Le Départ Des Poilus

texte d'origine. Parcours 2. Lecture du conte par l'enseignant en plusieurs séances puis lecture libre par les élèves. Ménager des pauses aux moments clés pour assurer la compréhension Lecture : du début → la pauvreté. Faire expliciter les motifs du départ du père. Lecture →La rencontre du père avec la Bête. Expliciter le problème du père, la décision de la Bête. Lecture → La vie de la Belle avec la Bête au palais. L’importance du point de vue. Comment accède t- on à l’intériorité de la Belle ? Comment

autour de la Serbie. Le 28 juillet: l'Autriche – Hongrie déclare la guerre à la Serbie, déclenchant, par le jeu des alliances, l'entrée en guerre alliée (sauf l'Italie qui déclare qu'elle sera neutre). Début aout: la mobilisation est déclarée et le départ au combat se fait dans un mélange de résignation, tristesse, inquiétude, patriotisme parfois même d'enthousiasme; tous pensent à une guerre courte. En France, c'est ''l'union sacrée'' (R. Pointcarré): L'union de tous les citoyen du pays face à la

Gaz, Chimie : balbutiements technologiques - Robotisation - Uniformisation (uniforme) - Déshumanisation/ Brutalisation. - Mouvement / Instincts de survie / Destruction /Violence - Volonté ? Quelque chose qui les guides ? Pas d’hésitation. Poilus = Soldats de la 1ère Guerre Mondiale 2 millions d’Hommes pour la guerre. Poids démographique. Fin de la guerre Anéantissement des soldats Déchainement dans le décharnement. Guerre totale dont le degré de violence Horreur, violence ne cesse d’augmenter

insultera même les soldats anglais coupables de pactiser avec le « boche ». Un élément a joué en faveur d’un rapprochement germano-anglais. Avant la guerre, de nombreux réservistes allemands ont travaillé à Londres comme serveurs ou chefs de rang. Un « poilu boche » retrouve ainsi son ancien « barber » et se fait coiffer dans le no man’s land. Ces allemands maîtrisent la langue de Shakespeare, ce qui aide à nouer des contacts. Ils connaissent aussi des chants anglais. La musique, on le sait, adoucit les

et Hitler en Allemagne). La mobilisation à l 'arrière Les femmes n'ont pas « remplacées » les hommes contrairement aux idées reçus. Les femmes travaillaient déjà en usines avant le conflit. Leur nombre a seulement augmenté en masse avec le départ des hommes au front et l'économie et l'industrie s'est tourné vers la guerre. Que se soit à l'usine ou au champs la culture de guerre fait intervenir la contribution des civils. L'arrière subit également les conséquences atroces de la guerre:

sont tous deux punis : "se crèvent les yeux". La mère veut sauver Jacob qui a toutes ses raisons (l.26). Finalement, elle leur dit de vivre de sang : "Ce sont les guerres de religion qui sont symbolisées". Les personnages Esaü (en hébreu, « poilu »), dans l’ancien Testament, fils d’Isaac et de Rébecca. Il est le frère jumeau de Jacob, mais est né le premier. Esaü avait la préséance sur son frère mais il lui vendit son droit d’aînesse pour une portion de lentilles. A la mort de son père, ce

participer à l’effort de guerre aussi bien lors de la guerre de mouvement que pendant la guerre des tranchées. Des hommes qui vivaient dans des conditions de vie plus qu’exécrables au milieu de la boue, des rats des poux… ils étaient appelés « les poilus ». Des hommes donc très mobilisés sur les grands champs de batailles tels que la Marne ou Verdun avec plus de 2500 morts par jours. Mais la guerre ne se déroule pas que au front, à l’arrière les femmes sont elles aussi fortement sollicitées car

première guerre mondiale. C’est une vision d’épouvante dans laquelle Otto Dix s’efforce de montrer l’horreur de la guerre. L’œuvre se lit de gauche à droite, chaque panneau « racontant » avec précision un moment de la bataille : Panneau de gauche : le départ vers le front. Il représente les soldats, reconnaissables à leur équipement (casques, baïonnettes, masque à gaz…) qui partent pour la guerre. On les voit de dos, ils s’avancent vers un horizon brumeux qui symbolise métaphoriquement le chaos qui les

rationnement et des privations. Malgré la censure et la propagande, l’arrière a aussi partagé avec les combattants, les représentations du temps d’une guerre perçue comme un sacrifice nécessaire pour la patrie, la civilisation, la paix, le sol natal. Le départ massif des hommes à la guerre a obligé à mobiliser les femmes aux champs, dans les transports et les usines d’armement... Pendant cette premiere guerre mondiale, l'arrière a été globalement épargné, la guerre faisant surtout rage aux fronts. Malgré

espagnole qui a fait entre 20 et 50 millions de morts131. Il existe également des non-dits notamment quant aux répressions des mutineries de 1917 chez les Français, les Allemands et les Britanniques, comme la mutinerie d'Étaples. En quatre ans, 2 400 « poilus » auront été condamnés à mort et 600 exécutés, les autres voyant leur peine commuée en travaux forcés132. Parmi ces soldats fusillés pour l'exemple, quelques-uns dont Félix Baudy ont été rétablis dans leur honneur dans les années 1920 ou 1930. Sans