Le Discours Final Dans Le Dictateur

divertissante. • Une narration dynamique : échanges d’argent qui rendent l’échange dynamique « rendez-moi » et « reprenez » v.48 et 49, antithèse « il perdit » et « il gagna »v.39-40. • Paroles Variées : discours narrativisé (v.10), discours indirect libre (v.45, 46), discours direct qui rend le texte + vivant car il souligne le clivage social écartant les Hommes. Texte rendu vivant avec proverbe populaire : « chaque jour amène son pain »v.22 • Hétérométrie des vers

métal fin détenu par les banques centrales, mais sur le dollar US, « as good as gold », dont la valeur était garantie par la Réserve fédérale des États-Unis, de même que par la formidable puissance économique des États-Unis. En juin 1947, dans un discours prononcé à l’université Harvard, le secrétaire d'État George Marshall offrit à l’Europe « une aide fraternelle » afin de vaincre « la faim, le désespoir et le chaos » qui régnaient. Le plan Marshall ou « plan de Reconstruction européenne » ((en)

Mussolini en 1915, il réorganisme le pouvoir, il met fin à l’ancien régime qu’il remplace par un état fasciste en janvier 1925, ainsi il devient dictateur. Grace à la crise économique de 1929, Hitler monte dans le rang politique, en promettant de redonner espoir et fierté au peuple allemand, il est nommé chef du parti Nazi en 1933. Il devient le second dictateurs d’Europe. Ils seront les deux personnalités les plus importantes de la seconde guerre mondiale en prenant le pouvoir respectifs de leurs pays

emploi à l'Ouest, et 10 000 de l'Ouest perdent leur emploi à Berlin-Est. Le mur de Berlin est devenu dès sa construction le symbole de la guerre froide et de la séparation du monde en deux camps. Le 26 juin 1963, John Kennedy prononce à Berlin un discours historique. Il déclare « Ich bin ein Berliner » (« Je suis un Berlinois »), marquant la solidarité du Monde libre (désignait autrefois les pays occidentaux alliés aux États-Unis, s'est généralisée dans la presse pour qualifier tout ce qui n'était

bombe A (1949 pour l'URSS) et en 1951, ils ont la bombe H (1963 pour l'URSS). Ils sont les seuls à pouvoir agir face à la menace communiste, et vont devenir les « gendarmes du monde libre ». LA FORMATION DES BLOCS Le point de départ est le discours annonciateur de Fulton ou du rideau de fer, dans lequel Churchill, dès 1946, constate la menace communiste et dénonce le « rideau de fer », délimitation géographique entre l’Europe de l’Est, sous domination stalinienne et occupée par l’Armée Rouge

Intro à la science politique Ven. 20 février : pas cours Lundi 6 avril : pas cours Examen final : QCM Chronologie du cours : Chapitre 1 – Qu’est-ce que la science politique ? Chapitre 2 – Genèse du politique et construction de l’Etat Chapitre 3 – Le pouvoir et séparation des pouvoirs Chapitre 4 – Les politiques publiques Chapitre 5 – Les mobilisations : l’action collective / Pourquoi se mobilise-t-on ? Chapitre 6 – L’exercice de l’Etat (film) Chapitre 1 – Qu’est-ce que la science politique 

métal fin détenu par les banques centrales, mais sur le dollar US, as good as gold, dont la valeur était garantie par la Réserve fédérale des États-Unis, de même que par la formidable puissance économique des États-Unis. En juin 1947, dans un discours prononcé à l’Université de Harvard, le secrétaire d'État George Marshall offrit à l’Europe « une aide fraternelle » afin de vaincre « la faim, le désespoir et le chaos » qui régnaient. Le plan Marshall ou « plan de Reconstruction européenne » ((en)

mur de l'Atlantique », sur les côtes de l'Atlantique et de la Manche, et décide d'attaquer l'URSS. Mais l'Italie fasciste vient elle-même d'agresser, à partir de l'Albanie, la Grèce qu'elle croyait sans défense. Or ce sont les forces grecques du dictateur nationaliste Metaxás qui sont victorieuses : après avoir contenu l'attaque des troupes de Mussolini, l'armée grecque et un corps expéditionnaire britannique, australien, néo-zélandais, indien et sud-africain les repousse et envahit à son tour l'Albanie

se soumettant à la volonté du peuple. Il demeure ainsi le garant de l’unité de la France, dans une intention de rassemblement, au-delà des scissions. Il galvanise la foule et traduit non sans malice la formidable liesse qui entoure ses passages et discours. De Gaulle sacralise sa mission, notamment lors du défilé sur les Champs Elysées : il dit que chacun l’a choisi « comme recours de sa peine et symbole de son espérance, et qu’à cette vue, resplendisse l’unité nationale. » Les présents de vérité générale

Histoire et Histoire de l’art Spécialité : Histoire de l’art et Musicologie Sous la direction de M. Patrick Revol Année universitaire 2010-2011 Remerciements Je remercie Patrick Revol d’avoir suivi mon travail, pour ses conseils avisés et son discours toujours rassurant. Je remercie Serge Lazarini, Christine Lazarini, Serge Thivole et Mathias Ailloud pour leurs conseils, leurs corrections, leurs encouragements et le temps qu’ils m’ont accordé malgré leurs obligations professionnelles. Merci