Le Bonheur Ne Vaut Que S Il Est Partagé

t'oublient vite une fois qu'ils n'ont plus besoin de toi ! :/ Beαucσup αiment, mαis le mσntrent pαs... Et beαucσup sσnt αimés, mαis ne le vσient pαsTop of FoBottom of Form Putain, mais il te faut des lunettes pour voir à quel point je t'aime ?! ♥ Mieux vaut perdre sa montre ,que perdre son temps avec des gens qui ne valent rien ... ♥ Il est temps de faire une pause, une pause de sentiments L'amour,c'est quand tu retombes tous les jours amoureuse de la même personne.Top of ForBottom of Form fume

sans courage, aider sans hésitation, aimer sans besoin, vaincre sans pouvoir, vivre sans peur et mourir sans regret. - La mélancolie est le bonheur d'être triste- Victor Hugo - Celui qui ne craint pas d'agir ne craint pas de parler- Sophocle - Un petit chez soi vaut mieux qu'un grand chez les autres- proverbe chinois - Maison de paille où l'on rit vaut mieux qu'un palais où l'on pleure- - L'enfance est un papillon qui se hâte de brûler ses blanches ailes aux flammes de la jeunesse-Aloysius

Introduction The Truman show > Terminales Ce film de Peter Weir (1999), fable sur un homme dont la vie est un gigantesque show télévisé, est l’occasion d’une réflexion sur plusieurs thèmes philosophiques : la vérité, l’existence, la liberté, le bonheur. Cette séquence pourra s’appuyer sur le visionnage de tout ou partie du film. Dans le cadre de la réflexion philosophique, quelques extraits nous paraissent particulièrement significatifs : - scène de la voiture avec la radio - scène du chocolat Mococoa

1. Moi d’abord ! Les couples heureux réunissent sou­ vent des gens déjà heureux, qui ont compris que, avant d’aspirer au bonheur à deux, il faut d’abord être bien avec soi­même. Ils savent qu’une personne qui se sent bien dans sa peau est moins dépendante de son partenaire. Elle s’affirme plus volon­ tiers et elle est moins méfiante envers l’autre. Elle connaît ses propres be­ soins, ses vulnérabilités, ses forces, et si, par exemple, elle a tendance à craindre d’être abandonnée, elle n’hé­

corde au cou". -Ce serait en tout cas la "mort" de son bonheur, car il y aurait incompatibilité entre le sens de"l'honneur" du jeune "baron" (l.10) et un tel mariage... pour raisons financières, et ce serait tomber bien bas que de partager le "malheur" des "pierres d'égout" (l.14) qui ne voient passer que les ordures de l'existence, et plus rien de "noble" (l.10) ni de pur. - Sans compter que cette inefficacité dans la recherche du "bonheur" serait la conséquence d'un avilissement : il faudrait

l’individualisme, de l’idéologie du succès et de l’obsession de la performance. Mais cela n'est pas valable pour tout le monde et chacun peut partager un tout autre avis. Voila pourquoi je mets en évidence une citation formulée par Blaise Pascal afin de pouvoir expliquer à bien les notions de réussite. La problématique que nous pose le philosophe est : vaut-il mieux réussir dans la vie ou réussir sa vie ? je vais donc commencer par une analyse de chacun de ces deux points de vues,je donnerai ensuite

désirer l’impossible, en tout cas pour notre bonheur. Cependant, la distinction entre le possible et l’impossible est-elle si aisée à déterminer ? Ce qui semble impossible aujourd’hui ne pourrait-il pas devenir possible demain ? Et si le désir de l’impossible nous tient en échec pour l’instant, s’il repose sur un mensonge, ne peut-il pas avoir des effets pratiques positifs ? Le désir de l’impossible ne serait-il pas souhaitable, sinon pour notre bonheur immédiat, du moins pour le progrès, pour l’imagination

Préface : La poésie appelle l'anthologie. Partager l'émotion que nous avons pu ressentir en lisant ces poèmes, là est le travail de ce petit recueil. Je vais vous parlez de la section « Spleen et idéal » des Fleurs du mal écrit par Charles Baudelaire le natif de Paris le 9 avril 1928. Son écriture nous a tous un jour fasciné ou même transporté nul part ailleurs, Le mélange parfait des sentiments, de l'évasion ou encore du voyage c'est illustré dans les différents poèmes que je vous propose

• Les sophistes ont du succès et il est répandu de croire que le « bien » dépend de nos préférences. • Les gens pensent d’abord et avant tout à servir leur intérêt. Pour Socrate : « une vie sans examen, sans remise en question, ne vaut pas la peine! » ... Il ne se contente pas de vivre et de mourir, mais s’interroge sur la manière dont il faut

le gain de richesses est devenu une fin en soi, ce qui est un mode de vie tout à fait irrationnel (« [...] leur affaire, avec son activité sans trêve, est tout simplement devenue indispensable à leur existence [...] considérée du point de vue du bonheur personnel : elle exprime combien irrationnelle est cette conduite où l’homme existe en fonction de son entreprise et non l’inverse. »). Sa vie comporte souvent des traits d’ascèse5. L’origine de l’esprit capitaliste ne se trouve pas dans des idées