Le Curé de Cucugnan

rouge pendue au bout du pied ! — Où as-tu vu ça ? dit mon père. — Là-bas, sur la terrasse, sous l'acacia. — Alors, je les connais, dit l'oncle. Je les ai vues à la messe du village, avec le mari que je rencontre quelquefois dans le tramway... Le curé m'a dit qu'il travaille au Petit Marseillais. — C'est la vérité, dis-je. Et même il est plus que le directeur : c'est lui qui corrige les fautes de tous les autres. — C'est-à-dire, reprit l'oncle en s'adressant à mon père, qu'il est correcteur à

hésitation, brusque réponse de l’interlocuteur) : – «Je voulais vous dire que...». – «Quoi donc, mon ami ?». – «Je... je ne sais pas comment cela s’est passé...». Ils marquent une pause destinée à mettre en valeur ce qui suit : «L’abbé MARTIN était curé de... de Cucugnan». Ils indiquent un prolongement de la pensée, des sous-entendus : «Vous m’avez l’air bien gai ce matin...». Ils marquent la poursuite sous-entendue d’une énumération : «Nous avions cueilli toutes sortes de fruits : des pommes, des poires,

: Thibault III de Champagne, la vingtaine triomphante, neveu du roi de France organise le dernier tournoi du siècle ! C’est une fête grandiose. Vers cinq heures du soir, alors que les derniers chevaliers descendent de leurs destriers, Foulques, le curé de Neuilly-sur-Marne, prend la parole : il lit le message du pape Innocent III qui lance la IVe croisade. Thibault III meurt à vingt-trois ans C’est l’enthousiasme dans les rangs des chevaliers : Thibault de Champagne est le premier à coudre sur son

Thibault III de Champagne, la vingtaine triomphante, neveu du roi de France organise le dernier tournoi du siècle ! C’est une fête grandiose. Vers cinq heures du soir, alors que les derniers chevaliers descendent de leurs destriers, Foulques, le curé de Neuilly-sur-Marne, prend la parole : il lit le message du pape Innocent III qui lance la IVe croisade. Thibault III meurt à vingt-trois ans C’est l’enthousiasme dans les rangs des chevaliers : Thibault de Champagne est le premier à coudre sur

lordre de la Lgion dhonneur, abandonn par une grande partie de ses lecteurs, il meurt asphyxi par le pole de son bureau. Une foule rendit hommage pendant ses obsques celui qui avait os mettre en jeu sa notorit Bibliographie Threse Raquin, 1867 La Cure, 1971 Le Ventre de Paris, 1873 HYPERLINK http//emilezola.mes-biographies.com/L-Assommoir.html LAssommoir, 1877 HYPERLINK http//emilezola.mes-biographies.com/Une-Page-d-amour.html Une Page damour, 1878 Nana, 1880 HYPERLINK http//emilezola.mes-biographies