Le Dénouement De Candide

verraient le bout des choses ». Mais ce livre est finalement « tout blanc ». La malice de l’auteur s’exprime ici, autant que sa position philosophique : il n’existe pas de réponse aux questions ; seule compte l’action. C’est une morale semblable que Candide exprime plus explicitement à la fin du conte qui lui est consacré : « Il faut cultiver notre jardin ». Corrigés des exercices Corrigé de l’exercice autocorrectif n° 1 1 Les Lumières sont un mouvement culturel dans la mesure où les au- teurs

verraient le bout des choses ». Mais ce livre est finalement « tout blanc ». La malice de l’auteur s’exprime ici, autant que sa position philosophique  : il n’existe pas de réponse aux questions ; seule compte l’action. C’est une morale semblable que Candide exprime plus explicitement à la fin du conte qui lui est consacré : « Il faut cultiver notre jardin ». Corrigés des exercices Corrigé de l’exercice autocorrectif n° 1 1 Les Lumières sont un mouvement culturel dans la mesure où les au- teurs, en

s’étaler sur tout un acte, sa nous donne aussi des indications sur le registre de la pièce. 2. Le nœud de l’action : C’est la partie centrale de la pièce avec des rebondissements, des obstacles que les personnages doivent surmonter. 3. Le dénouement : C’est la fin de la pièce, l’intrigue est résolue et le sort de tous les personnages est fixé. Exemple de respect de cette structure : Andromaque de Racine C) Le théâtre classique * Les genres théâtraux au XVIIème siècle Au XVIIème

traduire son analyse critique en refus d'adhésion, tandis que Ie personnage racinien, malgré sa lucidité, ne peut qu'adhérer aveuglément à une passion qui exprime I'angoisse de son insuffisance, et I'espoir d'une reconnaissance salutaire ; et le dénouement est différent. On peut avancer l’hypothèse que le jeune dramaturge qu’était Racine ambitionna de se mesurer avec son glorieux devancier. Il était d’ailleurs habituel à l’époque qu’un auteur dramatique reprenne un sujet traité par d’autres avant

policière, à partir d’indications précises (4ème) - rédiger une nouvelle réaliste ou fantastique, à partir d’indications précises (4ème et 3ème) - ajouter un nouveau chapitre à l’intrigue d’un roman d’aventures (4ème et 3ème) - inventer un autre dénouement (4ème et 3ème) - rédiger une notice biographique d’écrivain ou d’artiste, à partir de documents précis (4ème et 3ème) 9 - rédiger un souvenir d’enfance agréable (3ème). Pour les récits autobiographiques, il faut éviter tout voyeurisme et

traduire son analyse critique en refus d'adhésion, tandis que Ie personnage racinien, malgré sa lucidité, ne peut qu'adhérer aveuglément à une passion qui exprime I'angoisse de son insuffisance, et I'espoir d'une reconnaissance salutaire ; et le dénouement est différent. On peut avancer l’hypothèse que le jeune dramaturge qu’était Racine ambitionna de se mesurer avec son glorieux devancier. Il était d’ailleurs habituel à l’époque qu’un auteur dramatique reprenne un sujet traité par d’autres avant

rédactions de synthèse à la suite des textes. ➤ Des entraînements progressifs et réguliers aux différents exercices de l’EAF proposés à la suite de l’étude des textes. ➤ Un corpus BAC autour de l’utopie : Thomas More, L’Utopie (1516), Voltaire, Candide (1759), Jules Verne, Les Cinq cents millions de la Bégum (1879) 16 2210441163_001-026_Debut_LDP_Fr1.indd 16 08/07/11 11:27 SÉRIE L Du programme au : Corrigés téléchargeables sur le site manuel www.1re.francaislycee.magnard.fr

affectant des manières ridiculement prétentieuses. - «il n’en peut rien autrement» : Il ne peut en être autrement. - «vous m’intéressez» : Il l’a intéressé dès les premiers chapitres. Cette parole de sympathie rassure le lecteur sur la nature du dénouement. Quoi qu’il advienne, il espère que les traîtres seront punis - «bravade» : Défi risquant de n’être pas tenu. - «débrouillerons» : Éclaircirons. - «galérien» : Mérimée avait d’abord écrit : «domestique». Page 422 : - «Ne cherchez pas Orlanduccio» :

collectives, le conte est censé atteindre un point d’équilibre que Le Petit Prince n’atteint pas. C’est en ce sens qu’il faut comprendre la règle qui veut qu’un conte se termine toujours bien : il serait évidement naïf d’imaginer que cela conduit à un dénouement forcément joyeux (« ils vécurent heureux et eurent beaucoup d’enfants ») ; cela signifie en fait qu’il s’agit d’une forme close au terme de laquelle s’effectue finalement un retour à l’équilibre. C’est aussi en ce sens qu’il faut résoudre le problème

proprement dits (y compris les contes merveilleux et les contes religieux) ; les contes facétieux ; les contes à formule. Il existe en fait d’autres types de contes bien connus : les contes philosophiques (les plus célèbres sont ceux de Voltaire : Candide, Zadig...) qui sont des constructions destinées à illustrer un point de vue ; les contes fantastiques nés au XVIIIe siècle avec le Diable amoureux de Cazotte qui jouent sur la confusion entre l’ordre naturel et l’ordre surnaturel ; les contes explicatifs