Le Culte Du Chef

Les droits humains y sont constamment bafoués, les libertés fondamentales, comme le droit d’expression ou encore d’association, sont inexistantes. La population subit un embrigadement par le biais de la propagande, du mensonge, de la censure, du culte du chef et d’une certaine culture du secret.  Un journaliste français, peu avant la mort de Kim Jong-Il, avait affirmé que l’univers nord-coréen tenait « à la fois de la Roumanie de Ceausescu, de l’Albanie de Hodja et du prophétique « 1984 » de George

nombreuses exactions. II. L’URSS DE STALINE, UN REGIME TOTALITAIRE Critères : Un chef unique = Staline Un parti unique = Le PC (parti communiste) Une idéologie proclamée par l’Etat = communisme Des ennemis pourchassés = opposants politiques, koulaks (paysans riches), bourgeois… Des organes de répression = NKVD (police politique) + goulags Une économie planifiée et dirigée par l’Etat Propagande omniprésente + censure Culte de la personnalité autour de Staline A. Un régime dictatorial Staline, Premier

urologique Chef de pôle : Dr PRATE Cadre de pôle : M. ZSIDAI Pôle Anesthésie – Réanimation / Blocs opératoires : Anesthésie ; Réanimation ; Stérilisation Chef de pôle : Dr MOLVA Cadre de pôle : M. ZSIDAI Pôle des Spécialités Médicales : Cardiologie ; Dermatologie ; Equipe Mobile de Soins Palliatifs ; Gastro-entérologie - ; Hépatologie ; Médecine Interne – Oncologie ; Médecine Dépistage – CDAG ; Néphrologie ; Hémodialyse ; Pneumologie ; Rhumatologie - Diabétologie – Endocrinologie Chef de pôle

et veut retrouver la grandeur de l’empire romain. L’exercice du pouvoir totalitaire : Par la terreur : moyens de pouvoir du chef à l’autorité charismatique : personnage doté de qualités supposées extraordinaires d’un homme. Le projet idéologique ne peut-être discuté : Culte de la personnalité, chef présenté comme infaillible, dévoué au peuple. Culte du chef pratiqué. La société est encadrée par des organisations multiples (travail, jeunesse…) et participe à des manifestations de masse

Durant la Seconde Guerre mondiale, la République et la démocratie sont bafouées En mai-juin 1940, la France est envahie par l’Allemagne. Le 18 juin 1940, depuis Londres, de Gaulle lance un appel aux Français pour continuer la lutte mais le nouveau chef du gouvernement, Philippe Pétain accepte de signer l’armistice le 22 juin 1940. Voir p. 18 Les allemands occupent la moitié nord de la France qui est désormais coupée en deux par la ligne de démarcation. Dans la partie sud, le gouvernement de Pétain

totalitaire. Dans cette affiche le slogan ‘brandissant plus haut l’étendard de Lénine il nous donne la victoire’ est utilisé comme transition, pour montrer la continuité du travail de Lénine par Staline (secrétaire du parti communiste russe (PCUS) et chef de l’armée). Celui-ci est représenté en bas à droite de l’affiche en habit militaire, position droite, main posée sur un rebord comme un «capitaine» de bateau regardant au loin vers l’avenir indiqué par Lénine. Il parait autoritaire, et effectivement

Pétain. Cela marquera la fin de la III ème République. Le gouvernement de Vichy est dominé par la personnalité du maréchal Pétain. En effet, il fut un chef militaire prestigieux lors de la Première Guerre mondiale, et il est, en 1940, respecté, et bénéficie du soutien de l’Église catholique et d’une popularité considérable, faisant même l’objet d’un culte de la personnalité : le « maréchalisme ». Le gouvernement de Vichy est caractérisé par une certaine hétérogénéité : il est composé de divers mouvements

- Croix de feu : nationaliste et populiste, est une réaction de défense civique des victimes de la crise économique - doctrine exposée dans "Mein Kampf' : "Ein Volk, ein Reich, ein Führer" (un peuple, un empire, un chef). - Valeurs inculquées aux enfants : discipline, travail, culte de l'état et du führer - Jeunesses patriotes : autre ligue d’extrême droite française – Schéma de l’armée allemande : Wehrmacht + Luftwaffe Personnages à connaître -Léon Blum (1872-1950) : De juin 1936 à juin 1937

l’URSS ; en URSS, derrière le fédéralisme et l'autonomie de façade des républiques, la centralisation se fait au profit du seul Etat russe. Mais encore, « la clé de voûte » de l'Etat totalitaire est le chef : le Duce en Italie, le Führer en Allemagne, le Vojd (ou le "génial Staline") en URSS. Un culte du chef s'est développé dans c’est trois grande dictatures. Et leur dirigeants sont représentés par de nombreuse œuvre comme invincible,... De surcroît ce son des états qui contrôle l'économie. En Italie

un terrain propice à la montée d’Adolf Hitler. Il était peu connu du peuple allemand et c’est grâce ici aussi au contexte de crise que le parti Nazi obtient la majorité aux élections de 1932 : Hitler est nommé chancelier en janvier 1933. Il devient chef du parlement et partage le pouvoir avec le président Hindenburg. Quelques mois après, en mars 1933, Hitler obtient les pleins pouvoirs pour quatre ans après le vote du Reichstag. Orateur convainquant, Hitler utilisa la colère ressentie par un grand