Le Cid Registre

fable, poème, pièce de théâtre,…au XVII et XVIIIe particulièrement, ce sera de l’argumentation indirecte afin de contourner la censure Les registres : -Le comique : il cherche à déclencher le rire. Il peut être amené par différents procédés : -L’humour : un sujet sérieux est traité de manière légère ; si le sujet est particulièrement dramatique et le registre adopté très léger, on parle d’humour noir -L’ironie : On laisse entendre le contraire de ce que l’on dit. Son principal procédé est donc l’antiphrase

Cependant le verbe « trouver » veut aussi dire « tourner », le poète n’a de cesse de trouver de nouvelles formes à sa poésie. Cette poésie que l’on retrouve dans un tout autre genre qu’est le théâtre classique, tel est le cas de Corneille ou de Cid, écrit par Victor Hugo. Cette poésie qui apporte grâce à ses rimes suivies et sa fluidité, une comparaison à la chanson. La poésie nous la retrouvons aussi dans les fables, grâce à sa sonorité et à son rythme, elle constitue un récit plaisant accentué

si « Juste la fin du monde » est une tragédie. Nous essaierons dans une première partie de voir les caractéristiques de cette pièce qui la rapprochent de la tragédie, puis nous parlerons ensuite de ce qui ne place pas cette œuvre seulement dans un registre tragique. La tragédie prend son origine dans la Grèce antique sous la forme d’une pièce de théâtre écrite en vers avec des parties récitées et d’autres chantées à l’image d’un opéra et l’on peut même noter la présence d’un chœur. Puis la tragédie

tiers du XVIIe siècle. C'est d'abord un terme négatif, il signifie "bizarre", "extravagant", "sans valeur". Progressivement, le terme va perdre sa connotation négative par le travail de la critique. Les genres et registres dominants de cette époque sont : la poésie (tragi-comédie), le registre lyrique, dramatique, épique, satirique et le réalisme burlesque et libertin. Les caractéristiques et principes dominants sont le goût pour le spectaculaire et le romanesque. Et les thèmes abordés sont la passion

L'anaphore (F) : procédé d'amplification rythmique, répétition d'un élément identique en tête de phrases, de membres de phrases ou des vers successifs. «Mon bras, qu'avec respect toute l'Espagne admire,/ Mon bras, qui tant de fois a sauvé cet empire» Le Cid, Corneille  Les effets de l'anaphore sont variés et dépendent de l'intention du locuteur. Ils sont avant tout proches de ceux recherchés dans le phénomène du refrain ou de la répétition : surprise, énumération, symétrie de forme, litanie et incantation

dans l'âme des personnages. Dans le registre tragique, le langage est noble; l'alexandrin lui prête souvent une solennité qui convient à l'expression de la plainte.  Textes théoriques :  J. Racine : préface de Bérénice - N. Boileau : Art poétique - F. Nietzsche : La Naissance de la Tragédie - Alain : Système des Beaux-Arts - L. Goldmann : Le dieu caché - J.M. Domenach : Le retour du tragique.  Œuvres caractéristiques : la tragi-comédie (P. Corneille, Le Cid) est "une tragédie qui finit bien";

Rodrigue, dans Le Cid, les imprécations de Camille, les tirades de Dom juan, de Cyrano de Bergerac ou d’Antigone. On y trouve d’ailleurs tous les ressorts de la rhétorique, alliés à la maîtrise d’une langue ornementée et parfois versifiée. Cf des vers célèbres : « A vaincre sans péril on triomphe sans gloire » C/ C’est lors de l’écriture que se nouent les enjeux de la représentation -la dynamique de l’action par la rapidité des répliques, -la fonction expressive grâce aux registres de langue et

contraintes sociales, politiques et morales -l'idéal d’équilibre et d’honnêteté | Théâtre, fable portrait | -maximes et formules générales -litote (permet le respect de la bienséance) -effets de parallélisme et de symétrie | -Corneille, Le Cid (1637) -Racine, Andromaque (1667) -Molière, L'Avare (1668) -La Fontaine, Fables (1668-1693) -Malherbe, Boileau, Mme de La Fayette, La Bruyère | XVIIIè | Les Lumières | Les lumières réfléchissent par eux-mêmes et se mettent en quête de

jeune homme”. Toute lla 2° partie du texte est consacrée à l’analyse des sentiments et du comportement de P. 1.5 Les figures de style. - Une magnifique litote : “V. ne doutait pas que” = Vanina était totalement sûre que (cf exemple canonique : dans “le Cid” de Corneille Chimène dit à Rodrigue par une litote pudique : “Va, je ne te hais point” = “Je t’aime de toutes mes forces” . Mais ici “ne doutait pas” et l’imparfait du subjonctif introduisent justement une nuance de doute que V. ne veut pas voir, d’où

doit respecter la vraisemblance et la bienséance. Le dénouement d’une tragédie est généralement tragique (par exemple la mort). Elle est composée de 5 actes. Racine et Corneille sont les grands auteurs de la tragédie classique (avec par exemple Le Cid pour Corneille et Andromaque, Phèdre, Britannicus,... pour Racine). La comédie cherche à divertir le spectateur, à le faire rire. Contrairement à la tragédie, dans la comédie, les personnages sont de condition moyenne ou modeste, et le dénouement est