Le Corbeau Et Le Renard Lecon Morale

un objectif didactique : instruire et plaire en illustrant une leçon (plus ou moins implicite) par le biais d'un récit allégorique. Celui-ci se décline sous plusieurs formes. Les fables et les contes philosophiques sont les formes d’apologue les plus répandues. Une fable est un récit bref en vers ou en prose, mettant en scène le plus souvent des animaux ou des végétaux qui subissent une personnification afin de transmettre une leçon morale aux hommes. Cette forme d’apologue connue un grand succès à

d’illustrer une morale. Cette histoire illustre pour le lecteur une moralité, une leçon que nous devons apprendre pour mieux vivre. Les premières fables viennent d’Esope, un écrivain de la Grèce antique. « les fables peuvent instruire les hommes » ma vision est la suivante « oui et non ». Nous allons le montrer par deux thèmes , la première intitulé « Les fables peuvent instruire les hommes » avec une partie A « Quel est le but des fables? » et une partie B « Les fables et leurs morales « . Le deuxième

chevaleresques, il est réputé surtout pour ses fables, considérées comme les meilleures après celles de la Fontaine. On considère d’ailleurs qu’il fait partie du courant classique comme son illustre prédécesseur. Il a écrit 112 fables dont de nombreuses morales sont restées célèbres. « La fable et la vérité » ouvre le premier livre des cinq recueils de fables, intitulés Fables qu’il a composé et publié en 1792. Dans cette fable, Florian met en scène les personnages de la fable et de la vérité, dans l’intention

(croisées, suivies ou embrassées), hétérométrie variée (octo, déca, alex.)  Adaptés à la vivacité du dialogue Sonorités qui épousent le sens (allitérations en « r » du vers 9 et hiatus « défendre ») II. Art de persuader : Docere a. Universalité de la leçon Cadre spatio-temporel dépouillé : (v.15) « les bois »  Permet un discours symbolique Menée par des personnages allégoriques  Majuscules « le Loup » reste loup sauvage indiscipliné dans ce texte (cruel dans d’autre) et « Le Chien » poli repris par

thèse (l.1-2) -> présent de vérité générale -Arguments (§1 et 2) : *l'enfant ne peut comprendre, répétition du mot « entende » *(l.9) « On lui fait apprendre » : c'est contre la nature de l'enfant. *Morale confuse pour l'enfant -Exemples (§3 à 6) : *(l.17-18), « le fromage » (corbeau et le renard) , « la fourmi » (cigale et la fourmi) *(l.25), « lion, partage » (le lion et le moucheron) *(l.40), fable du loup et du chien §7 -> commence par « ainsi » = Conclusion + arguments ad hominem (l

parleurs (Affaire Vedrine). Le corbeau et le renard _ Jean de La Fontaine -> Morale : le flateur vit aux depens de celui qui l'ecoute. Donc il faut se mefier des flateurs : les colporteurs, les prophetes ou les gourous car ils instaurent un chantage affectif et créent une emprise. Pour limiter le pouvoir de l'interlocuteur, Socrate pratiquait la maieutique (consiste a poser inlassablement des questions pour montrer l'ignorance de l'interlocuteur, c'est une lecon d'humilité). I) Parole et pouvoir

note une grande variété dans les rapports entre la « moralité » et le récit : pas de morale du tout (VIII, 2 ou XI, 8), morale en tête (VII, 2), morale à la fois en tête et à la fin (VIII, 17 ou VIII, 1), morale répartie en divers points du corps même de la fable (VIII, 14 ou VIII, 27). On repérera aussi le procédé de la morale-énigme : le narrateur s'interroge sur la portée d'un récit ou même hésite sur les leçons qu'il comporte (VII, 3 ou VIII, 7). Tout cela - et surtout le dernier procédé - confère

romain du Ier siècle après J.C.. Grâce à son style clair et simple, l’auteur va rendre ses oeuvres agréables à lire ainsi qu’amusantes; en outre, les formulations des morales de ses poèmes deviendront par la suite des dictons connus de tous. B. Problématique Mais, bien que les fables de La Fontaine enseignent des morales fondamentales, selon certains philosophes, et notamment Rousseau, elles ne sont pas faites pour les enfants. On peut dorénavant se demander si les fables de la Fontaine

la définition suivante : « Apologue : petite fable visant à illustrer une leçon de morale. » Peut-on dire que les fables ne servent qu’à illustrer une leçon de moral ? L’apologue est un court récit ayant un but pédagogique et comportant la majeure partie du temps une morale ; cette morale pouvant être implicite, ou pouvant être explicite et donc être expliquée à la fin. Il y a toujours un enseignement à tirer de la morale. L’apologue est donc un récit fictif où l’auteur essaye de rapporter une idée

solitaire qui lui attend si elle refuse ses avances. Nous verrons que dans ce sonnet “Quand vous serez bien vieille”, Ronsard adopte une stratégie de séduction paradoxal I , puis nous étudierons la morale épicurienne II . Pour terminer, nous souligneront le pouvoir de célébration de la poésie III . Une stratégie de séduction paradoxale I. La “ belle indifférente ”, femme