Le Convoi de la peur

Tu seras mon idole Une idole bariolée enfantine un peu laide et bizarrement étrange Oh viens! Si tu veux, nous irons en aéroplane et nous survolerons le pays des mille lacs, Les nuits y sont démesurément longues L'ancêtre préhistorique aura peur de mon moteur J’atterrirai Et je construirai un hangar pour mon avion avec les os fossiles de mammouth Le feu primitif réchauffera notre pauvre amour Samowar Et nous nous aimerons bien bourgeoisement prés du pôle Oh viens ! Jeanne Jeannette

disparaît parfois au gré des nœuds du sentier. Il avance et c’est bien de lui que proviennent les pleurs d’enfant. Sissoko Djimba, le chef du village, appelle ses guerriers. Ils se regroupent, les muscles bandés, le regard sûr. Il n’y a pas de peur en eux. Ils constatent juste que les dieux leur envoient quelqu’un et qu’il faut faire face à cet événement. Chacun a mis ses habits d’apparat : de longues tuniques aux cou- leurs vives, et à la ceinture, l’épée Takouba – fer sacré des ancêtres

les Allemands sont paradoxalement unis par une même désolation intérieure. Charlotte Delbo, Le Convoi du 24 janvier (texte cité par M-C. Bellosta et H. Hartje, op. cit., p. 210), et Aucun de nous ne reviendra, Éditions de Minuit, 1965. Ces deux textes contiennent le récit, objectif dans l’un, plus impressionniste dans l’autre, de la « course » infligée à Charlotte Delbo et aux autres femmes de son convoi le 10 février 1943 (la veille du jour où Cyrla Perec a été emmenée à Auschwitz). Les SS ont fait

les écoles municipales et, hôtel de ville des petites bourgs et aussi les châteaux qui servait de QG. Au quotidien la paysannerie française a était confrontés a cette présence allemande: chaque jours ou presque il pouvait voir des soldats ou des convois patrouillant sur les petites routes de campagne ou alors apercevoir ou coin d'une rue des panneaux écrit en allemand. Chaque personnes un jour où l'autre a eu une requête a faire valoir auprés des allemands ( exemple : un laisser passer ou une

pain. Le sage justicier est traîné au supplice, Le malfaiteur lui fait son procès; l'injustice 25Est principe de droit ; comme au monde à l'envers Le vieil père est fouetté de son enfant pervers. Celui qui en la paix cachait son brigandage De peur d'être puni, étale son pillage Au son de la trompette, au plus fort des marchés 30Son meurtre et son butin sont à l'ancan prêches : Si qu'au lieu de la roue, au lieu de la sentence, La peine du forfait se change en récompense. Ceux qui n'ont discerné

de Mustapha Bencheikh Latmani , dans Littérature Maghrébine d'expression française (1996). III. Contenu analytique : 1 Personnages * Le condamné ou le narrateur: nous ne savons ni son nom ni ce qu’il a fait pour être condamné a mort. Il a très peur et il voudrait être sauvé par la grâce du roi, mais il sait que cela est impossible. Il semble s’être repenti pour ce qu’il a fait. Il est jeune, sain et fort, il a une bonne éducation (il cite des phrases en latin au concierge qui lui permet de faire

dispose d’aucun accés direct à la mer et que 80% du ravitaillement des troupes de L’OTAN vient du Pakistan (expédié par bateau à Karachi, le plus grand port pakistanais) et passe par ce passage. De nombreuses offensives talibanes sont tourné vers ces convois de ravitaillement qui utilisent le point le plus étroi de la passe qui est de 15 métres de large.  Le sud de l’Afghanistan, autour de Kandahar : Ce sont les provinces afghanes controlé et dominé par les Talibans qui les utilises pour la culture

Cadre: Lieux : Les grandes prisons de Paris : Bicêtre, la Conciergerie et l’Hôtel de Ville. Durée : Six semaines, à partir du moment où le protagoniste est condamné à mort jusqu’au moment où il monte sur l’échafaud. Thèmes : La peine de mort / La peur / la haine / la religion / la violence contre les prisonniers / l’injustice / la justice Enonciation, focalisation : Le narrateur est le personnage : utilisation de la première personne. Le narrateur est différent de l’auteur. Focalisation interne

temple aztèqueTu seras mon idoleUne idole bariolée enfantine un peu laideet bizarrement étrangeOh viens !Si tu veux nous irons en aéroplane et nous survoleronsLe pays des mille lacs,Les nuits y sont démesurément longuesL'ancêtre préhistorique aura peur de mon moteurJ'atterriraiEt je construirai un hangar pour mon avion avec les osfossiles de mammouthLe feu primitif réchauffera notre pauvre amourSamowarEt nous nous aimerons bien bourgeoisement près du pôleOh viens ! Elle dort.Elle dortEt de toutes

Religieux : L’Hôpital à côté de sa fonction publique d’hôpital pour les incurables et de maison de retraite, servait aussi de lieu de détention pour les mendiants, les vagabonds ou les femmes de mauvaises mœurs, en fait tous les marginaux. En 1719-1720 des convois de ces prisonnières furent envoyés au « Mississipi », pour peupler cette colonie. Ces déportations qui constituent la deuxième partie de Manon Lescaut se déroulent dans l’optique politique de colonisation au XVIIIe siècle. En ce qui concerne le gouvernement