Le Couteau dans la plaie

n'est à une force inconsciente, à son être inconscient ? Considérons maintenant, si vous le voulez bien, le cas trop fréquent, hélas ! d'un alcoolique atteint de delirium tremens. Comme pris d'un accès de démence, il s'empare d'une arme quelconque, couteau, marteau, hachette, et frappe, frappe furieusement ceux qui ont le malheur d'être dans son voisinage. Quand, l'accès terminé, l'homme recouvre ses sens, il contemple avec horreur la scène de carnage qui s'offre à sa vue, ignorant que c'est lui-même

une force inconsciente, à son être inconscient ? Considérons maintenant, si vous le voulez bien, le cas trop fréquent, hélas ! d'un alcoolique atteint de delirium tremens. Comme pris d'un accès de démence, il s'empare d'une arme quelconque, couteau, marteau, hachette, et frappe, frappe furieusement ceux qui ont le malheur d'être dans son voisinage. Quand, l'accès terminé, l'homme recouvre ses sens, il contemple avec horreur la scène de carnage qui s'offre à sa vue, ignorant que c'est lui-même

ville de France. C’est là que le 17 juillet 1738, Jean-Baptiste Grenouille voit le jour. La mère de Grenouille met son enfant au monde derrière un étal de poissons du marché de la rue aux Fers. Elle tranche le cordon avec son couteau à poisson et s’évanouit sur le pavé, le couteau à la main. On découvre le nouveau-né et on le confie à une nourrice. La mère est condamnée pour infanticide réitéré et on lui coupe la tête en place de Grève. L’enfant est confié au cloître Saint-Merri dans la rue Saint-Martin

». Il prend la fuite, et se met à errer dans la campagne. Alors qu'un train sort du tunnel près duquel il se trouve, du bord de la voie, il aperçoit furtivement, à l'intérieur d'un wagon, un homme qui en tient un autre, et lui plante un couteau dans la gorge. Mais il ne distingue pas les visages. Il revient chez sa marraine. Misard arrive, et déclare qu'un corps est tombé du train. Les deux hommes se rendent sur les lieux. Misard part chercher de l'aide, tandis que Jacques est

poche, où elle tenait un objet, qu'elle ne sortait pas. « Dis vite : Mon petit cadeau. » Lui, riait aussi, en bon homme. Il se décida. « Mon petit cadeau. » C'était un couteau qu'elle venait de lui acheter, pour en remplacer un qu'il avait perdu et qu'il pleurait, depuis quinze jours. Il s'exclamait, le trouvait superbe, ce beau couteau neuf, avec son manche en ivoire et sa lame luisante. Tout de suite, il allait s'en servir. Elle était ravie de sa joie ; et, en plaisantant, elle se fit donner un sou

montre bien l’obsession et l’amour réel qu’éprouve Ludo pour sa mère en dépit de la haine qu’elle éprouve pour lui. Il garde l’espoir d’une réconciliation et est toujours enclin à faire le premier pas. Néanmoins à chaque refus de sa mère, c’est une plaie encore plus profonde qui s’ouvre en lui. Il est condamné à aimer la personne qui le hait le plus au monde et il n’a pas conscience des raisons qui poussent sa mère à agir ainsi. C’est donc un sentiment de profonde incompréhension dont Ludo est envahi

l'impression qui se dégage quand une révolte approche, avec toute sa grandeur. Il y a également un sentiment fataliste qui s'en dégage, donnant une sensation électrique au poème. La révolte ( 1895 ) Vers une ville au loin d'émeute et de tocsin, Où luit le couteau nu des guillotines, En tout-à-coup de fou désir, s'en va mon cœur. Les sourds tambours de tant de jours De rage tue et de tempête, Battent la charge dans les têtes. Le cadran vieux d'un beffroi noir Darde son disque au fond du soir, Contre un ciel

poche, où elle tenait un objet, qu’elle ne sortait pas. « Dis vite : Mon petit cadeau. »Lui, riait aussi, en bon homme. Il se décida. « Mon petit cadeau. »C’était un couteau qu’elle venait de lui acheter, pour en remplacer un qu’il avait perdu et qu’il pleurait, depuis quinze jours. Il s’exclamait, le trouvait superbe, ce beau couteau neuf, avec son manche en ivoire et sa lame luisante. Tout de suite, il allait s’en servir. Elle était ravie de sa joie ; et, en plaisantant, elle se fit donner un sou

sa poche, où elle tenait un objet, qu’elle ne sortait pas. – Dis vite : Mon petit cadeau. Lui, riait aussi, en bon homme. Il se décida. – Mon petit cadeau. C’était un couteau qu’elle venait de lui acheter, pour en remplacer un qu’il avait perdu et qu’il pleurait, depuis quinze jours. Il s’exclamait, le trouvait superbe, ce beau couteau neuf, avec son manche en ivoire et sa lame luisante. Tout de suite, il allait s’en servir. Elle était ravie de sa joie ; et, en plaisantant, elle se fit donner un sou

poche, où elle tenait un objet, qu’elle ne sortait pas. « Dis vite : Mon petit cadeau. » Lui, riait aussi, en bon homme. Il se décida. « Mon petit cadeau. » C’était un couteau qu’elle venait de lui acheter, pour en remplacer un qu’il avait perdu et qu’il pleurait, depuis quinze jours. Il s’exclamait, le trouvait superbe, ce beau couteau neuf, avec son manche en ivoire et sa lame luisante. Tout de suite, il allait s’en servir. Elle était ravie de sa joie ; et, en plaisantant, elle se fit donner un sou