Le Bonheur Ne Vaut Que S Il Est Partagé

La question du sens de la vie, qui pèche donc par une objectivation intempestive, ne doit pas être confondue avec la question du sens de sa vie, tout à fait recevable rationnellement, elle, et correspondant à un besoin fondamental, source d’un bonheur durable. Donner un sens à sa vie, c’est lui donner plus de cohérence, c’est lier entre elles ses différentes actions. Ainsi, celui qui va de désir en désir, se laissant ballotter par des stimuli extérieurs, alors qu'un hédoniste primaire a une vie

avance, on ne peut donc aller contre le cours naturel des choses. Châteaubriand exprime cette fatalité dans cet extrait par un paradoxe en écrivant « le chant naturel de l’homme est triste, lors même qu’il exprime le bonheur ». Cette expression démontre que pour lui, même le bonheur est synonyme de tristesse, le destin de l’homme serait donc d’être triste indéfiniment. Cette même idée est également ressentie lorsqu’il écrit « […] nous sommes forcés de rendre les accents de la joie sur le ton consacré

c'est la poursuite du vent. 18 Car avec beaucoup de sagesse on a beaucoup de chagrin, et celui qui augmente sa science augmente sa douleur. Chapitre 2 |   | 1 J'ai dit en mon coeur : Allons ! je t'éprouverai par la joie, et tu goûteras le bonheur. Et voici, c'est encore là une vanité. 2 J'ai dit du rire : Insensé ! et de la joie : A quoi sert-elle ? 3 Je résolus en mon coeur de livrer ma chair au vin, tandis que mon coeur me conduirait avec sagesse, et de m'attacher à la folie jusqu'à

Tristan Bernard A vingt ans, l'enfant déforme la femme; a trente ans, il la conserve, a quarante ans, je crois bien qu'il la rajeunit ! Léon Blum L'argent, c'est comme les femmes, pour le garder, il faut s'en occuper, sans cela il va faire le bonheur de quelqu'un d'autre. Edouard Bourdet Il faut choisir, dans la vie, entre gagner de l'argent et le dépenser; on n'a pas le temps de faire les deux. Edouard Bourdet Il y a des femmes qui n'aiment pas faire souffrir plusieurs hommes a la fois,

qui est beau et bon est directement lié au bonheur, je crois que oui. Chaque homme peut affirmer ce qu’il veut à propos de son bonheur, il peut même mentir sur celui ci pour essayer de survivre à sa conscience. Par contre, si on cherche la vérité et le bonheur absolu, celui qui nous permet de réaliser toutes nos attentes, il sera impossible. Il est donc évident que l’injustice, ne peut pas mener au bonheur tant recherché. Pour ma part, je crois que le bonheur est un sujet très subjectif et qu’il est

a) Vocabulaire simple, presque naïf. Cliché du"sauvage"  Langage courant. Pas d'exotisme, ni de folklore. Le vieille homme dégage de lui des valeurs simples:bonheur,partage,liberté(+leurs opposés). Diderot utilise des phrases claires et univoques .Juxtaposition despropositions :" Nos filles et nos femmes nous sont communes //; tu as partagé ce privilège avec nous ".Phrases engénéral courtes,précises,violentes. b)Vieuxsage= représentant de tout un peuple,porte parole.« Je »n'apparaît qu'à deux reprises(4 et 10)

étudié la place de la femme au sein du couple ou de la famille. -Thème de l'ouvrage: la dualité entre individu et collectif au sein du groupe familial. Thèse: Chaque individu recherche le bonheur; mais comment celui-ci se manifeste-t-il? Comment conjuguer individualisme et vie commune pour atteindre le bonheur tant recherché? Historiquement, l'individu a été pensé par rapport à sa tribu, son groupe, sa famille, sa cité: ainsi, dans l'Antiquité grecque l'homme était-il pensé par rapport à la cité

société est de rechercher le plaisir (et non pas le bonheur) du plus grand nombre ». Selon Mill, le bonheur ne constitue pas un bon objectif, « il vaut mieux être un humain insatisfait qu’un porc ou un imbécile satisfait ». il propose donc de hiérarchiser les bonheurs, par ordre de priorité, par exemple, les plaisirs corporels viennent après ceux de l’esprit. 2. Liberté : Il s’agit de sa première préoccupation morale et politique. Il partage avec le penseur Tocqueville l’idée qu’une démocratie

fondamentale. Dans le discours humaniste, il s’agit de la protection de la vie comme bien précieux. Dans le discours fasciste, belliciste, il faut plutôt laisser libre cours à ses pulsions vitales. (Au-delà de ces deux cas emblématiques, le terme de vie vaut davantage par ses connotations et sa puissance d’évocation que par un sens strictement défini. L’expression « c’est la vie ! » en témoigne. La vie se loge partout et même dans le sentiment confus de la fatalité qui nous accable. Exemple : on perd

l’amitié c’est que c’était la forme de relation humaine la plus pacifique et en mm temps la plus libre (bcp plus que la relation d’amour) Elle suppose un accord, le fait de partager ce que l’on met en commun. La communauté des amis ce n’est pas celle de ceux qui ont une origine ou une propriété commune =>mais mettent qq chose en partage (repas, idées..) toutes les autres relations sont intéressées (commerce, passion…) pour Epicure : « toute amitié est par elle mm désirable » ( sentences vaticanes) Dans