Le Chanteur espagnol

Les artistes Noirs n'ont pas attendus l'avènement de la musique soul pour exprimer leur désarroi. Le Blues faisait l'écho de la pauvreté rurale des Noirs dans le Sud des Etats-Unis durant la 1ère moitié du XXe siècle. Mais les commentaires des chanteurs de blues passe le plus souvent par l'ironie ou la métaphore. Ce n'est pas le cas de la soul qui adopte dès les années 60 un ton revendicatif symptomatique des changements qui sont en train de se produire au sein de l'Amérique Noire. La différence

l'Académie française le 26 avril 1888 au fauteuil 15, en remplacement d'Eugène Labiche. Contexte historique L'œuvre littéraire Résumé du texte À Lima, le vice-roi du Pérou sort s'encanailler incognito - croit-il - auprès du bon peuple. Deux chanteurs des rues, la Périchole et son amant Piquillo n'ont guère de succès, même pas l'argent pour se marier. Alors que Piquillo s'éloigne, La Périchole s'endort pour tromper sa faim. Le vice-roi, subjugué par sa beauté lui propose de devenir dame d'honneur

d'artistes de par le monde. Au delà de Cuba il est devenu un chant emblématique de la résistance et la révolution dans le monde (par exemple elle était l'une des nombreuses chansons interdites en Espagne à l'époque de Franco. De nombreux espagnols, risquaient alors leur vie en l'écoutant, elle représentait pour eux un hymne d’espoir et de liberté.) Carlos Manuel Puebla, né le 11 septembre 1917 à Manzanillo et décédé le 12 juillet 1989 à La Havane, était un compositeur cubain. Fils

comédie-ballet de Molière et Jean-Baptiste Lully, mise en scène par Catherine Hiegel théâtre • grande salle • durée 2:15 jeu 29, ven 30 nov • 20h30 • sam 1er dec. • 20h Avec François Morel et une troupe de 29 personnes (comédiens, musiciens, danseurs, chanteurs, techniciens) décor Goury / costumes Patrice Cauchetier / lumières Dominique Borrini / chorégraphie Cécile Bon / direction musicale Benjamin Perrot / assistante à la mise en scène Natacha Garange / coiffures et maquillages Véronique Soulier-Nguyen

la voix est aigue, mélodieuse. La musique est très rythmée grâce à l’intervention de la batterie, du violon et de la guitare électrique. Le morceau commence par une introduction de batterie puis se poursuit avec la guitare. Au premier couplet, le chanteur est désabusé par ce qu’il voit aux informations et décrit au deuxième couplet un champ de bataille. Enfin au troisième couplet, il fustige les médias qui banalisent la violence. La chanson se termine par un appel au peuple irlandais leur demandant

flamenco présents tout au long de la pièce. Critique: Celle-ci commence d’ailleurs par la présence de tous les acteurs sur scène : ils tapent des rythmes avec leur pieds en ensemble et de plus en plus rapidement. Cela appuie habilement l’esprit espagnol de la pièce qui sera encore renforcé plus tard, entre chaque acte et dans certaines scènes où on retrouvera des passages de flamenco avec les musiciens en second plan et les danseurs et acteurs en premier plan. Ces passages, dont les rythmes amplifient

primitif, 1886-1913 2)naissance de la hollywood 1914 (avant c’était NY) 3)expressionisme allemand 1919-28 4)union soviétique/les avanguardes 1919-32 5)ciné qui parle et qui chante : passage ciné muet à parlé 1925-32 (le premier film parlé : le chanteur de jazz) 6)réalisme poétique français(prevert) 1933-46 7)hollywoodusine arrer, cinéma classique H. parlant 1927-60 8)cinéma sous l’occupation, entant-guerre 1939-45 9)grand cinéma italiano (Rossellini) 1943-69 PRE-CINEMA -naissance du ciné :

je ponds des œufs, moi. FERRÉ : C’est ça. Vous disiez tout à l’heure qu’on était des poètes ou artisans, tout ça… non, vous savez ce qu’on est tous les trois ? BRASSENS : De pauvres connards devant des micros ! FERRÉ : Non… on est des chanteurs. Parce que si on n’avait pas de voix, on ne pourrait pas se produire. Parce que si n’avais pas de voix, toi Georges, ou toi jacques, tu n’écrirais pas et moi non plus. BRASSENS : Tu es bien gentil de me dire ça. Parce que moi, de ce côté là,

Les éloges et le blâme sont les ressorts d’un art qui dépasse le simple divertissement et le plaisir. Par ses pièces critiques, Molière a brossé un portrait cruel et réaliste de la société du XVIIème s. au XXème s, on peut aussi s’intéresser aux chanteurs engagés : rap, blues, slam… • il répond à la vision aristotélicienne de la littérature qui est de plaire et instruire, qui peut s’adapter aux autres arts. Si les grands de ce monde ne sont pas modèles, ni sociaux, ni moraux, ni religieux alors

| |camarero/a |serveur/euse |waiter | |cantante |chanteur |singer | |cartero/a |facteur |postman