Le Chomage Des Jeunes

proche. Malgré de nombreuses tentatives de projets de Loi évoqués et mis en place par l’Etat, l’engrenage s’intensifie et de plus en plus d’individus sont touchés par la précarité. Le contexte actuel de crise économique et l’augmentation récente du chômage en France ne permet pas non plus d’envisager pour l’instant une quelconque amélioration de la situation. Certaines questions sont devenues aujourd’hui quotidiennes. En effet qui peut-on considérer comme précaire ? Qui est touché par la précarité 

pauvreté. Comme l’explique le texte « qui sont les français? » il y a en France « un accroissement des inégalités entre les plus riches et les plus pauvres ». En effet letaux de chômage des jeunes avoisine les 44 % ce qui est une situation alarmante. Un autre problème propre à la banlieue est la criminalité des jeunes des banlieues. En banlieue le taux decriminalité est très élevé et ne cesse d’augmenter ce qui finit par faire comme le dit Robert Douillet « une mauvaise réputation de leurs quartiers

secoué le monde à partir de 2007 s’est traduite par un ralentissement de la croissance, entrainant ainsi des pertes d’emploi et ses corollaires, le chômage et la pauvreté dans le monde. Avec 190 millions de chômeurs en 2007, c’est 5 millions de nouveaux chômeurs qui seront comptabilisés chaque année sur le marché mondial du travail avec un taux de chômage d’environ 6,1% à partir de 2009 selon les prévisions de l’organisation Internationale du travail (OIT). C’est ainsi que la 98e session de la

ne sont pas requises. Ainsi, en France, le taux de chômage de ceux qui disposent au plus du niveau du certificat d’études primaires est deux fois plus élevé que celui de ceux qui ont un niveau au moins égal au bac+2 : 13,2 % en 2009 contre 5,6 % en 2007. Tandis que les diplômés de l’enseignement supérieur ont un salaire supérieur de 86% chez les hommes et de 70% chez les femmes à celui des non diplômés. La probabilité de se retrouver au chômage reflète globalement la hiérarchie scolaire. Ceci n’est

Pourquoi les jeunes marocains fuient leur pays ?  Auteur : Rachid BEDDAOUI Pendant longtemps, les gens ont été forcés de fuir leur pays du fait de la famine, d’une pauvreté extrême et des guerres, en quête d’une vie meilleure. Les migrations, qui ne connaissent aucune frontière géographique ou légale, sont et seront l’un des problèmes centraux de ce siècle. L’immigration clandestine notamment des jeunes est désormais un problème délicat auquel se trouvent confrontés les pays aussi bien développés

alimenter ce débat, nous montrerons que l'école, au sens du système éducatif allant du primaire à l'enseignement supérieur, continue à jouer son rôle d'instance d'intégration sociale, mais aussi que l'évolution du système scolaire et la montée du chômage ne lui donnent pas la même efficacité. Ainsi nous verrons que si l'école reste un facteur d'intégration sociale, ce rôle d'instance d'intégration est limité par l'évolution du système scolaire et celle du marché du travail. L'école reste un facteur

l’Emploi 2 SOMMAIRE Introduction I. p4 ETUDE THEORIQUE SUR L’INSERTION SOCIOPROFESSIONNELLE DES JEUNES p7 A. Analyse des territoires en difficulté 1. Le chômage à son « apogée » 2. Les zones ZUS socialement désavantagé B. Identification des dispositifs de l’emploi 1. Les politiques d’insertion professionnelle 2. Les différents programmes de réinsertion pour les jeunes II. p7 p7 p8 p11 p11 p14 ETUDE EMPIRIQUE, LE CONTEXTE ENVIRONEMENTAL ENGAGE A UNE REFLEXION

l’Ouest. - Tri soc.  multiples cnsq : ds le logement : la tendance regroupement des migrants en communauté + phénomène d’homogénéisat° soc par rejet  les gd sens de logements sociaux où se cumulent ts les phénomènes de crise peuvent évoluer ; ↑ chômage dps 20ans provoque concurrence de main-d’œuvre qui alimente les courants xénophobes + « préférence française » • Géographie du travail féminin - élément de comparaison entre pop active ♀ et pop active étrangère - dps 20ans, ↑ pop active française

pour l'emploi des jeunes afin de tenter d'enrayer le phénomène du chômage. C’est ce que nous allons voir dans ma dernière partie. III) le douloureux problème du chômage La crise entraine des faillites, environ 800 par an à partir des années 70. Il en résulte une croissance du chômage et ce problème vient de plus en plus au centre des débats. C’est ce que nous allons voir dans cette dernière partie. A) La fin du plein emploi La France s’installe dans le chômage en même temps que

touchaient l’allocation de solidarité spécifique. 5 autres minimas sociaux s’adressent aux jeunes en difficulté, aux veufs, aux parents isolés, aux invalides et aux retraités : Au total 6 millions de personnes allocataires et leurs ayants droits vivent des minimas sociaux en France. La pauvreté a une dimension sexiste puisque 23,7 % des femmes de 18 à 25 ans vivent sous le seuil de pauvreté. Pour 21,3% des jeunes hommes soit en tout un total de 1 million 07 personnes. En 2008, le % des français