Le Calife Omar

certaines d’entre elles ont fini par jouer un rôle déterminant dans la politique de l’Empire musulman. C’est le cas de la mère de Haroun El Rachid, esclave berbère affranchie, qui a fait de son fils l’Emir des croyants et l’un des plus illustres califes du royaume des Abbassides. Toujours dans ce sens, Bounfour écrit que «les premiers conquérants, sous les Omeyyades, éprouvaient quelques regrets de voir les Berbères se convertir à l'Islam. Ce qui dit beaucoup sur la foi des premiers conquérants

Sa voiture était garée hors de l’enceinte de l’aéroport. Je me suis arrêté pour la dévisager. Elle était à l’article de la mort. « T’inquiète, c’est pour éloigner le mauvais œil », a-t-il dit. Elle a démarré au demi-quart de tour. L’homme s’appelle Omar. En trois coups de champignon, nous étions hors de la ville. Je l’ai surnommé Schumacher et je lui ai dit que je souhaitais arriver vivant. « Hé, m’sieur, faut qu’on arrive à Sétif avant le crépuscule, c’est l’heure des faux barrages. Tu dormiras tranquille

face au secteur du cinéma géré par l’Organisation nationale pour le cinéma, imposant dès 1963 une création totalement sous contrainte. Il est important, plus encore aujourd’hui, de rendre la parole à ces talents figés depuis des dizaines d’années (Omar Amiralay, Ossama Mohammed, Mohamed Malas…), alors que la Syrie est au cœur d’un conflit sanglant. Ces auteurs, isolés et censurés, tentent dès les années 70 de rendre compte du réel, de représenter le monde, de redonner sens à leur histoire. À cette

Médine de Bahreïn. Omar a utilisé ce butin pour organiser un système de pension. L’Islam encourage la protection de la dignité humaine (hifz al-irÌ) ainsi que de la richesse dans (hifz al- mÉl) à travers le concept de maqasid alcharia. 71 Il est alors permis de considérer qu’il est nécessaire de développer un système de pension islamique moderne. Ceux qui existaient dans le passé (Bayt al maal, al awqaf etc.), n’existe en effet que très rarement de nos jours. Le mécanisme créé par Omar bin Khattab n’est

la tête, il étendait ses mains et récitait la sourate al-Hamd ainsi que les sourates al-Falaq (Chap. 113) et al-Nâs (chap. 114), puis il passait ses mains sur son visage, et le mal se dissipait . ■ Il est noté dans “Rabî‘ al-Abrâr” que lorsque, le Calife abbasside, al-Ma’mûn fut atteint d’un mal de tête terrible, à Tartûs, l’Empereur romain lui envoya un bonnet et le message suivant : “J’ai appris la nouvelle de ton mal. Aussi t’envoie-je ce bonnet qui calmera les douleurs lorsque tu le porteras”

2204 Monde musulman 2 Responsable : A. CAIOZZO Résumé du programme : Dans cette UE seront abordés les fondations de l’islam, de la révélation prophétique au califat abbasside, les grands aspects de la civilisation musulmane médiévale, l’œuvre des califes omeyyades et abbassides et le rayonnement provincial. 54 HI 2214 Afrique subsaharienne 2 Responsable : F. RAJAONAH Résumé du programme : L’Afrique subsaharienne connut au cours du XIXe siècle de profondes mutations dues autant à des dynamiques

années 1960, on a vu apparaître un sentiment nationaliste au Panama, notamment un sentiment contre les Gringos. En 1968, il y a eu un coup d’Etat organisé par les officiers de la Garde Nationale de Panama, qui, étant nationalistes, ont porté à leur tête Omar TORRIJOS, qui a œuvré pour retrouver la souveraineté du Canal jusqu’à sa mort (1981). Le Président américain CARTER signe un nouveau traité, qui prévoit un dégagement progressif des Américains qui s’étalait sur 20 ans entre 1979 et 1999, pour aboutir

bazar qui se terminent par l'apparition du calife Haroun-Al introduits critique a réussi à déterminer Il Raschid, la nuit, Barmékide, accompagné de son vizir, Djafar le et de son eunuque Mesrour, faisant, la police des rues de sa capitale. Dans ce littiralure arabe. (1) Cl. Huart, La 80 l'exotisme cycle de récits populaires^ se sont glissés des extraits de la littérature, comme l'histoire du calife Oumgyade, Omar ben Abd-el-Aziz, et des poètes. Un

Ordinance No. VII of 1979. Web [28] Hina Jilani, “Zia and the End of Civil Society,” The Herald, August 1999, cited in Veena Kukreja. Contemporary Pakistan: Political Processes, Conflicts, and Crises. New Delhi: Sage Publications, 2003. p. 171. [29] Omar Noman, Pakistan: A Political and Economic History since 1947. London: Kegan Paul International, 1988. [30] Hassan Gardezi. ‘Religion, ethnicity and state power in Pakistan: The question of class’, in Allen Douglas (ed.), Religion and Political Conflict


avec
l’Abbasside
de
Bagdad,
le
seul
chef
sunnite.
Il
pris
le
titre
de
sultan
 et
ce
fut
le
véritable
départ
des
conquêtes
turques
:
Arménie,
territoires
byzantins
de
 l’Asie
Mineure.
Leur
empire
était
articulé
autour
du
Sultan,
bras
séculier
du
Calife.
Les
 troupes
étaient
constituées
de
Mamelouks,
sorte
de
soldats
professionnels
recrutés
 parmi
les
esclaves
blancs
prisonniers
de
guerre
ou
razziés.
Ces
soldats
étaient
 commandés
par
des
Emirs
auxquels
on
attribuait
les
revenus
d’un
district
pour