Le Crépuscule Du Matin Champs Lexical

avec leurs draperies de lianes, se noyaient dans les ténèbres, ainsi que des nids de reptiles endormis. Et sous la lumière vive, Renée songeait, en regardant de loin Louise et Maxime. Ce n’était plus la rêverie flottante, la grise tentation du crépuscule, dans les allées fraîches du Bois. Ses pensées n’étaient plus bercées et endormies par le trot de ses chevaux, le long des gazons mondains, des taillis où les familles bourgeoises dînent le dimanche. Maintenant un désir net, aigu, l’emplissait.

syntaxique. Mon âme a plus de feu que vous n'avez de cendre! Mon coeur a plus d'amour que vous n'avez d'oubli! (Hugo, Les Chants du Crépuscule) CHIASME (n.m): reprise inversée d'une même structure. Je vois mes honneurs croître et tomber mon crédit (Racine, Britannicus) CRITERE MORPHOLOGIQUE DERIVATION (n.f): répétition de mots qui ont une même base lexicale. (...) sans avoir usé de rien on est désabusé de tout. (Chateaubriand, Génie du Christianisme) POLYPTOTE (n.m): répétition d'un mot

importante à ces yeux. « Rêves parisien », Les fleurs du mal, 1857 Publié dans la section « tableaux parisiens » dans ce poème-ci, l’auteur fait l’éloge de la ville de Paris. En effet, dans son poème Baudelaire par l’utilisation du champ lexical du sommeil et des rêves semble faire la transcription d’un songe dont il est le seul créateur. En décrivant alors la ville de Paris dans son propre rêve cela montre l’importance que le poète voue à la ville et son attachement à celle-ci. L’auteur

 L.A. n°1 : Rêver en 1830 Support de la séance : ▪ 1, 12, « le sentier qu’il suivait » à « le manque d’occasion » ▪ Tableau de Caspar Friedrich « Matin dans les montagnes », 1822-1823 ▪ Dossier : le mal du siècle : 618-620/ un narrateur avocat et procureur p 621-622 Travail préparatoire : -objectif= appréhender le contexte dans lequel Julien élabore son ambition= lire le dossier sur le Mal du siècle : quel est le lien entre Napoléon et le désenchantement

air caressant, monsieur te donne une poupée. Prends-la. Elle est à toi. Cosette considérait la poupée merveilleuse avec une sorte de terreur. Son visage était encore inondé de larmes, mais ses yeux commençaient à s'emplir, comme le ciel au crépuscule du matin, des rayonnements étranges de la joie. Ce qu'elle éprouvait en ce moment-là était un peu pareil à ce qu'elle eût ressenti si on lui eût dit brusquement: Petite, vous êtes la reine de France. Il lui semblait que si elle touchait à cette poupée

fille. Ce poème comprend trois parties : I) Le voyage : il s'agit d'un voyage symbolique * Présence de 3 indicateurs de temps (« demain », « dès l'aube », « àl 'heure » effet d'insistance sur le moment du départ le matin très tôt. Ce voyage se termine au crépuscule (voir métaphore vers 9 « l'or du soir qui tombe ») durée du voyage : 1 journée * « Je partirai » ; « j’irai » ; « j’irai » ; « je marcherai » ; « j’arriverai » : verbes de mouvement à la 1 ère personne du singulier au futur

injonctif ▪ Ponctuation forte : colère et indignation ▪ Anaphores « craignez » « craignez » ▪ Champ lexical de l’exation ▪ Versification ; La Fontaine joue ave les sonorités ; fait ressortir les termes de la dénonciation, de l’ « injustice » et du « supplice » c. Un discours pathétique. ▪ Evocation d’un passé heureux ▪ Champ lexical de la souffrance ▪ La p.d.d fait référence aux Dieux qui symbolisent la justice ; il se met sous leur protection

laboureur ; * Le Crépuscule du soir ; * Le Jeu ; * Danse macabre ; * L'Amour du mensonge ; * XCIX (sans titre) ; * C (sans titre) ; * Brumes et Pluies ; * Rêve parisien ; * Le Crépuscule du matin. Le Vin (5 poèmes) [modifier] Ce court chapitre thématique comporte cinq poèmes, L’Âme du vin, Le Vin des chiffonniers, Le Vin de l’assassin, Le Vin du solitaire, et Le Vin des amants. Le vin du solitaire est composée de 3 champs lexicaux : celui du vin, du

· L’alchimie du crépuscule· Le Blanc typographique → rupture· Thème du crépuscule mis en place avec le sujet “beau soleil couchant” qui est une transmutation du jour en nuit → le soleil est Alchimiste· Métaphore au vers 21 qui transforme la maladie en espoire· la locution conjonctive “Tandis que” → Simultanéité et Opposition rendant la transfiguration magique· Champ lexical de lumière: “beau soleil couchant”, “empourprant” “éblouissant”, “éclatante

réalisation dans un avenir imprécis. → Il y a un départ, un affranchissement des contraintes, un éloignement de la famille, une errance (vagabondage loin des routes et des chemins traditionnels : « sentiers » à peine perceptibles, à la lisière des champs). Ce départ est mis en relief par l’assonance en é (voyelle ouverte → ouverture) + « J’irai » au futur marque bien la décision de partir. Le Rimbaud Fugueur apparaît donc déjà dans ces premières lignes. → Le voyage s’apparente à une fugue : Ni