Le Dépit amoureux

la servante Dorine, se retire, furieuse. Dorine décrit pour Cléante, beau-frère du maître de maison, l’affection passionnée que porte son maître au faux dévot. Orgon survient et se montre en effet uniquement préoccupé de la santé de son protégé, en dépit de la maladie de sa femme et des railleries de la servante. Cléante adresse quelques reproches mesurés à son beau-frère sur son manque de discernement, ce qui suscite de sa part une tirade dithyrambique à la gloire de Tartuffe. Puis, devant la réaction

sentiments amoureux. Situation La situation est présentée par Pylade. L’être qui est fait pour le bonheur peut réagir aux forces obscures qui composent son destin. Il peut choisir la Vie. Oreste peut et doit fuir l’Epire et Hermione. La situation est présentée par Oreste. L’espace « piège » de la scène se referme. Ni Oreste juge, ni Oreste juge d’Oreste n’ont la distance nécessaire pour l’éviter. Oreste de complait dans une attitude passive (vers 25 à 28) ou active. Ses problèmes amoureux ne

FICHE D’ORAL 2nde C et D MOLIERE L’Ecole des femmes, 1662 Le dépit amoureux, V ,3 INTRO Molière, dramaturge classique, écrit en 1662 L’Ecole des femmes, une pièce qui marque la naissance de la grande comédie de mœurs et de caractères. Molière, de son vrai nom Jean-Baptiste Poquelin, écrit pour le roi à la cour de Versailles. Molière pactise avec les précieuses précédemment critiquées par le dramaturge pour dénoncer la condition féminine. L’Ecole des femmes met en scène la libération par l’amour

la transmission du même, la transmission d'une identité d'autant plus forte ici qu'elle est fondée sur la haine du meurtrier d'Hector, Achille, le père de Pyrrhus. C'est une provocation évidente et la colère de Pyrrhus ressemble beaucoup à un dépit amoureux. D'ailleurs, il n'évoque pas tout de suite cette haine d'Andromaque, ou plutôt il l'évoque par une litote : Et quelle est sa pensée ? Attend-elle en ce jour Que je lui laisse un fils pour nourrir son amour ? "pour nourrir son

Chevalier, qui l’a dédaignée. Elle se jure d’assujettir le rebelle. L'adresse de Lisette, la maladresse de Lubin, le valet du Chevalier, la sottise d'Hortensius, se mêlant à tort et à travers des affaires de coeur de leurs rnaîtres, provoquent le dépit et le ressentiment de la Marquise, réveillent sa coquetterie, sèment le trouble et l'inquiétude dans le coeur du Chevalier, y font germer la jalousie. Après une première passe d'armes, où les deux adversaires, qui prétendent chercher uniquement à

Valets et servantes. Les valets et les servantes de comédie sont des types. Ils constituent un personnel comique traditionnel au jeu, à I'habit, au langage, aux fonctions caractéristiques, au même titre que les amoureux, les rivaux, les barbons ou les pères depuis que "la comédie nouvelle", avec Ménandre, Plaute et Térence, du IVe au lIe siècle av. J.-C., a fait des conflits familiaux - et non plus socio-politiques comme chez Aristophane - la matière toujours recommencée du genre. Molière, grand

effet, le personnage Oreste de Corneille est fou amoureux d'Hermione qui, elle, ne partage pas ses sentiments. De surcroît, Hermione se sert des sentiments que lui porte Oreste afin de venger sa propre vengeance à l'encontre du roi Pyrrhus. En dépit de cela, même lorsque qu'Oreste apprend la supercherie, il poursuit sa folle passion pour cette dernière et envisage même de la suivre dans son suicide. Cette situation nous révèle une sorte de triangle amoureux dont Hermione est le meneur de jeu, Pyrrhus

reflets flatteurs leur renvoient une image idéale de séducteurs conquérants qui les mènera à leur perte (cf. analyse V. Le théâtre des sentiments, séquence dans laquelle Valmont cherche désespérément à se conformer à son rôle de libertin en dépit de ses sentiments amoureux). 2. Un symbole de duplicité En perpétuelle représentation, Valmont et Merteuil se composent une identité factice afin de tromper leurs victimes. Leur reflet dans ces miroirs où ils se regardent complaisamment dénonce leur nature d'acteurs

reste. Principale actrice de l'histoire. Détruite à coups de sourires et d'attentions. Un amour impossible auquel elle ne croyait plus. Elle s'est juré de ne plus jamais aimer ainsi, c'est une folie, un abandon de soi impossible. Et en dépit de sa pudeur, en dépit de ses refus, cet homme lui manquait. C'était fou d'ailleurs à quel point il lui manquait. Fallait-il donc que les gens s'éloignent pour que l'on se rende compte de la place qu'ils prenaient dans nos vies ? Quelque fois, elle a juste envie

|Farce en un acte et en prose |? | |L'Étourdi ou les Contretemps |Comédie en cinq actes et en vers |1655 | |Le Dépit amoureux |Comédie en cinq actes et en vers |16 décembre 1656 | |Les Précieuses ridicules |Comédie en un acte et en prose |18 novembre 1659