Le Château dans le ciel

laissant à son passage une histoire plutôt triste, un portait douloureux. En plus de cette perte, le ciel s'assombrissait. Le gris avait volé la trône du bleu, alors que les nuages s'étaient regroupés ensemble, cachant le soleil. Cette scène avait eu le don de faire fuir plus d'un. La plus part des elfes s'étaient enfermés dans leurs maisons, alors que les humains s'étaient réfugiés dans le château du sieur Elessar. De l'espace, on pouvait bien voir la petite île secouée par le vent. On ne distinguait

la forêt. Il fut heureux de trouver un château qui semblait abandonner. Il entra et nourrit son cheval .Il s’installa au coin du feu, et résista a l’envie de ne pas manger le buffet qui est sur la table.L’homme se dit qu’il attendait les domestiques et qu’ils pardonneraient de s’être invité dans le château. Il attendit quelques heures, mais personne ne vint, alors il décida de se mettre à table et manger. Il alla ensuite se mettre au lit, remercia le ciel pour se bon repas et pour cette hospitalité

et qu’il est élevé par des mains étrangères, car il est le cadet des enfants.Il décrit son caractère inégal : il passe facilement de la joie à la mélancolie, des jeux avec ses camarades à la solitude dans la nature. Chaque automne il retourne au château de son père ; timide devant son père, il préfère la compagnie de sa soeur Amélie : “Une douce conformité d’humeur et de goûts m’unissait étroitement à cette soeur”. Tous les deux jouissaient dans le contact avec la nature et en entendant le son de

: « Elle berce son enfant et lui sourit ». L’hypallage : On paraît attribuer à certains mots ce qui appartient à d’autres mots sans que le lecteur doute du sens. « Les fleurs de paulownias, d’un mauve pluvieux du ciel parisien. » (Colette). (« pluvieux est à rapprocher de ciel non de mauve). Ce procédé est souvent utilisé chez les surréalistes pour sa capacité à créer des significations inédites (« Larguez les continents. Hissez les horizons. » Ducharme) Le parallélisme : On utilise une construction

paragraphe de l'œuvre, le sarcasme moquant le conservatisme social de la noblesse arrogante, certes tel que Molière un siècle plus tôt le pratiquait aux dépens de la petite aristocratie provinciale, mais surtout annonçant le Figaro de Beaumarchais : « Si le Ciel l'eût voulu, je serais fils d'un prince. » Candide est également un récit de formation, récit d'un voyage qui transformera son héros éponyme en philosophe, un Télémaque d'un genre nouveau. L'onomastique, en matière d'interprétation des textes voltairiens

BARON. CAMILLE, nièce du baron. PERDICAN, son fils. Dame PLUCHE, sa gouvernante. Maître BLAZIUS, gouverneur de Perdican. ROSETTE, sœur de lait de Camille. Maître BRIDAINE, curé. PAYSANS, VALETS, ETC.3 ACTE PREMIER. Scène PREMIÈRE. Une place devant le château. LE CHŒUR. Doucement bercé sur sa mule fringante, messer Blazius s’avance dans les bluets fleuris, vêtu de neuf, l’écritoire au côté. Comme un poupon sur l’oreiller, il se ballotte sur son4 ventre rebondi, et les yeux à demi fermés, il marmotte un

Trois rois ont y régné entre le VII et le VIII siècle : Louis XIV, XV et XVI Le château était comparé à un gratte-ciel horizontal à cause de sa grandeur. Les dimensions montraient le triomphe du roi sur la nature. Au début il se levait sur un marécage. Les travaux ont commencé en 1661 et ont duré plus de 54 ans. Pour la construction ils absorbés chaque année le 5% du budget de l'état. 36 000 hommes ont travaillé sur le chantier, toute la journée et parfois pendant la nuit. Il n’y avaient pas

lui qui a purifié les boissons et les aliments, lui qui est le charme des lieux fuyants et le délice surhumain des stations. Il est l'affection et l'avenir, la force et l'amour que nous, debout dans les rages et les ennuis, nous voyons passer dans le ciel de tempête et les drapeaux d'extase. Il est l'amour, mesure parfaite et réinventée, raison merveilleuses et imprévue, et l'éternité : machine aimée des qualités fatales. Nous avons tous eu l'épouvante de sa concession et de la nôtre :

églises gothiques, abbayes, mosquées (ex : Damas, Kairouan en Tunisie, Cordoue...), synagogues (ex : Carpentras...) Bâtiment militaire ou civil : château fort, cité fortifiée (ex : Carcassonne...), maison à colombage, palais (ex : la cour des lions de l’Alhambra à Grenade...) Architecture royale et/ou religieuse (ex : châteaux de la Loire, château de Versailles, basilique et place St Pierre de Rome...) Architectures militaires : fortification (ex : Vauban Mont Dauphin... Blaye/Cussac-Fort-Médoc…)

faire arrêter par des séditieux et des canons. Au deuxième plan, on distingue une entrée avec un pont-levis abaissé et des maisons incendiées. Au troisième plan, on aperçoit un grand château avec un pont-levis là aussi baissé, ainsi que des gros nuages de fumée mais l’arrière-plan est beaucoup plus clair avec le ciel.* Le message que veut faire passer l’artiste à travers cette œuvre est de montrer que le peuple de Paris a pris possession de la Bastille et de montrer que le responsable a été arrêté