Le Couvreur En Franc Maçonnerie

Très Vénérable et vous tous mes bien aimé FrèresL’AME ET L’ESPRIT EN FRANC MACONNERIEDepuis la nuit des temps, l’homme a entrepris d’explorer son âme, à la recherche de son origine, de sa nature, de ses fonctions.Il est question ici de l’âme de l’homme, anima en latin et psyché en grec.Il ne s’agit pas ici de faire un développement sur l’âme, je vous laisse le soin de lire certaines œuvres de JUNG comme « l’âme et la vie » ou encore « la réalité de l’âme »Ce choix sur l’âme s’adresse à vous mes Frères

La Franc-maçonnerie en trois phrases… La Franc-maçonnerie vise le perfectionnement moral de l’humanité. La grande majorité des loges comporte 3 degrés: Apprenti, Compagnon et Maître. Les maître-mots de la Franc-maçonnerie sont: Amour fraternel, Entraide et Vérité. Pour commencer, quelques définitions s’imposent… Agapes: repas pris ensemble après la tenue. Les Agapes ont lieu soit dans un restaurant soit dans la Salle humide. Atelier: Structure fondamentale réunissant les frères d’une même

27/1 | 2009 Recherches Le principe de triangulation dans les rites maçonniques Un modèle de communication original et ses effets CÉLINE BRYON-PORTET p. 259-277 https://doi.org/10.4000/communication.1353 Entrées d’index Mots-clés : communication, franc-maçonnerie, gestuelle, rituel Keywords: communication, freemasonry, gestural, ritual Palabras claves: comunicación, francmasonería, gestual, ritual Texte intégral Triangulation de la prise de parole et de la gestuelle en loge Une étude attentive des rites

le Frère Maître des Cérémonies qui présente un profane pour être admis aux mystères. Celui-ci est en effet libre et de bonnes mœurs. Le Frère Couvreur ouvre les portes, avec fracas, et dit au Maître des Cérémonies qu’il peut introduire le profane. Le Maître des Cérémonies fait courber le profane comme s’il passait par une porte très basse. Le Frère Couvreur pose la pointe de son glaive sur le sein du récipiendaire. Les portes sont ensuite refermées sans bruit. Dans ce passage du rituel, on nous

1744, indique bien que le Vénérable de la Loge est décoré « d’un grand cordon bleu », mais il précise à plusieurs reprises que « les frères n’ont aucun ornement qui les distingue ». Il faudra attendre la publication du Tuileur de la Maçonnerie écossaise en 1812, pour trouver une référence à un cordon de maître bleu moiré, comportant « au milieu une rosette couleur de   feu,   à   laquelle   est   attaché   le   bijou ». Aucune des gravures maçonniques d’époque n’apporte la moindre

mois… Si bien que le problème n’est pas forcément l’absence en elle même mais bien le sujet qui est absent ou celui qui perçoit l’absence… En Franc Maçonnerie… Nous n’entrons dans le temple uniquement en l’absence de nos métaux..Le vénérable le dit aussi en l’absence de la règle de l’équerre et du compas nous ne pouvons rien accomplir… Le couvreur veille à ce que les abords du temple soient déserts, il s’assure donc de l’absence de danger, de l’absence de profanes… Le second devoir du surveillant

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suite ressenti un écho en moi, une curiosité enthousiasmante, même si je dois bien avouer que la Chaîne d’Union m’inspire davantage par son côté contact physique et fraternel que la Corde à Nœuds. Que peuvent représenter ces deux symboles en Maçonnerie ? Je commencerai par un rappel du mémento du premier degré symbolique écossais. 1/ La voûte étoilée est entourée par un cordeau à douze nœuds qui court en frise sous la corniche du plafond et qui se termine par une houppe de chaque côté de

HISTOIRE DE LA FRANC-MACONNERIE  1) Les origines En Europe, dès le XI° siècle, des guildes(Au Moyen-Âge, association regroupant des artisans)  et des confréries de métiers s’organisent. Elles adoptent des coutumes, des règles et pratiquent la charité. Parmi celle-ci, les corporations de bâtisseurs connaissent « l’art royal »de la géométrie et de l’architecture. Or ces ouvriers maçons participent a une œuvre sacrée en construisant à la gloire de Dieu de véritables  « livres de pierres »comme 

ou non, qu’elles distribuent la lumière du soleil qui est censée éclairer le V.M., le 1° S . ou les Apprentis. Autant d’éléments, qui à mesure que mes recherches progressaient, me gênaient énormément. D’ailleurs, le V.M. ne demande-t-il pas au F. Couvreur de s’assurer que le Temple est dûment couvert ? A partir de cet instant le Temple ne ressemble-t-il pas à l’athanor de l’alchimiste, un « ensemble » hermétiquement clos ? D’où, pour moi, une certitude : ce que l’on nomme les  3 F. ne jouent pas le