Le crime était presque parfait

admet que c'est grâce à la visite qu’il avait faite, avec elle, au vieux et riche président de la Compagnie de l'Ouest, Grandmorin, que tout s'était arrangé. Celui-ci avait adopté Séverine alors qu'enfant, elle avait perdu sa mère, puis son père, qui était son jardinier, et il avait subvenu à ses besoins jusqu'à ce qu'elle se marie, lui offrant alors une dot conséquente. Il lui avait aussi promis sa maison de la Croix-de-Maufras qu’il avait abandonnée. À la fin du repas, Roubaud demande à sa femme pourquoi

le lecteur dans ses convictions morales, mais le déconforte. Autre point : le mal, on le fait subir indépendamment de notre volonté ou on l’inflige de manière délibérée, préméditée : cette perversité qui fait de Lady Macbeth une « âme puissante au crime », pour reprendre la formule de Baudelaire dans le sonnet des Fleurs du Mal intitulé L’idéal est-elle la conséquence d’une corruption par l’état social, de l’âme, bonne naturellement, comme le pense Rousseau, ou représente-t-elle ce que la psychanalyste

complexes : changer de point de vue Mieux cerner le problème du narrateur, du point de vue. Reconnaître et utiliser les jeux avec le temps de la narration. Grammaire : savoir utiliser les temps du récit. Conjugaison : imparfait, passé simple, plus que parfait . Vocabulaire : Connaître et utiliser les indices temporels et spatiaux. Lecture de l’image : images complexes… Séance 1 : Lecture – « Lucien », de Claude BOURGEYX (Claude BOURGEYX, Les Petits Outrages, éd. Le Castor

..........98 SCENE VII......................................................................................100 ii Le Cid Auteur : Pierre Corneille Catégorie : Théâtre Rodrigue et Chimène, entre l'amour et le devoir aspirent à l'amour parfait, celui qui ne pourra jamais s'accomplir. Licence : Domaine public 1 ACTE PREMIER ACTE PREMIER 2 SCENE PREMIERE CHIMÉNE, ELVIRE CHIMÉNE Elvire, m'as-tu fait un rapport bien sincère ? Ne déguises-tu rien de ce qu'a dit mon

qu’on ne punit qu’un inférieur, c’est-à-dire celui que l’on veut placer en situation d’infériorité : l’enfant, le subalterne, l’esclave ou l’animal. Un accusé est toujours traité en inférieur. La présomption d’innocence n’y changerait rien si elle était un jour respectée si peu que ce soit. Souvent, quand on assiste à un procès, on a honte pour les juges et jurés, procureur, avocats de l’image qu’ils donnent. Il faut avoir vu au moins une fois dans sa vie ce jeu de massacre, avoir entendu ces piètres

l'obéissance, du devoir bien rempli, qui pouvait permettre à des milliers de participants à des tâches plus ignobles les unes que les autres de poursuivre en toute bonne conscience. Notamment parce que la « participation » au projet d'extermination était souvent fort abstraite : comme l'écrit Raul Hillberg, cité par Bauman, la plupart des fonctionnaires nazis pouvaient « annihiler tout un peuple en restant assis à leur bureau ». De longs et intéressants développements sont consacrés à l'analyse de

puis avec lui presque maternelle.Face à l’apparence presque féminine de Julien, Madame de Rênal, va l’aider à s’intégrer en adoptant par exemple les codes vestimentaires du milieu bourgeois.On citera le passage page 37« Avec la vivacité et la grâce qui lui étaient naturelles quand elle était loin des regards des hommes, madame de Rênal sortait par la porte-fenêtre du salon qui donnait sur le jardin, quand elle aperçut près de la porte d’entrée la figure d’un jeune paysan presque encore enfant, extrêmement

interrogative de la l.9-10 « était-ce donc que la possession physique contentait ce besoin de mort ? », nous voyons qu’il éprouve des difficultés à expliquer sa « guérison » 2 – questions au discours indirect libre ✓ concentrées dans la seconde moitié du texte : l.27-28, l.30, 31. ✓ Étant rapportées au DIL, elles traduisent la peur de Jacques de voir son amour brisé par les « histoires de sang » l. 32. On comprend alors que Jacques est désormais obnubilé par le crime — celui qu’il pourrait

Julien préfère lire et s’instruire plutôt que de travailler comme ses frères. C'est aussi un jeune homme sensible parce qu'il se sent seul et rejeté. En effet son père le maltraite, le bat puisqu'il n'est pas le fils qu'il attendait ni l'homme qu’il était. Et la façon dont l’auteur précise tout cela fait que l’on ressent de la sympathie pour ce garçon. Julien est un homme atypique, car il ne pense pas comme les autres, n'agit pas comme les autres, ce qui le rend intéressant et sympathique. Dans le premier

sévérité des règles, et depuis cinquante ans qu'il tient sa place sur nos théâtres, l'histoire ni l'effort de l'imagination n'y ont rien fait voir qui en ait effacé l'éclat. Aussi a-t-il les deux grandes conditions que demande Aristote aux tragédies parfaites, et dont l'assemblage se rencontre si rarement chez les anciens ni chez les modernes ; il les assemble même plus fortement et plus noblement que les espèces que pose ce philosophe. Une maîtresse que son devoir force à poursuivre la mort de son amant