Le Dimanche De Bouvines Georges Duby

Fiche sur la bataille de Bouvine selon G. Duby Plan de la fiche de Lecture Présentation de lʼauteur Thèse de lʼouvrage Compte-rendu linéaire de lecture Remarques générales Présentation auteur Georges Duby est un historien médiéviste contemporain, né en 1919 et mort en 1996. Ses études et ses recherches seront essentiellement centrées autour de la période du Moyen-Âge et il obtiendra par la suite la chaire dʼhistoire des sociétés médiévales au Collège de France ainsi quʼune place à lʼAcadémie

Le roman Le dimanche de Bouvines que j'ai pu lire a été écrit par G. Duby en 1973. L'édition choisie, elle, date du 2 février 2012. Ce roman fut donc réimprimé par l'éditeur Gallimard dans la collection Folio Histoire, à Malesherbes, dans le Loiret en France. L’œuvre comporte 373 pages. On peut qualifier cette œuvre de roman historique, mais c'est une œuvre un peu particulière puisqu'on a affaire à une histoire événementielle pourtant expliquée dans le temps long. Annexes : Avant-Propos :

instable pour être significatif. Georges Duby écrivait dans l'avant-propos de son ouvrage Le Dimanche de Bouvines que l'histoire que lui et ses collègues historiens faisaient « rejetait sur les marges l'événementiel, répugnait au récit, s'attachait au contraire à poser, à résoudre des problèmes et, négligeant les trépidations de surface, entendait observer dans la longue et la moyenne durée, l'évolution de l'économie, de la société, de la civilisation. » Georges Duby, héritier des travaux de Marc Bloch

La bataille de Bouvines, Histoire et légendes, Dominique Barthélemy, 2018Résumé : L’ouvrage décrit la bataille de Bouvines et questionne son importance (dans le risque de démembrement de la France en cas de défaite), soulignant que les combats au moyen-âge féodales étaient souvent racontées avec exagération. De plus, pour l’auteur, la guerre en ce temps-là n'avait pas la radicalité des conflits modernes, elle était plus redoutée que recherchée. Le livre aborde également la

HISTOIRE MEDIEVAL TD Commentaire de texte : Le dimanche de Bouvines (1214) Philippe II fut surnommé Philippe « Auguste » par le moine Rigord en référence aux empereurs romains qui ont accru de manière considérable leur territoire. En effet, Philippe est un des monarques les plus étudiés de l’histoire française médiévale non seulement pour la longueur de son règne, mais surtout pour les innombrables victoires militaires qu’il obtient. Ainsi, la bataille de Bovine est un exemple parfait

Genre, Histoire, 8 | 1998Clio. Femmes, Genre, Histoire 8 | 1998 Georges Duby et l'histoire des femmes Georges Duby et l’imaginaire-écran de la féminité Michelle Perrot Édition électronique URL : http://journals.openedition.org/clio/312 DOI : 10.4000/clio.312 ISSN : 1777-5299 Éditeur Belin Édition imprimée Date de publication : 1 novembre 1998 ISBN : 2-85816-379-0 ISSN : 1252-7017 Référence électronique Michelle Perrot, « Georges Duby et l’imaginaire-écran de la féminité », Clio. Histoire‚ femmes

qui bâtit sa renommée sur ses exploits et victoires militaires. Son action se révèle de plus en plus décisive lors des batailles; c'est elle qui décide de la victoire ou de la défaite. Par conséquent, son prestige en est rehaussé. La bataille de Bouvines qui se déroula le 27 juillet 1214 est un bon exemple pour illustrer cette idée. En effet, l'action de la chevalerie décida en grande partie de la victoire française. Mais cette place centrale qu'occupe la chevalerie sur le champ de bataille s'appuie

constituent les deux grandes balises éditoriales de cette mutation épistémologique qui eut cependant des antécédents ; c’est en effet dés 1925 que Maurice Halbwachs publiait Les cadres sociaux de la mémoire, et c’est en 1973 que Georges Duby fit paraître son Dimanche de Bouvines. C. Les rapports compliqués entre Mnémosyne et Clio - Mémoire et Histoire ; deux fonctions différentes, voire opposées La mythologie nous dit que c’est après une longue fornication avec Zeus que Mnémosyne, déesse de la Mémoire

L’orientation actuelle est bien différente car elle privilégie la lecture de ces sources au plan de leur signifiance, et à ce titre les sources nous parlent autrement. C’est dans la trace du sens que le fait est interrogé, comme l’a exemplifié Georges Duby à propos de la fameuse bataille de Bouvines28. Fernand Braudel avait donc tort de vouloir enfermer l’événement dans la courte durée. Il en dénonçait la “fumée abusive” et affirmait que “la science sociale a presque horreur de l’événement. Non sans

tel, parce que cela satisfait les exigences de l'époque qui le célèbre. Certaines figures méconnues de l'histoire accèdent au statut de « grands hommes » au moment où la situation présente demande que l'on se souvienne d'eux. Georges Duby montre, dans Le Dimanche de Bouvines, que la bataille livrée le 27 juillet 1214 par le roi de France Philippe Auguste contre la coalition formé par l'empereur Otton, le comte de Flandre Ferrand et le comte de Boulogne Renaud, et gagnée par Philippe Auguste, fut différemment