Le Colonel Chabert Personnage

Introduction: - Le personnage principal -Personnage exemplaire - Doué de toute les qualités, fait le bien. - Le personnage formidable: qui peut servir d'exemple pour le lecteur, où il pourra s'y identifier, le faire rêver - Quelqu'un qui peut servir de modèle - Qui peut aussi permettre d'echapper au quotidien. I- Traditionnellement un héros de roman est un personnage extreme: 1) Par son caractère, et ses passions extrême. Depuis ses origines épique, le roman présente des personnages dotés d'une

donna pour mission au roman d’exprimer le plus fidèlement possible la réalité, de peindre le réel sans l’idéaliser. Les histoires réelles sont privilégiées, les personnages ont des sentiments vraisemblables et le milieu ainsi que le physique des personnages sont évoqués avec objectivité. Flaubert (1821-1880) : Eugénie Grandet, Le colonel Chabert Zola (1840-1902) : Germinal Jean-François Millet (1814-1875) : Des glaneuses (1857) Naturalisme : Le naturalisme est un mouvement littéraire (vers 1860-1890)

‘justice naturelle’ à été crée, mais avec l’arrivée de l’humanité qui l’a pris en main et décidé, si quelque chose est juste et de la liberté de quelqu’un. Donc Balzac ne présente pas ces trois principes dans son monde sans sarcasme: il prend le personnage de Derville, l’avoué, avec ses expériences professionnelles pour nous dire: «Enfin, toutes les horreurs que les romanciers croient inventer sont toujours en-dessous de la vérité.» Alors, c’est quoi, «la vérité» en générale et celle de

littérature française, avec 91 romans et nouvelles. Parmi eux, les plus connus sont Les Chouans, La Peau de Chagrin, Histoire des Treize dont Ferragus, Le Père Goriot, Le Colonel Chabert... Toutes ces œuvres sont regroupées dans la Comédie Humaine que Balzac a appelée ainsi en référence à la Divine Comédie de Dante. ETUDE DU PERSONNAGE DE MAULINCOUR Chapitre 1 : Madame Jules « Ce jeune homme pâle, long et fluet, délicat en apparence, homme d’honneur et de vrai courage d’ailleurs

nécessairement faire de ses personnages des êtres extraordinaires ? «Et pour premier acte du défi qu'il portait à la société, Rastignac alla manger chez Delphine de Nucingen». Cette phrase qui met fin au roman Le père Goriot de Balzac. Dans ce roman, tous les personnages changent énormément. Ainsi, nous nous demanderons si le romancier doit mettre en scène des personnages extraordinaires. Pour cela, nous verrons l'utilisation de «héros» mais aussi à l'emploi de personnages communs. Dès l'Antiquité

et petite » , « artificiellement instruite , réellement ignorante » etc … Cela montre une originalité extraordinaire car le lecteur pourrait croire que la duchesse de langeais est un personnage imaginaire, ou encore que le personnage et quelqu'un de très manipulateur . Le portrait de la duchesse est un personnage qui peut semer le doute dans l'esprit du lecteur car on peut prendre ce portait de façon différente . Dans le temps de l'aristocratie, il y avait une image stéréotypée de la femme

1835), on compte vingt-trois personnages reparaissant. Balzac enrichit si bien sa technique au fil de la publication de ses œuvres nouvelles et des rééditions de ses œuvres anciennes que, au total, quarante-huit acteurs de La Comédie humaine reparaissent dans Le Père Goriot. Ce nombre extrêmement élevé en fait, pour le philosophe Alain, un de ces « carrefours où les personnages de La Comédie humaine se rencontrent, se saluent, et passent. En outre, de nombreux personnages secondaires appartiennent

environ avant le coucher de soleil...». Il attire notre attention en nous communiquant l'action du personnage, ce qu'il fait : « un homme qui voyageait a pied entrait dans la petite ville de Digne ». Mais aussi l'environnement où se trouve celui-ci. L'auteur fait appel à un certain nombre d'adjectif qualificatif pour que l'on ce procure une parfaite image de l'environnement dans lequel son personnage évolue : « les rares habitants qui ce trouvaient en ce moment à leurs fenêtres ou sur le seuil de

pendant un moment stupéfait en entrevoyant dans le clairobscur le singulier client qui l’attendait. Le colonel Chabert était aussi parfaitement immobile que peut l’être une figure en cire de ce cabinet de Curtius où Godeschal avait voulu mener ses camarades. Cette immobilité n’aurait peut-être pas été un sujet d’étonnement, si elle n’eût complétélespectaclesurnaturelqueprésentaitl’ensemble du personnage. Le vieux soldat était sec et maigre. Son front, volontairement caché sous les cheveux de sa perruque

romans, dessinait la société de son temps. C’est ainsi que dans l’ensemble de ses ouvrages, il décida de décrire son ensemble. Il retranscrivait sur lepapier la vie de la noblesse et de la bourgeoisie, notamment dans « Le colonel Chabert ». Nous avons ici affaire à des personnages appartenant à des classes aisées (Clercs et notaires). Balzac avait étudiétoutes les classes sociales de son époque et avait analysé les mœurs de la société dans laquelle il vivait. Sa description dans ses ouvrages montre