siècles plus tard, cette présence de désirs et de plaisirs déréglés en chaque homme. Il entend par « déréglés » les désirs bestiaux sans pudeur ni raison. Alors que ces désirs n’ont pas n’ont pas libre cours lorsque nous sommes éveillés

chute = Adam & Eve sont chassés du paradis terrestre maïeutique = attente du retour du Messie retour à l'âge d'or = apocalypse (début du nouveau) • âge d'or = bonheur du fœtus dans le ventre de sa mère chute = traumatisme de la naissance pour l'enfant lente remontée: la vie de l'homme (la vie est pour Freud un combat permanent entre les pulsions de vie et les pulsions de mort) retour à l'âge d'or = la mort. Un homme n'est en paix que lorsqu'il est mort. • Maïeutique: procédé

pour autant qu’il els respecte toujours. Cela dit, comment expliquer la persistance de ces sentiments contraires et leur vivacité ? La réflexion psychanalytique de Freud sur l’Etat permet de trouver une explication pertinente à ce phénomène, qui aurait ses origines dans notre psychisme inconscient. Depuis l’enfance nous avons selon Freud la nostalgie du père protecteur sur lequel nous appuyer et qui nous protège. Ancré dans notre inconscient, cette figure paternelle peut ensuite se fixer sur le représentant

psychanalyste Sigmund Freud disait que l'homme, tout au long de sa vie, a deux désirs fondamentaux: le désir sexuel et le désir d'être reconnu. Ces deux désirs sont innés en lui, et l'Homme se focalise dessus. On voit peut le voir effectivement à l'heure actuelle que chaque être humain a toujours au fond de lui des pensées sexuelles mais aussi, l'envie d'être intéressé par autrui, d'être populaire. 　　 　　De plus, ces désirs peuvent guider l'Homme vers son succès, son bonheur voire sa satisfaction

raison et le reel _ La demonstration _L’interpretation _ La matiere et l’esprit _ La verité Thème 4 : La politique _ La société et les échanges _ La justice et le droit _L’etat Thème 5 : La morale _ La liberté _ Le devoir _ Le bonheur La conscience Etymologie : cum/scentia Avec/connaissance Quelques expressions : _ être consciencieux _ avoir bonne Cs à Cs morale _ prendre Cs d’une maladie _ avoir qq chose sur la Cs _ inconscient _ être conscient de ce qu’on

bienveillant, à qui on peut s’adresser. * FREUD 2)Plan politique et social : Celui qui console les misères et les malheurs pendant la vie. C’est la religion qui donne un sens et procure l’espérance. Elle offre la possibilité d’un monde meilleur après la mort. C’est ainsi que la dureté de la vie devient supportable…les souffrances s’apaisent car elles trouvent une signification. Le bonheur se conquiert pour après la mort. Pour Marx, l’h doit se construire un bonheur réel, ds ce monde, car c’est ds ce monde

comme représentation, la malédiction de l’être humain réside dans son incapacité à résister à la satisfaction du désir qui se présente. L’Homme devient donc l’esclave de ses désirs dans l’espoir d’accéder à un bonheur illusoire. Ainsi, cette dépendance à la satisfaction et au plaisir du bonheur rendent le sujet incapable d’émettre des décisions rationnelles et libres puisque celui-ci subit l’obsession des désirs non satisfaits. De plus, d’après Arthur Schopenhauer, « un désir satisfait fait place aussitôt