Le Cheval et son écuyer

discipline qui équivaut à celui de l’abbé. Cependant, il ne prend pas ses décisions tout seul mais se fait assister d’un conseil de frères et tient souvent des chapitres ou assemblées de frères qui réunissent l’ensemble de l’ordre. Le maître dispose de 4 chevaux et son proche entourage se compose de deux frères chevaliers, d’un frère chapelain, d’un sergent et d’un valet, en plus d’un secrétaire et d’un cuisinier. Le sénéchal est le lieutenant du maître, il le remplace lorsqu’il est absent. En ce qui concerne

vous avez dans votre mine quelque chose qui me donne envie de vous appeler maître. personnageLEAR Quoi donc ? personnageKENT L’autorité. personnageLEAR Quel service peux-tu faire ? 12 personnageKENT Je puis garder honnêtement un secret, monter à cheval, courir, gâter une curieuse histoire en la disant, et délivrer vivement un message simple. Je suis bon à tout ce que peut un homme ordinaire, et ce que j’ai de mieux est ma diligence. personnageLEAR Quel âge as-tu ? personnageKENT Ni assez jeune,

KENT. – Non, monsieur ; mais vous avez dans votre mine quelque chose qui me donne envie de vous appeler maître. LEAR. – Quoi donc ? KENT. – L’autorité. LEAR. – Quel service peux-tu faire ? KENT. – Je puis garder honnêtement un secret, monter à cheval, courir, gâter une curieuse histoire en la disant, et délivrer vivement un message simple. Je suis bon à tout ce que peut un homme ordinaire, et ce que j’ai de mieux est ma diligence. LEAR. – Quel âge as-tu ? KENT. – Ni assez jeune, monsieur, pour

avez ouï le connectable». Dans l’épopée historique de Louis Aragon «La Semaine Sainte» on lit: « Au Quartier Grenelle,cantonnaient ensemble quatre compagnies rouges de la Maison du Roi,mousquetaires gris, chevaux-légers, gendarmes de la garde et grenadiers à cheval»;«…c’était un équipage à six chevaux, on le connaissait bien,et la silhouette de l’officier cavalcadour qui la précédait »; « Les habits bleus croisés d’or,les bicornes noirs,au milieu des casques empanachés de noir ou de rouge avec les bronzes

Ornement en saillie sur un mur, un meuble, autour d’un plafond. | Cothurne : n.m | Chaussure montante à semelle très épaisse portée par les tragédiens du théâtre antique. | Courtine : n.f | Rideau de lit. | Diligence : n.f | Voiture à chevaux qui servait à transporter des voyageurs. | Effluve : n.m | Emanation qui se dégage d’un corps vivant, ou de certaines substances. | Épître : n.f | 1. Lettre des Apôtres insérée dans le nouveau testament. 2. Lettre en vers. | Étioler :

la cabale des dévots et Molière fut obligé de censurer son œuvre en réécrivant ou supprimant certain passage de sa pièce, comme la scène avec le pauvre dans l’acte III, scène 2 La pièce se déroule en Sicile. Résumé : ACTE I : Scène 1 : Gusman, écuyer d’Elvire, demande à Sganarelle, valet de Dom Juan, la raison de la fuite de ce dernier alors qu’il vient à peine de se marier avec sa maîtresse. Sganarelle peint alors à Gusman un portrait de son maître peu flatteur : c'est « le plus grand scélérat

peine que de votre intérêt." (Elvire, acte IV scène 5) _goût : elle aime Dieu plus que tout, Don Juan l'a retirée de son couvent mais à la fin elle y retourne. -Famille : elle a un mari Don Juan et deux frères : Don Carlos et Don Alonse ainsi qu'un écuyer Gusman. Les autres personnages sont moins importants, on trouve -GUSMAN : l'écuyer d'Elvire qui entre dans la première scène de l'acte I en demandant " et la raison encore?" et sort à la m^eme scène en disant " il aurait le cœur de pouvoir manquer

rendre plus efficaces les combattants dont l’armement était complet – armement dont la pièce maîtresse était le cheval. Rapidement, donc, les chevaliers se sont élevés au-dessus de la piétaille. Même si tous deux font la guerre, il ne faut pas confondre chevalier et soldat : le chevalier ne touche pas de solde. On comprend donc qu’au e XII​ siècle, seuls les plus riches peuvent posséder un cheval et tout l’équipement nécessaire (la lance et l’épée, l’écu, le heaume et le haubert). La caste des chevaliers

passe en réalité dans son luxueux carrosse à ressorts, pendant vingt années, devant le vrai peuple et le vrai Paris, sans jamais les voir. Mort de Louis XV Le 10 mai 1774, vers les cinq heures du soir, Louis XV se mourrait. Voitures, gardes, écuyers à cheval, attendaient, rangés dans la cour de Versailles. Tous avaient les yeux fixés sur une bougie allumée dont la flamme vacillait à une fenêtre. Le Dauphin était dans l'appartement de la Dauphine. Tous deux, muets, écoutaient dans le lointain les

pour le roi en guerre, mais pas à des profiteurs supposés. En Périgord et Bordelais, les gardes du duc d'Epernon accompagnaient les sergents des tailles et leur prêtaient main forte. En Poitou, et en Limousin, les archers de maréchaussée étaient à cheval pour assurer l'imposition intégrale des tailles, sans ommettres les droits aliénés. Les vice-sénéchaux de Saintonge et d'Angoumois avaient reçu pareil commandement, mais, en avril 1636, tout comme en juillet 1635, la vigilance armée des paysans les