Le Conte Moyen Pour Se Divertir

auteur A. La variété des genres de la fiction -Les genres de la fiction sont très variés: le roman peut délivrer un message (Condition humaine de Malraux, Germinal de Zola) + les contes philosophiques ont aussi cette fonction, ils sont fait pour divertir tout en délivrant un message (Candide de Voltaire: le monde n’est pas parfait, la critique de la guerre) + les fables, qui tout comme les contes sont à la fois source de divertissement et porteuses de messages très importants (exemples les fables

mort). La princesse de Clèves s’inscrit dans la nouvelle, dans l’histoire. = resserrement, sobriété Mais équilibre, car éléments repris du récit héroïque. Epopée amoureuse et non guerrier. Univers du tournoi relève du monde médiéval. Ambiance de conte (scène du bal, à Coulommiers). Certains nombres de motifs, de thèmes (la lettre, le portrait volé). Hasard incroyable (« il se laissa conduire au hasard », la scène de l’aveu vu par Nemours, la rencontre dans le jardin). Similitudes formelles à travers

de vue pour exister. La narration dans ce sens est presque une sorte d’image, elle ne peut exister sans un recul, un point de vue quelconque. Le contexte de cette personne nous racontant cette histoire, la manière particulière dont elle nous est contée, et les informations mises en évidence créent la perspective ; tout comme la relation entre le conteur et l’auditeur. Dans une telle situation narrative, la perspective est peut-être la seule chose qui existe réellement. - La perspective : La

monde, à l’apogée euphorique de l’ère industrielle, qu’on pouvait tout avoir avec l’argent, et que parmi les accessoires du plaisir, deux choses surtout étaient à vendre : l’amour et l’art. » François Malherbe, La Belle Époque, p. 35 Cendrillon, conte de fées en quatre actes et six tableaux d’après Charles Perrault, poème de Henri Cain, musique de Jules Massenet, a été représenté pour la première fois sur la scène du Théâtre national de l’Opéra Comique le 24 mai 1899. L’opéra féerique, monté à

le milieu du 19ème : interrogation sur le moi, sur la sensibilité. C’est une époque où l’on voit se multiplier les mémoires et les récits de vie fictifs, ainsi que les cabinets de lecture. => Foisonnement des romans ac des orientations diverses : conte moral, philosophique, libertin, roman picaresque (pers d’aventurier en marge de la société qui va rencontrer des gens pdt son voyage ac des aventures, récits enchâssés : Don Quichotte…) L’Abbé Prévost est à mi-chemin entre le roman picaresque et le

illustreront ensuite la tradition romantique (poétique) de Robert Flaherty ainsi que son attachement aux valeurs occidentales traditionnelles. Nous isolerons dès lors l'un des thèmes majeurs de Man of Aran : la toute puissance de la nature face aux pauvres moyens de l'homme. Un thème récurrent qui dominera (j’ai effacé le d’ailleurs) une grande partie des travaux du célèbre réalisateur américain. Nous nous pencherons finalement sur certains choix narratifs guidés par la quête individuelle de Flaherty pour

l=ordre et le chaos, l=utopie et les tyrannies, la fin du monde et ses recommencements, les terreurs et les rêves. N=y a-t-il pas de quoi alimenter la boîte à penser d=une pousse d=homme ( ou de femme ) qui ouvre les yeux sur le monde? La S.-F. est un conte de fées moderne, a dit quelqu=un. C=est vrai: son paroxysme oscille entre les peurs nocturnes et les lendemains qui chantent, entre la grande main de fer qui frappe [...] et le rayon miraculeux qui nous fait revivre. Le carrosse devient soucoupe volante

qu'il s'agit bien d'outils de réflexion & de distance critique ? Dans un premier temps nous pouvons dire qu'en effet ils apportent bien une réflexion sur un sujet, mais dans un deuxième temps nous allons voir que ces moyens ne sont pas toujours efficaces. Il existe aussi d'autre moyen d'amener à une réflexion. L'esprit de contradiction, l'ironie, la satire & le rire nécessitent tous un début de réflexion, mais de manières différentes. Ils procèdent en effet à un jugement implicite. Tout d'abord

Fabliaux et Contes moraux au Moyen Âge --------------------------------------------------------------------------- 1 FABLIAUX ET CONTES MORAUX DU MOYEN ÂGE : DE QUOI LES HOMMES D’AUTREFOIS RIAIENT-ILS ? ------------------ LES FABLIAUX DU MOYEN ÂGE (XIIIe – XIVe SIÈCLES) : DES CONTES POUR RIRE ET DES CONTES MORAUX Les fabliaux (forme picarde du mot français fableau, dérivé de fable), sont des courts récits en octosyllabes datant du XIIIe et du XIVe siècle. Ils sont nés de l'imagination

certains écrivains préfèrent utiliser des personnages et des situations imaginaires, ayant ainsi recours à la fiction. Cela nous amène à nous intéresser aux raisons de ce choix : en quoi la fiction est elle un outil efficace pour argumenter et un bon moyen de délivrer un enseignement? Nous verrons dans une première partie comment la fiction permet de toucher un public large, en suscitant son plaisir et en lui présentant des idées sous forme concrète. Puis dans une deuxième partie nous nous intéresserons