Le Cou de la girafe

et Vladimir, pour des raisons inconnues. Djordjé était l’aîné : Il avait seize ans alors que Pavlov n’en n’avait que quinze. Cheveux courts, tête ronde qu’on aimerait bien voir tous les jours, cou large et quasi inexistant car il était écrasé par les muscles. Epaules alignées et perpendiculaires au cou. Quant au ventre, il était déformé par les bosses crées grâce aux heures d’entraînement passé dans les salles de musculation. Pavlov, qui avait quinze ans et un physique opposé à celui de son frère

vivant et que seules celles qui sont favorables à la survie dans un environnement particulier sont conservées et transmises, les autres étant éliminées. Ayant constaté que chez les girafes, certaines ont le cou et les pattes plus longs que les autres, Darwin écrit:«La haute stature de la girafe,la longueur de son cou, de ses membres antérieurs, en font un animal admirablement adapté pour brouter les branches élevées des arbres... On constate que les individus d’une même espèce diffèrent souvent

dedans et le rhinocéros s’est gratté si fort, que sa peau s’est distendue. Le léopard et ses taches (6p) Le léopard et l’Ethiopien habitaient dans le Haut-Veldt, pays brûlant rien qu’en sable couleur jaune-brun sablonneux. Ils chassaient la girafe, le zèbre, l’élan, le koodoo et d’autres animaux et comme ils se tapissaient parfaitement dans ce pays sablonneux ils se cachaient toujours très bien pour les surprendre. Un jour, les proies partirent vers une forêt aux ombres qui dansent remplie

les contes merveilleux européens ( avec le personnage de la fée et le don d’objets magiques). Comme dans les légendes de type explicatif, les histoires servent à expliquer des caractéristiques physiques (c’est le cas pour Leuk-le-lièvre, pour la Girafe et pour la lune). Comme dans les contes et les fables, elles ont également une portée morale. La visée éducative, manifeste de cet ouvrage, met en valeur des choix simples : l’intelligence et la sagesse permettent de se tirer d’affaire, il vaut

L’exemple qui permet de les différencier est celui des girafes. Non, ne riez pas, vous allez comprendre ! Pour Darwin, dans un espace et à un moment donnés, seules les girafes les plus grandes ont survécu, car elles avaient le cou assez long pour aller chercher la nourriture là où elle se trouvait, c’est à dire au sommet des arbres. Pour Lamarck, apôtre du transformisme et de la transmissibilité de l’acquis, les girafes ont progressivement vu leur cou s’allonger au fil des générations car il a fallu

une histoire) Ex : le cou de la girafe 2 hypothèses :  Le finalisme : de Lamarck Ce n’est pas par hasard que la girafe a un long cou, c’est parce qu’elle en a besoin pour manger les feuilles des arbres.  Le hasard de la SELECTION NATURELLE (les espèces ne survivent que si elles sont adaptées aux conditions naturelles et l’adaptation aux conditions de vie relèvent du hasard, en particulier le hasard des mutations génétiques [ici ce sont les 3 girafes qui avaient un cou « trop » court pour pouvoir

perhaps cannot be seen ». Différence entre Lamarckisme et Darwinisme: Lamarck dit que les ancêtres des girafes avaient tous un petit cou, mais que le cou de certains individus s’est allongé légèrement pendant la vie pour s’adapter aux modifications de l’environnement. Donc, les individus s’adaptent à leur milieu. Darwin dit qu’il existait à l’origine des girafes à petit et long cou. Les girafes à long cou, plus aptes à se nourrir, suite aux modifications de l’environnement, ont pu être maintenues, les

tigre avec fusil à baïonnette → Abeille avec son dard, sur le point de piquer Gala. Il y a donc ici un crescendo de dangerosité. Remarque : Le second tigre est inspiré d'un tigre d'une affiche de cirque. Arrière plan : Un éléphant-girafe (nom donné par Dali) est une invention de l'artiste (il ne fait pas partie du rêve initial). => L'éléphant censé être lourd et visible, est ici posé sur de frêles pattes d'insectes et se confond avec le ciel. Ceci crée un paradoxe et renforce l'idée

 Il a fait Rebecca voir, enfin, que c'était vraiment ce que Allendy une dégingandé, aux grandes oreilles girafe d'un garçon qui n'a jamais eu assez appris à gérer ses propres membres. Ce sont ses yeux étonnants, dont la lumière bleue claire, elle n'est que maintenant détectée sous l'abri de ses sourcils en chaume. Et ses larges épaules pointues, et sa pomme d'Adam boxy sautillant dans son cou. En le regardant c'était comme regarder modifiable en taffetas et-vient entre l'homme générique anciens et la

Carême LA TOUR EIFFEL   Mais oui, je suis une girafe M’a raconté la tour Eiffel. Et si ma tête est dans le ciel, C’est pour mieux brouter les nuages, Car ils me rendent éternelle. Mais j’ai quatre pieds bien assis Dans une courbe de la Seine. On ne s’ennuie pas à Paris. Les femmes, comme des phalènes, Les hommes, comme des fourmis, Glissent sans fin entre mes jambes Et les fous, les plus ingambes, Montent et descendent le long De mon cou comme des frelons. La nuit, je lèche les étoiles