Le Comique Dans Fin De Partie

compétence dans le sujet. La réplique de Toinette l.108 est un double jeu de mot, d'abord avec « affaires » qui peut dire « ce qui me concerne » ou « les excréments » et « mettre le nez » qui veut dire soit « s'occuper » ou « sentir ». Toujours dans le comique de mot, « Fleurant » → vient de « fleurer » → qui veut dire sentir. Avec le terme « profit » Toinette critique directement Fleurant qui extorque de l'argent à Argan. L.100/111, cette proposition résume les défauts d'Argan :

règles que le romantisme, cependant la fin est malheureuse. Nous pouvons citer Shakespeare et de Musset comme étant des auteurs de drame romantique. La Comédie La comédie est un genre littéraire qui désignait d'abord le théâtre en général. Contrairement à la tragédie que nous allons traiter après, la comédie a été inventée pour divertir les gens par le rire (Castigat ridendo mores). Elle se base sur l'humour (attention, même si elle est généralement comique, ce n'est pas la même chose!). Les

son collaborateur. Avec Molière, nous nous trouvons donc dans le genre du théâtre, dont le monologue d’Harpagon (acte IV, scène 7) extrait de L’Avare s’inscrit dans le mouvement littéraire du 17e, siècle du théâtre par excellence et utilise le comique comme tonalité dominante de la pièce. Dans la scène précédente, La Flèche montre à Cléante, son maître, la fameuse cassette contenant le trésor d’Harpagon, qu’il vient de lui dérober. Dans cette scène Harpagon, s’aperçoit du vol de sa cassette. Notre

C’est une scène comique traditionnelle cependant G.Feydeau y apporte une touche personnelle et originale par l’introduction de l’absurdité. On peut percevoir que la scène prépare le retournement final. Dans cet extrait, c’est un dialogue entre deux personnages: - Follavoine et Rose qui est la domestique de ce dernier. Nous allons nous demander ce qui rend ce texte comique. Dans une première partie, nous étudierons les différents aspects du genre comique. Ensuite dans la seconde partie, nous étudierons

comédie en un acte et en prose. Castigat ridendo mores, cette devise latine met en perspective la visée des comédies de Molière. Mais c’est surtout son génie comique qui met en scène le spectacle de la représentation de soi à travers ses personnages. Les Précieuses ridicules, premier grand succès, joue sur toutes les modalités du registre comique. L’exposition, scènes 1 et 2, installe le spectateur au cœur d’un dispositif de théâtre dans le théâtre pour mettre en scène le jeu des conventions sociales

Lecture Linéaire 1 : prologue de gargantuaIntroduction L’humanisme est un vaste mouvement intellectuel européen qui émerge avec le quattrocento italien (notre XVe siècle) puis va se développer jusqu’à la fin du XVIe siècle. Le terme désigne une nouvelle conception de l’homme et de l’Univers qui, s’appuyant les modèles de l’Antiquité gréco-latine, place l’homme au centre de ses préoccupations et s’assigne comme tâche l’épanouissement de ses qualités intellectuelles et morales.

* Personnage * Dimension satirique III. Bibliographie * Roman comique * Article de journal et œuvre diverse IV. Source I. Généralité * Qu’est ce que la comédie ? Comédie vient du grec . La comédie est un genre littéraire, théâtral, cinématographique et télévisuel, fonctionnant sur le registre de l’humour. Malgré les apparences, la comédie n’est pas systématiquement comique, même si la plupart des comédies le sont. Exemple : La comédie larmoyante, est une

selon les deux genres dominants dans l'histoire du théâtre depuis l'Antiquité grecque, la tragédie et la comédie. Cette difficulté de placer Fin de Partie dans un de ces deux genres est aussi visible dans le premier échange entre Nagg et Nell. Echange qui semble aussi comique que pathétique. D’une part, le début du dialogue entre Nagg et Nell semble comique. Alors qu’elle l’appelle « mon gros », pensant qu’il est question d’une bagatelle, lui exprime un ordre plutôt surprenant : « embrasse». Il

Samuel Beckett, Fin de partie, 1957 (Scène d’exposition - l’oeuvre n’est cependant pas découpée en scènes) constituée d’une longue didascalie dans laquelle le sens est transmis par les éléments de la mise en scène. La parole apparaît ensuite, secondaire, entrecoupée de silence et lacunaire. L’ouverture s’apparente à une scène de mime où les personnages n’engagent pas de véritable action. On a, de plus, le sentiment d’assister à une fin. On peut déjà établir des liens entre ces choix et les

début et la fin du texte de Jean Anouilh, * La répétition ou l'amour puni *, et de trouver pourquoi le changement possible a eu lieu, etc. Pour cela, on peut diviser la comparaison en plusieurs thèmes : – La psychologie des différents personnages ( Héro , Villebosse, Hortensia et la Comtesse ). L'humeur des personnages a-t-elle changée? Un ou plusieurs évènements ont-ils bouleversé cette humeur ? – Le registre ( Comique , tragique, pathétique ,etc ). Passe-t-on du texte comique au texte