Le Déserteur Musique D Harold Berg

     « Le déserteur » de Boris Vian INTRODUCTION : Boris Vian est un auteur contemporain , il est né en 1920 dans les Hauts de Seine et mort en 1959 à Paris d’une crise cardiaque à 39 ans Cet écrivain français puisqu’il était poète, chanteur, critique et musicien de jazz (trompettiste). Ingénieur, il est aussi scénariste, traducteur, conférencier, acteur, peintre. Il a publié de nombreux romans dont J’irai craché

activités et ses expériences. Ce passionné de jazz devint naturellement après la guerre l'une des figures les plus connues des nuits de Saint-Germain-des-Prés. Trompettiste de talent, il fut un parolier et un interprète insolent : sa chanson le Déserteur, fit scandale pendant la guerre d'Algérie. Il composa également des chansons pour des artistes comme Serge Reggiani ou Juliette Gréco. S'il fréquentait les existentialistes dans les cafés, il resta avant tout un grand admirateur d'Alfred Jarry, père

Le déserteur Boris Vian est un écrivain français, poète, parolier, chanteur, critique et musicien de jazz né le 10 mars 1920, dans les Hauts-deSeine et mort le 23 juin 1959 à Paris. Il fut aussi ingénieur de l'École centrale, inventeur, scénariste, traducteur (anglo-américain), conférencier, acteur d'occasion et peintre. Son premier roman célèbre (signé sous le pseudonyme de Vernon Sullivan) est "J'irai cracher sur vos tombes", écrit en 1946. Le roman est très controversé, notamment parce qu'il

littéraires ou artistiques à visée argumentative. "Etudiant chinois arrêtant une colonne de chars, place Tian an Men, Pékin (Chine)"- par Stuart Franklin (agence Magnum)- Photographie couleurs - 1989 "Le déserteur" chanson écrite par Boris Vian, sur une musique de Boris Vian et Harold Berg. Première interprétation diffusée en 1954 Une version chantée par Marcel Mouloudji est disponible sur youtube: http://www.youtube.com/watch?v=zLDtSCT0Dsc&playnext=1&list=PL56AE29655428D0F7&index=2 0 THEMATIQUE

"revue de la presse" explosive et extravagante. Henri Salvador disait de lui : "il était un amoureux du jazz, ne vivait que pour le jazz, n'entendait, ne s'exprimait qu'en jazz". Sa chanson la plus célèbre (parmi les 460 qu'il a écrites) est « Le Déserteur », chanson pacifiste écrite à la fin de la guerre d'Indochine (soit le 15 février 1954), juste avant la guerre d'Algérie. Amoureux de la culture américaine, il traduit en français le grand classique de la science-fiction qu'est Le Monde des Ā d'Alfred

Condorcet et entre à l'École centrale Paris en 1939. À la fin de ses études, il travaille comme ingénieur à l'Association française de normalisation (AFNOR)[2],[3], de 1942 à 1946, où il profite de ses instants de liberté pour écrire et jouer de la musique jazz. Le 5 juillet 1941, il épouse Michelle Léglise en l'église Saint-Vincent-de-Paul à Paris. Il fréquente les cafés de Saint-Germain-des-Prés : café de Flore ou des Deux Magots, à l'époque où ceux-ci rassemblent intellectuels et artistes de la

lycée Condorcet et entre à l’École centrale Paris en 1939. À la fin de ses études, il travaille comme ingénieur à l’Association française de normalisation (AFNOR)2,3, de 1942 à 1946, où il profite de ses instants de liberté pour écrire et jouer de la musique jazz. Le 5 juillet 1941, il épouse Michelle Léglise en l’église Saint-Vincent-de-Paul à Paris. Il fréquente les cafés de Saint-Germain-des-Prés : café de Flore ou des Deux Magots, à l'époque où ceux-ci rassemblent intellectuels et artistes de la

s’exprimer. La révolte romantique s’attaque ainsi à tout ce qui nuit à l’épanouissement de l’homme, dans le domaine politique, social ou moral. Ses outils sont ceux de la littérature, mais aussi de la peinture, avec Delacroix (1798-1863), ou de la musique, sous la baguette de Berlioz (1803-1869). Le romantisme réunit tous ceux qui défendent l’idée d’un combat contre les auteurs du siècle passé, les classiques, trop attachés à des règles rigides. C’est essentiellement au théâtre que va se dérouler le

principalement au XVIIe siècle et au XVIIIe siècle. Corpus de textes Texte A : Voltaire, Candide, extrait du chapitre III. Texte B : Boris Vian, « Lettre ouverte à Monsieur Paul Faber », conseiller municipal (1955). Texte annexe : Boris Vian, « Le déserteur ». Devoir 2 – FR20-11 321 Texte A. Voltaire, Candide, extrait du ch.III (1759) Marqué par deux événements récents, le tremblement de terre de Lisbonne (1755) et la guerre de sept ans (1756) qui lui inspirèrent cette réflexion : « Presque

un sirocco20. Il pourfend l’éclectisme de l’art allemand de son époque, le qualifie d’amoncellement barbare de curiosités hétéroclites d’époques et de pays divers, un pêle-mêle de styles chaotique21. La critique du moderne a ainsi fait école : Harold Rosenberg, soulignant dans La Tradition du nouveau que le culte du nouveau initié par Baudelaire a forgé sa propre tradition, remarque [qu’une] mystification assortie de scandale moral (ou de reddition morale) accompagne chaque mouvement neuf en